Le 25 mai, les derniers pions se mettent en place

23 Mai 2014

Le plan des Illuminatis avance inexorablement et implacablement, même si l’on n’en perçoit pas toujours bien les contours et les finalités.

Pourtant la façon dont se déroule les choses est significative des objectifs sous-jacents : préparer l’effondrement économique global ainsi que son corollaire, la guerre civile.
Et pourquoi pas d’ailleurs, préparer la guerre tout court.
Après tout, nous sommes en 2014, et cela fait des mois que j’explique qu’ils vont probablement nous faire un remake de 1914. Trois guerres mondiales en 100 ans, joli score !

Deux pions vont se placer dimanche sur l’échiquier :
– Les élections européennes
– Les élections présidentielles en Ukraine

Les élections européennes

Nous savons que toutes les grandes démocraties occidentales fonctionnent selon un principe de bipartisme, l’un plutôt conservateur, l’autre socialiste, les deux alternant le pouvoir tout en menant à quelques nuances près la même politique, à savoir la construction d’un capitalo-socialisme basé sur l’Etat Providence.
Dans toutes ces belles démocraties, les partis protestataires sont relégués à l’écart, voir associés au pouvoir quand ils participent à la mouvance globale. C’est-à-dire l’extrême gauche, les verts et les centristes.
Seuls les « nationalistes », souvent eurosceptiques, étaient vraiment tenus à l’écart et même en respect.

Aujourd’hui, ces partis protestataires ont le vent en poupe et ils devraient obtenir un score significatif à l’échelle européenne, suffisamment pour grignoter, voire contester, la majorité aux deux grands partis qui tiennent le parlement (PPE et PSE), et qui évidemment fonctionnent main dans la main.

Mais cette soudaine montée en puissance des contestataires n’est pas due au hasard.
Elle est le fruit de deux facteurs principaux : la plupart sont devenus présentables (sans pour autant être associés au pouvoir), et d’autre part les médias leur sont beaucoup plus favorables.
C’est-à-dire que sur le fond (les idées), les partis nationalistes comme le Front National ayant réalisé leur aggiornamento, ne sont plus vraiment dangereux, mais sur la forme, ils continuent de s’opposer avec virulence aux partis de pouvoir.

La manœuvre est évidente et même excellente : ces partis n’ont aucune chance de gouverner un jour un pays, une région ou même un département (car le front républicain fonctionnera toujours, le scrutin majoritaire faisant le reste), mais ils ont un pouvoir d’opposition et donc de nuisance certain au niveau européen, s’ils arrivent à s’allier pour former un groupe fort, à défaut d’être cohérents.

Bref, ils ne serviront qu’à catalyser les mécontents afin de préparer les conditions de la future -et proche- guerre civile.
Ils se feront ensuite massacrer sans jamais avoir eu une once de pouvoir.

Les élections en Ukraine

Là aussi, les dés sont pipés d’avance. Le pays est proche de la fracture, avec la Crimée qui a fait sécession, l’Est qui veut en faire autant, et le reste pris en otage par les bandits qui ont commis le coup d’état du 22 février dernier. Bandits qui n’ayant pas de légitimité électorale (ce qui ne gênait nullement l’Occident) espèrent en récupérer une à bon compte.
Quelle que soit l’issue du scrutin, il est évident que tous les ingrédients pour faire basculer le pays dans la guerre civile seront là car, quel que soit le camp élu (pro-russes ou pro-occidentaux), chacun contestera la légitimité de l’autre, et ce sera très rapidement l’escalade.

 

Donc, pour résumer, se préparent ce dimanche les conditions pour augmenter la crise européenne sur fond d’affrontement exacerbé des grandes puissances au sujet de l’Ukraine.

N’escomptez pas des soulèvements, des déclarations de guerre ou des bombes nucléaires sur Paris ce week-end ; n’annulez pas votre pont de l’Ascension, mais profitez-en bien, il se pourrait bien que ce soient vos dernières vacances en paix.

Car ce n’est pas le 25 mai ni dans les jours qui suivront que les grands événements commenceront, mais à partir du 31 mai.

Nous entrons maintenant dans la partie eschatologique de l’article.

 La symbolique des 24 et 25

Le 24 signifie une annonce, une anticipation. Un événement qui se situe le 24 pointe sur une réalisation, une naissance ou un achèvement.
Pour être plus clair, le 24 est le jour de la fête de saint Gabriel (24 mars) et de saint Jean-Baptiste (24 juin).

Saint Gabriel est l’archange qui annonce des événements : c’est lui qui annonce à Marie qu’elle sera la mère du Sauveur, à Joachim qu’il sera le père de Marie, à Zacharie qu’il sera le père de Jean-Baptiste, et bien sûr c’est l’ange qui fait des révélations au prophète Daniel.

Saint Jean-Baptiste, de son côté, est celui qui précédera et annoncera l’arrivée du Christ, et le baptisera au début de sa vie publique.

Le 25 est un jour synonyme d’avènement, de naissance. On ne connaît pas la date de la mort et de la Résurrection de Jésus, mais on connaît avec précision celles de sa conception (25 mars) et de sa naissance (25 décembre). Cette naissance au 25 décembre a été confirmée, démontrée et prouvée par de nombreux exégètes et savants.
Le 25 n’est pas réservé qu’au Christ ; par exemple, saint Louis est né un 25 avril.

Justement, il y a deux 24 importants cette année :

1) Le 24 janvier, les deux François (le pape et le président de la république française) se sont rencontrés.

2) Le 24 mai, le pape entamera une visite de 3 jours en Terre Sainte (Jordanie et Israël).

3) Mais le 24 mai est aussi la veille d’élections à haut risque pour l’autre François comme on vient de le voir.

Par conséquent, je pense que ces deux 24, espacés de quatre mois, sont des signes annonciateurs pour les DEUX François.

Et c’est probablement le sens réel du 24 mai dans certaines prophéties, dont celles de Marie-Julie Jahenny : les jours des deux imposteurs, l’un sur le trône de Pierre, l’autre sur le trône de France, sont comptés.

N’oubliez pas que le sort de l’Eglise (épouse mystique du Christ) et de la France (fille aînée de l’Eglise dont le roi était le Lieutenant du Christ) sont intimement liés.

Ne vous attendez pas à des événements exceptionnels ce 24 mai, mais scrutez bien l’avenir proche des deux François.

Pour conclure, je rappelle que le prénom François vient de « français », il avait été donné au futur saint François d’Assise par son père en hommage à notre pays qu’il aimait beaucoup, et c’est la canonisation de ce dernier qui a transformé ce mot en prénom chrétien.

Nos pays et nos dirigeants sont donc bien liés, par l’histoire, par les prénoms et par les dates.
Restez à l’écoute.

 

 

écrit par dalencourt Publié dans Uncategorized