Au commencement…
Hier 10 janvier 2021, l’ONU a célébré le 75è anniversaire de sa première Assemblée Générale, le 10 janvier 1946 à Londres, suite à sa création en octobre 1945. Ce dix janvier la 75è session (2020-2021) a pris fin, et aujourd’hui 11 janvier débute la 76è session.
Comment n’y avons-nous pas pensé plus tôt ?
Je comprends maintenant pourquoi ils ne pouvaient pas attendre la fin du mandat de Donald Trump pour reprendre la main, d’où la procédure d’impeachment engagée il y a un an : pourquoi engager une procédure de destitution à 9 mois de l’élection ? Cela n’a pas grand intérêt sauf si… on a un calendrier secret. Et ce calendrier débute au 11 janvier 2021. Soit avant le nouveau mandat présidentiel.
Voilà pourquoi l’arme de l’impeachment ressort à nouveau en ces jours : au cas où le président utiliserait ses derniers jours à gâcher la fête…
Oui parce que le 76 n’est pas un chiffre comme les autres.
Les tous premiers mots de la bible, la création de la terre, le début de l’univers, l’origine du monde et de notre monde, débutent par ces mots : AU COMMENCEMENT. Et la valeur numérique de ces mots, « au commencement », est de 76.
Autrement dit, il y a convergence de symboles forts en ce mois de janvier, comme si nous étions au commencement d’une nouvelle ère :
a) Le 11 janvier l’ONU, principal outil mondialiste de la franc-maçonnerie internationale et de la synagogue de Satan, entre dans son 76è jour, qui signifie commencement ;
b) Le 20 janvier, ces mêmes mondialistes récupèrent le bureau ovale de la Maison Blanche, qu’ils occupaient depuis des décennies, et neutralisé durant 4 ans par la concurrence : autre commencement ;
Surtout que Joe Biden sera le 46è président, 46 étant le chiffre par excellence de la naissance, du moins de la conception (les 46 chromosomes) : c’est donc le même sens.
c) Pour faire bonne mesure, la France d’Emmanuel Macron s’était alignée sur le calendrier de son homologue américain, tous deux créatures de la finance mondiale apatride, en choisissant la date du 20 janvier comme celle de la sortie de la crise sanitaire… donc commencement également.
Ladite crise créée artificiellement par les commanditaires de Macron et Biden, à savoir la branche libérale du sionisme, aux ordres de la haute aristocratie juive, et dont les principales ramifications s’appellent Deep state aux Etats-Unis et Commission européenne en Europe. Cet alignement sur les mêmes dates n’est donc pas le fait du hasard, il a pour objet de signifier que désormais Washington et Paris sont alignés ; alignés sur les mêmes patrons, avec les mêmes objectifs, le même calendrier, et les mêmes outils, dont le Covid n’est certainement que le hors d’œuvre, l’avant-garde.
d) Et symboliquement, c’est joli mais aussi significatif, à la même date du 20 janvier on entre dans le verseau ; même si le signe du verseau se répète tous les ans, il y a une année où celui-ci revêtira une signification particulière parce qu’au delà du signe, le symbole sera celui de l’ouverture d’une nouvelle ère : au commencement… la fameuse ère du Verseau qui pour moi signifie l’ère de Satan.
Or, on a pu le constater, tous les grands leaders mondiaux de la synagogue sont alignés sur le même calendrier : Washington, Bruxelles/Paris, Rome (le Vatican) mais aussi Jérusalem (pourtant siège du sionisme concurrent, le sionisme populiste qui avait joué la carte Trump), tout le monde s’accorde sur le Covid et son traitement, à commencer par l’encadrement strict des populations, et sur la feuille de route donnée par les supérieurs inconnus de la synagogue de Satan : la vaccination.
La synagogue de Satan et ses satellites -franc-maçonnerie, haute banque, etc- travaille sur le long terme, c’est sa force. Ses stratèges cabalistes sèment leur route d’événements dont on ne comprend le symbolisme que bien plus tard.
Prenons le cas du 11 janvier. Nous venons de voir qu’il symbolise, cette année, un commencement de dimension mondiale (l’ONU est une organisation majeure), idée renforcée par le fait que ceux qui contrôlent déjà Bruxelles, Paris, Londres, Berlin, Rome, Tokyo et Pékin vont enfin récupérer la main à Washington. Pour mener le monde à la baguette, il faut contrôler les Etats-Unis, c’est une évidence : pas de pouvoir mondial sans s’assurer au préalable l’hégémonie aux USA.
Eh bien le 11 janvier est lourd de signification :
– C’est le jour où Jules César franchit le Rubicon, prononçant sa célèbre phrase alea jacta est : le sort en est jeté ;
– Or n’est-ce pas le même sens qu’ils ont donné à leur geste, lorsqu’ils ont débranché Ariel Sharon le 11 janvier 2014 ? Je le répète, leurs plans sont à long terme, par conséquent rien n’empêche d’estimer qu’ils avaient en vue la 76è session de l’ONU, commençant elle aussi un 11 janvier, 7 ans plus tard… 7 ans, autre chiffre clé.
Surtout qu’Ariel Sharon pesait lourd car son nom est attaché à une de leurs prophéties, celle d’un des leurs, le rabbin Kaduri, qui avait annoncé que le Messie se révèlerait peu après la mort d’Ariel Sharon. Nous savons que pour le sionisme politique, le Messie est à prendre dans un sens collectif ; le Messie c’est le peuple juif dans son ensemble une fois parvenu aux promesses liées au Messie : la domination du monde et l’accaparation de ses richesses. La crise du Covid est sans nul doute la dernière marche avant la consécration suprême, car cette situation est déjà actée, du moins quasiment. Donc les 7 ans vont parler…
– Et enfin, le 11 janvier 2015 ce fut le test grandeur nature de la manipulation des esprits à l’échelle planétaire : le monde entier défile dans la rue, et significativement en France, pour défendre la liberté d’expression soi-disant mise en danger par l’assassinat d’un groupe de journalistes obscurs, à la tête d’un hebdomadaire dont tout le monde se fichait -et se fiche encore-, Charlie Hebdo. Pour un fait divers sordide, qui n’aurait pas dû dépasser la rubrique des chiens écrasés, on a mobilisé les populations du monde entier sur un des plus gros mensonges fabriqué sur-mesure, et orchestré avec minutie, ce qui sent la préméditation. Pensez donc, des millions de personnes dans la rue et 47 chefs d’Etats et de gouvernements à Paris (!) pour un événement en réalité de faible importance, et pour une menace inexistante : en quoi la disparition de Charlie-hebdo menaçait-elle la liberté d’expression ?
Or que vivons-nous depuis quelques mois, si ce n’est l’exacte répétition du même scénario, de la même façon, avec la crise sanitaire du Covid ? Même exagération des faits, même grossissement démesuré de la menace, même déformation des événements, mêmes techniques de propagande à grande échelle pour impressionner les masses, mêmes acteurs (gouvernements et médias associés), même envergure planétaire, même manipulation des esprits, et même persécution et ostracisme envers les opposants et les résistants.
Le lien avec l’Apocalypse
Je n’ai pas le temps ici de réexpliquer tous les liens de notre temps avec l’Apocalypse ni de rappeler les différents sens mystiques et allégoriques des visions de saint Jean, qui priment largement sur le sens littéral. Rappelons seulement aux lecteurs que j’estime que nous sommes très proches du plus grand événement jamais arrivé dans l’histoire de l’humanité depuis Jésus-Christ, que l’Apocalypse décrit sous le nom de chute de Babylone, et que les auteurs profanes appellent la fin du monde. Sachant que fin du monde n’implique pas nécessairement fin de la terre (fin de notre planète), le texte est même précis : s’ensuit un nouveau ciel et une nouvelle terre.
L’Apocalypse se découpe en 7 périodes, chaque période étant décrite en plusieurs étapes : la 1ère période est constituée de la 1ère église, du 1er sceau et de la 1ère trompette, et ainsi de suite, l’ensemble constituant la description complète de la période. La sixième période est celle de l’Antéchrist qui se concrétise par une persécution sans précédent du peuple de Dieu, et la 7ème celle du châtiment des hommes (chute de Babylone), du jugement dernier et de l’enclenchement du règne définitif et perpétuel de Jésus-Christ autant sur la terre que dans les cieux.
La sixième période se termine par les 7 dernières coupes de la colère de Dieu ; on peut aussi considérer ces 7 coupes comme la transition entre la 6è et la 7è période, ou même le début de la 7è. Peu importe. Une chose est sûre, quand on arrive au 7 (7è coupe, 7è sceau, 7è trompette), c’en est fini ; fini de ce monde, fini de Babylone (le monde moderne), fini de cette terre sous la coupe de Satan.
Je hasarde à ce stade, à savoir au 11 janvier 2021, et compte tenu de l’analyse des décennies et siècles précédents, la théorie -ou hypothèse- suivante : ne serions-nous pas en train de passer de la 5ème à la 6ème coupe, c’est-à-dire juste avant le couperet final de la 7ème (chute de Babylone ou fin du monde) ?
Qu’est-ce que la 5ème coupe ?
Un problème chez les méchants, dans le monde de l’Antéchrist : « et le cinquième ange répandit sa coupe sur le trône de la bête, et le royaume de celle-ci devint plein de ténèbres, et ils se mangèrent [réciproquement] les langues de douleur » (Apoc. 16 :10). Or que fut l’administration Trump, si ce n’est un grave problème, et même un coup d’arrêt, dans les projets de la synagogue de Satan ? Non pas que Trump fasse partie des justes, mais il n’appartenait pas au bon groupe. Ne les a-t-on pas vu se mordre la langue de rage durant ces 4 longues années, à faire la guerre sans relâche au président et à son groupe ? Et perdre 4 ans au passage sur leur minutieux programme et leur non moins précieux calendrier, qui n’est pas extensible à l’infini. Voilà pour la bête politique.
Et pour la bête religieuse, car je rappelle qu’il y a deux bêtes, même scénario à peu près à la même période : le pape François est bloqué dans ses projets par le pape émérite Benoît XVI. Ce dernier s’est prêté au jeu dans les premières années du pontificat de son successeur, s’associant aux canonisations sacrilèges de Jean XXIII et Jean-Paul II, ne réagissant pas aux encycliques de la nouvelle théologie (Laudato si, Amoris laetitia…). Mais depuis bientôt 3 ans, la bataille feutrée entre le conservateur et le révolutionnaire s’est muée en affrontement presque direct, suffisamment visible, malgré les hypocrisies de façade, pour qu’un observateur averti s’en aperçoive. Non seulement, il y a un an, le pape émérite a empêché l’initiative -prévue- d’enclencher le processus de mariage des prêtres, mais sa présence bloque toute initiative plus lourde, comme par exemple, modifier le contenu de la messe pour la rendre définitivement compatible avec le protestantisme, et au passage supprimer la Présence Réelle. L’Antéchrist aux commandes au Vatican ne sera libéré de cette épine -de cette 5è coupe ?- qu’à la mort du pape émérite. Pourquoi pas aux alentours ou pour le 20 janvier, afin que tous les acteurs soient enfin définitivement alignés ?
Ceci nous mènerait à la 6ème coupe, qui me semble imminente.
En effet, cette coupe correspond au rassemblement des troupes de l’ennemi pour la bataille finale de l’Armagedon. Elle commence par trois esprits immondes en forme de grenouilles qui sortent de la bouche du dragon, de la bouche de la bête et de la bouche du faux prophète. (Apoc. 16 :13)
Bien entendu, les trois bêtes sont plus facilement identifiables aujourd’hui, et on peut estimer -c’est une piste d’interprétation, une hypothèse de travail- que les trois esprits immondes soient personnalisés par leurs leaders respectifs :
– le chef, le dragon, c’est la synagogue de Satan, leader Joe Biden
– la bête de la terre, bête politique, leader Emmanuel Macron
– la bête de la mer, bête religieuse, leader le pape François
Les trois sont parfaitement alignés sur l’ensemble des grands thèmes, que ce soit la théorie du réchauffement climatique, la socialisation de masse, ou la gestion de la crise du Covid.
Ils seront tous trois alignés pour le jour J, le 20 janvier 2021, à charge pour François de se débarrasser d’ici là du pape émérite, seule ombre subsistant au tableau.
Bien entendu, derrière les hommes il y a les organisations visibles (ONU, UE, etc) et invisibles (franc-maçonnerie, haute finance, Illuminatis etc). Les bêtes et l’Antéchrist doivent d’abord être considérés comme des entités collectives.
Et que les hordes de barbares modernes soient des hommes en costume-cravate en Mercedes avec chauffeur ne change rien à l’affaire : c’est bien notre éradication physique et spirituelle qu’ils projettent, et qu’ils largement déjà commencée.
L’assaut final pourra alors être enclenché ; la cible visée est bien entendu la civilisation chrétienne, ou plutôt ce qu’il en reste : voilà l’enjeu de la bataille de l’Armagedon. De ce passé il faut faire table rase définitivement, que ce soit en termes de peuples, de cultures, ou de pratiques religieuses.
Dans quelles proportions ? Nul ne le sait. Si on les laissait faire, ils élimineraient tout et tout le monde, par pays entiers s’il le faut. Pourquoi ont-ils besoin des Etats-Unis et de leur puissance nucléaire si ce n’est pour s’en servir ?
Peu importe à la limite car nous savons que ce projet n’aboutira pas : seul leur rassemblement pour l’hallali (les 10 rois et le dernier mois : Apoc. 17 :12) est prévu dans les textes : c’est alors que s’enclenchera la véritable colère de Dieu, sous la forme de l’effondrement et la disparition de leur monde : la 7ème trompette proprement dite, à savoir la chute de Babylone : « et la grande Babylone revint en mémoire devant Dieu pour qu’il lui donnât le calice du vin de l’indignation de sa colère. » (Apoc. 16 :19).
Conclusion
S’il n’y a pas d’erreur, nous sommes très proches du 7, de la 7è période : les ennemis de Dieu et du peuple de Dieu s’apprêtent à s’assembler en Armagédon (au sens figuré : ils sont tous prêts à exécuter le même plan, sans plus aucun obstacle sérieux) pour l’assaut final : leur commencement…
C’est ainsi qu’ils comptent entrer dans « leur ère » au soir du 20 janvier. Mais ils seront bloqués par un événement imprévu, celui plus connu sous le nom de résurrection des témoins, assimilable à la 7è coupe, que j’espère et anticipe au 21 janvier, ou à partir du 21 janvier, et qui enclenchera irréversiblement l’épisode suivant, définitif celui-là : la chute de Babylone.
C’est une hypothèse qui mérite d’être suivie de près.
En attendant, ne nous mêlons pas aux choses du monde, aux soubresauts de Babylone, restons concentrés sur notre vie spirituelle et sous la protection de la nouvelle arche : la Vierge Marie.
Illustration : l’ère du verseau, une ère mort-née ?
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