La conversion des juifs

Il est temps de clarifier un des points les plus mystérieux de la fin des temps : la conversion des juifs. Cet événement, propre à la théologie chrétienne qui se base essentiellement sur les écrits de saint Paul, est situé par les théologiens et les exégètes à la fin des temps (ou fin du monde) dont il constituera un des phénomènes les plus spectaculaires.
Il est donc indispensable d’en décrypter le sens, d’en découvrir la signification profonde, si on veut être capable de le reconnaître le moment venu.
Pour cela, il faut définir ce que signifie le terme « juif », savoir quelles personnes il est susceptible de désigner, et à partir de là, tenter d’en déduire ce que veut dire « conversion des juifs ».
Sachant que, et cette précision est fondamentale, nous sommes tous obligés de transposer à notre époque des textes écrits il y a deux mille ans ; mais les termes utilisés peuvent-ils être transposés aujourd’hui exactement de la même manière et avec le même sens, compte tenu de l’évolution historique tant des peuples que des religions ? Peu de gens se posent cette question, et pourtant elle est vitale.

Or, on va le voir, le mot « juif » a deux sens ; il désigne :
– d’une part les descendants d’Abraham, Isaac et Jacob ; il s’agit ici d’une définition ethnique, c’est à dire d’un peuple charnel, descendant du patriarche Abraham par le sang ;
– et d’autre part, ceux qui pratiquent le judaïsme, religion dérivée du mosaïsme, à savoir celle du Dieu unique et éternel ; il s’agit là d’un peuple spirituel, descendant d’Abraham par la foi.
Les deux forment le Peuple de Dieu ou Peuple élu, à savoir celui que Dieu s’est choisi parmi toutes les nations pour être SON peuple exclusivement, du moins dans l’Ancien Testament, c’est à dire jusqu’à Jésus-Christ.

Tout ceci est primordial à savoir, car tout membre du peuple de Dieu est appelé Fils de la promesse, et cette promesse divine c’est la domination du monde, et la possession de toutes ses richesses. En théorie, ce peuple est supérieur à tous les autres parce qu’il a été choisi par Dieu, qu’il en possède l’exclusivité (par le sang et par la foi), exclusivité qui ne s’étend pas aux Gentils (les autres peuples non-juifs), et qu’à ce titre, il est le seul à rendre un culte à l’unique et vrai Dieu, culte qui lui a été donné et transmis par Dieu en personne. Je rappelle que le premier des dix commandements est d’affirmer qu’il n’y a qu’un seul Dieu et qu’un seul culte à lui rendre ; or les juifs prétendent, encore aujourd’hui, en tant que Peuple élu, avoir l’exclusivité de cette foi et de ce culte, et donc d’être eux seuls les Fils de la promesse.

Cette distinction (peuple ethnique/peuple spirituel) est confirmée sur Wikipédia :
« L’Académie française distingue entre les Juifs (avec une majuscule — les « personnes descendant de l’ancien peuple d’Israël ») et les juifs (sans majuscule — « personnes qui professent le judaïsme ») ».
Voyons donc ce qu’il en est exactement.

Juif : peuple ethnique ?

J’irai à l’essentiel, sans rentrer dans les détails. Dans la bible Dieu se choisit un peuple exclusif (par le sang, donc ethnique) à partir d’Abraham. Ce peuple sera constitué de sa descendance, à savoir son fils Isaac puis Jacob. A partir de Jacob, ce peuple prend de l’ampleur via ses douze fils qui seront à la tête des douze tribus d’Israël. On leur donne le nom d’hébreux, puis d’israélites à partir de Jacob, parce que Dieu donne à ce dernier un nouveau nom : Israël.
Israël est donc un peuple ethniquement homogène, issu des douze tribus, à qui sera donné une religion et un culte précis, par Dieu via Moïse ; on parlera principalement, pour désigner cette religion, de mosaïsme.
Ce peuple reste homogène ethniquement et territorialement (la Terre promise) jusqu’au roi Salomon. A la mort de Salomon, le royaume se scinde en deux :
– Le royaume d’Israël, ou royaume du Nord, qui prendre ensuite pour nom royaume de Samarie, et qui regroupe dix tribus sur douze ;
– Et le royaume de Juda, au sud, qui regroupe les tribus de Juda et de Benjamin.
Il y a là déjà un fait essentiel à connaître, et hélas ignoré par beaucoup, concernant la succession ethnique des hébreux : c’est que le royaume d’Israël/Samarie disparaît entièrement à partir de la conquête assyrienne. Les Assyriens vont d’une part déporter massivement les israélites des régions conquises, et importer tout autant massivement dans celles-ci des populations étrangères. Les historiens situent aux alentours de 720 avant J.C. la disparition du royaume de Samarie.
Et sur ce point les historiens sont unanimes : dix tribus sur douze ont complètement disparu à cette époque. Enfin presque, parce que la tribu de Lévi, composée des prêtres chargés du service du Temple de Jérusalem et des synagogues, ne possédait pas de territoire en propre. Quelques descendants de ces dix tribus dispersées ont tenté au fil des siècles, de se faire reconnaître en tant que « juifs », constituant une première diaspora, non reconnue, et avec un succès très limité.
Voilà pourquoi, au temps de Jésus, les habitants de ces contrées, tant les Galiléens que les Samaritains, étaient considérés comme des étrangers, parce que le mélange des populations y fut tel durant des siècles qu’il y était impossible de distinguer entre les descendants des hébreux et les étrangers « importés ». Sans compter les différences religieuses.

Ainsi, par défaut, le seul territoire occupé par des hébreux identifiables ethniquement est la Judée,
qui regroupe les tribus de Juda et de Benjamin, avec Jérusalem pour capitale. Voilà pourquoi le mot juif va s’imposer pour désigner les descendants d’Abraham, Isaac et Jacob, parce que juif est dérivé de Juda/Judée/Judéens, soit deux tribus sur douze ; ou plutôt deux tribus et demi, si on prend en compte les rescapés de la tribu de Lévi.

Mais vont-il rester homogènes ethniquement ?
La déportation à Babylone du peuple de Judée constitue une première dispersion. Mais le peuple judéen (juif) se reconstitue et reprend son territoire. Puis ce sera l’invasion romaine, à l’origine de la première diaspora officielle. Puis la chute de Jérusalem en 70 après J.C. sera suivie de la dispersion des judéens survivants à travers le monde. Cette population a-t-elle pu rester homogène ethniquement dans ces conditions comme elle le prétend ?
Rien n’est moins sûr et c’est même impossible : entre les massacres, les pogroms, les mariages mixtes et les conversions, les juifs, quels qu’ils soient et où qu’ils soient, ne peuvent prétendre au bout de deux mille ans, descendre encore par le sang d’Abraham, Isaac et Jacob.

D’ailleurs ils le reconnaissent eux-mêmes.
Ce sont des juifs tels Benjamin Freedman, Arthur Koestler ou Shlomo Sand qui ont révélé au monde l’existence des tribus Khazars, peuple de la mer Caspienne qui s’est massivement converti au judaïsme au VIIè siècle et dont sont issus la plupart des juifs d’Europe de l’Est, c’est à dire le groupe ethnique connu sous le nom de juifs ashkénazes.
Ainsi donc, le groupe qui constitue aujourd’hui environ 80% de la population dite juive n’a pas pour origine ethnique les hébreux bibliques.
L’historien israélien Shlomo Sand va encore plus loin puisque, selon lui, la diaspora juive serait le fruit de conversions successives.
Ainsi donc, entre ces conversions massives de peuplades non ethniquement juives mais qui se considèrent juives par la religion, et entre les inévitables et très nombreux mariages mixtes (de juifs avec des Gentils ou avec des juifs par la religion et non par le sang, tels les Khazars), le tout étalé sur des siècles, et sachant que ne subsistaient il y a plus de deux mille ans seulement deux tribus sur douze, il est impossible de considérer et d’affirmer que de nos jours ceux qui s’affirment juifs le soient par le sang.

Mais ils entretiennent le mythe, sans se rendre compte des contradictions. Par exemple l’historien français Marc Bloch, qui se présente comme Juif par la naissance et non par religion, dit en introduction de L’Étrange Défaite que « juif » désigne « un groupe de croyants, recrutés, jadis, dans tout le monde méditerranéen, turco-khazar et slave » (Wikipédia).
Oui mais alors, on ne peut pas être à la fois juif par la naissance (sous-entendu descendant des 12 tribus d’Israël) et reconnaitre en même temps que les juifs se sont recrutés parmi plein de populations différentes qui n’ont rien à voir avec les hébreux bibliques.
Le seul moyen de reconnaître la valeur de juif à ces populations, c’est de privilégier le sens spirituel : ils sont juifs par leur foi commune dans le judaïsme.

C’est d’ailleurs ce que reconnaît en substance l’état moderne d’Israël. L’historien Israël Shahak précise : « Selon le droit israélien, une personne est considérée comme « juive » si sa mère, sa grand-mère, son arrière-grand-mère et sa trisaïeule étaient de confession juive ; ou bien si cette personne s’est convertie au judaïsme d’une façon jugée satisfaisante par les autorités israéliennes ; et à condition bien sûr que la personne en question ne soit pas convertie du judaïsme à une autre religion, auquel cas Israël cesse de la considérer comme juive. »
Donc même Israël le dit : aujourd’hui on est juif par le judaïsme et non par la naissance.

Juif : peuple spirituel ?

L’autre signification du mot juif est de désigner le Peuple de Dieu par la foi, c’est à dire le peuple qui a été chargé par Dieu à partir d’Abraham de professer sa croyance dans le Dieu unique et éternel de la bible, et à lui rendre un culte spécifique, dont les modalités ont été fixées par Dieu lui-même et transcrites dans plusieurs livres tels que le Deutéronome ou le Lévitique. On appelle cette religion le mosaïsme, car héritée de Moïse, le patriarche chargé de la transmettre et de la faire appliquer.
Cette religion va petit à petit se scinder en différents courants dont les principaux étaient, du temps de Jésus, les Esséniens, les Zélotes, les Pharisiens et les Sadducéens. On ne parlait pas alors de judaïsme, terme lui aussi dérivé de Judée, qui apparaîtra lorsqu’il faudra distinguer la religion des Judéens (des juifs) de celle naissante d’un certain christianisme.

MAIS, et là encore c’est primordial parce que ça change tout, nul n’ignore que la promesse de Dieu est double : la domination du monde certes, mais d’abord et avant tout l’avènement du Messie, du Fils de Dieu en personne, venue vers laquelle tend tout l’Ancien Testament et en laquelle sont placés tous les espoirs du peuple hébreu. Venue qui doit se faire exclusivement au sein du Peuple de Dieu, voilà pourquoi Dieu s’est choisi un peuple à la fois charnel et spirituel : pour qu’il n’y ait pas d’ambiguïté sur l’Incarnation du Fils de Dieu : il ne peut se révéler et prendre la nature humaine qu’au milieu de SON peuple, peuple par le sang et par la foi, puisqu’il est alors le seul au monde à pratiquer la religion du vrai Dieu. D’où l’homogénéité ethnique et spirituelle.

MAIS, et là encore j’insiste tellement c’est important, lorsque le Messie se révèle sur terre, c’est pour annoncer aux hommes une nouvelle forme de son Peuple, une évolution qui ne pouvait avoir lieu qu’à partir du Messie.
Cette nouvelle forme c’est le fait que le Peuple de Dieu devient exclusivement spirituel, dévoile Jésus-Christ, le Messie tant attendu. « Mon royaume n’est pas de ce monde » dit-il, parce qu’il ne relève pas du domaine matériel mais du domaine spirituel : le Christ veut régner dans nos âmes.
Or l’extraordinaire mutation qu’offre Jésus qui fait de tout homme un Temple de Dieu (par la Présence divine dans son âme), ne pouvait être possible qu’à partir du moment il avait institué les Sacrements, c’est à dire les moyens divins de rendre concrète cette spiritualisation des âmes à tous, et pas seulement à une poignée de privilégiés.

Voilà pourquoi le Messie révèle un nouveau statut du Peuple de Dieu qui ne pouvait pas être connu auparavant ; et voilà pourquoi, du coup, la possibilité d’être membre du peuple de Dieu s’élargit à tous les hommes, juifs de naissance comme Gentils.
Je rappelle que les descendants d’Abraham, Isaac et Jacob, avaient droit au titre de Fils de la Promesse, de Fils de Dieu. Or le Christ étend ce statut à tous ceux qui croient en lui, nous rappelle saint Jean dans le prologue de son évangile : « Mais à tous ceux qui l’ont reçu, il a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, à ceux-là qui croient en Lui. » (Jean 1:12)
Et le nouveau peuple de Dieu, élargi de cette façon, puisque sa pierre d’achoppement c’est le Christ, porte désormais un nouveau nom, dérivé de son fondateur : le christianisme, les chrétiens.

Il faut donc bien comprendre cette distinction essentielle :
Le mot juif pris dans son sens spirituel c’est à dire désignant le peuple de Dieu, est remplacé par le mot chrétien à partir de Jésus-Christ, parce qu’il désigne les mêmes personnes.
Cela veut dire que lorsqu’on transpose un texte de l’Ancien Testament dans le monde après Jésus-Christ, les termes Israël, juif ou peuple de Dieu doivent être appliqués aux chrétiens et non pas aux juifs, puisque les juifs après Jésus ne désignent plus les enfants de Dieu.

Il est là le drame du sens spirituel du mot juif : il ne désigne plus depuis Jésus le Peuple de Dieu.
Et Jésus ne l’a pas caché : « C’est pourquoi je vous le dis : le royaume de Dieu vous sera ôté pour être donné à un peuple qui en produira les fruits. » (Matthieu 21:43).
C’st très clair : Jésus leur dit que le royaume spirituel n’est plus entre les mains des juifs mais d’un autre peuple, celui qui sera appelé les chrétiens, un mot au singulier (peuple) pour montrer que le principal c’est la foi qui les unit.

Voilà pourquoi en réaction, les juifs qui ne se convertirent pas vont créer le judaïsme, rabbinique au départ, talmudique par la suite, qui continue à se considérer comme le peuple élu.
C’est un mensonge, au même titre que la mystification ethnique dont on parlait plus haut : le judaïsme n’est pas la religion de Dieu.
La religion de Dieu c’est le christianisme, c’est à dire le mosaïsme initial corrigé, enrichi et sanctifié par le Messie.
Sans la mise à jour effectuée par le Messie, le judaïsme perd son statut de religion de Dieu, même s’il fait référence au mosaïsme de l’Ancien Testament et le perpétue en partie.
D’ailleurs les chrétiens se réfèrent tout autant à l’Ancien Testament que les juifs et sont les seuls à disputer aux juifs le statut de Peuple de Dieu. À raison.

Ceux qui se disent juifs mais ils mentent et ne le sont pas

Constatation N°1 : le juif ethnique n’existe plus. Les juifs actuels qui prétendent descendre encore d’Abraham, Isaac et Jacob (d’être les hébreux bibliques) mentent et s’illusionnent eux-mêmes.
Ils n’ont donc pas droit en réalité au nom de « juif » du moins dans sa définition charnelle.

Constatation N°2 : le juif spirituel, c’est à dire Peuple de Dieu par la foi et la religion n’existe plus non plus. Car le judaïsme talmudique et rabbinique n’est pas l’héritier du mosaïsme initial puisqu’il a refusé l’évolution que le Messie, Dieu le Fils, a apporté à cette religion, qui s’est développée sous le nom de christianisme, seule religion désormais à assurer la continuité avec le mosaïsme.
Les pratiquants actuels du judaïsme n’ont donc pas le droit au nom de « juif » dans sa définition spirituelle.

Trois preuves :

1) l’Apocalypse
À plusieurs reprises, saint Jean dans l’Apocalypse emploie cette mystérieuse phrase :
« Voici donc que je te donnerai quelques-uns de la synagogue de Satan, qui se disent être juifs et ils ne le sont pas, mais ils mentent. » (Apoc. 3:9)
Paroles mystérieuses ? Plus maintenant. N’oublions pas que nous transposons plusieurs siècles en avant des paroles écrites au 1er siècle. Puisque depuis Jésus les juifs ont perdu leur statut de peuple spirituel, et qu’ils ont aussi depuis bien longtemps perdu leur statut de peuple ethnique, saint Jean nous dit tout simplement (ces paroles sont données à l’église de Philadelphie, la 7è église !) qu’à cette époque là, ceux qui se diront juifs, que ce soit par la foi ou par le sang, seront des menteurs. C’est parfaitement exact.
Et puisque nous transposons, ça marche aussi dans l’autre sens, c’est à dire quand le mot juif est pris dans le sens de chrétien, de Peuple de Dieu, parce que là aussi, il existe un certain nombre de faux chrétiens. Les Protestants et leurs dérivés, du fait de leurs hérésies et de leurs déformations de la foi, utilisent abusivement le nom de chrétiens. Ce sont des menteurs, ils ne font pas partie de la chrétienté, ils se disent juifs (dans le sens de chrétiens) mais ils mentent et ne le sont pas.

2) La tribu de Dan
Dans un autre passage célèbre de l’Apocalypse, le décompte des justes, ceux-ci sont dénombrés symboliquement par 12000 issus des douze tribus d’Israël, sauf celle de Dan, ce qui a suscité de nombreuses hypothèses, et notamment celle que cette absence indiquerait que l’Antéchrist serait issu de la tribu de Dan.
Pourquoi pas. En fait, c’est très simple : chaque tribu s’était vu attribuer un territoire donné. Sur le territoire de Dan se trouvait un port, qui porte aujourd’hui le nom de Tel-Aviv. Et Tel-Aviv c’est la capitale de l’Israël actuel ; c’est à Tel-Aviv que Ben Gourion proclame la naissance de l’état d’Israël moderne en 1948.
Cela veut dire en clair que les juifs actuel, qui considèrent Israël comme leur pays, sont les seuls à ne pas faire partie des 12 tribus de justes c’est à dire à ne pas faire partie du peuple de Dieu : donc ceux qui se disent juifs aujourd’hui sont les seuls à ne pas être juifs dans le sens spirituel du terme !
En réalité ils ne sont pas juifs. Ni charnellement, ni spirituellement. Incroyable la précision donnée 18 siècles avant !

3) Les Evangiles
La symbolique des 12 tribus reprise dans l’Apocalypse est utilisée par Jésus qui, à plusieurs reprises, parle du Royaume de Dieu où ses apôtres pourront « siéger sur des trônes pour juger les douze tribus d’Israël » (Luc 22:30)
Il est certain que Jésus ne parle pas ici des douze tribus dans leur sens littéral, ne serait-ce parce que déjà, de son temps, il n’en subsiste plus que dix sur douze. Il emploie cette expression dans le sens mystique habituel de Peuple de Dieu, et nous savons tous que le Peuple de Dieu est un ensemble qui évolue au fil du temps : ce sont d’abord les justes jusqu’à Abraham, les hébreux-israélites-juifs ensuite, les chrétiens enfin : c’est tout ça en réalité les douze tribus d’Israël.
Et sûrement pas ceux qui se disent juifs aujourd’hui et qui ne sont ni les descendants des israélites, ni des enfants de Dieu.
Il faut donc constamment corriger dans son sens mystique et spirituel, en tenant compte des évolutions historiques depuis Jésus-Christ, le langage que nous lisons dans les Ecritures Saintes, qu’il s’agisse de l’Ancien ou du Nouveau Testament, surtout quand nous le transposons à notre temps.

Mais alors, QUI sont les juifs qui doivent se convertir ?

Sur quels textes avons-nous bâti le concept de la conversion des juifs ? J’utilise sciemment le mot concept car, on vient de le voir, la déduction n’est pas aussi évidente qu’elle en a l’air.

La doctrine de la conversion des juifs se base essentiellement sur l’épître aux Romains de saint Paul, et principalement sur les extraits suivants :

« Or, si leur chute a été la richesse du monde, et leur amoindrissement la richesse des Gentils, que ne sera pas leur plénitude!
Car si leur rejet a été la réconciliation du monde, que sera leur réintégration, sinon une résurrection d’entre les morts ? »
(Rom. XI, 12 et 15)

« Car je ne veux pas, frères, vous laisser ignorer ce mystère, de peur que vous ne vous complaisiez en votre sagesse ; une partie d’Israël s’est endurcie jusqu’à ce que soit entrée la totalité des païens et ainsi tout Israël sera sauvé, comme il est écrit : De Sion viendra le Libérateur pour ôter les impiétés du milieu de Jacob. Et voici quelle sera Mon alliance avec eux lorsque J’effacerai leurs péchés« . (Rom. XI, 25-27)

Ceci est complété dans la 2è épître aux Corinthiens (3:15) où saint Paul révèle aussi le retour des juifs au Seigneur : « Oui, jusqu’à ce jour, lors de la lecture de Moise, un voile s’est posé sur leur cœur. Quand ils se convertiront au Seigneur, le voile tombera. »

Effectivement, quand on lit saint Paul, il parle des hébreux bibliques et de leurs descendants les juifs ; il précise d’ailleurs qu’il est lui-même « Israélite, du lignage d’Abraham, de la Tribu de Benjamin« . (Rom. XI, 1).
Mais ce qui était valable du temps de saint Paul n’est plus applicable aujourd’hui puisque ceux qui se disent juifs ne le sont ni ethniquement ni spirituellement.
Dieu, qui parle par la voix de saint Paul, le savait : par conséquent, s’il n’y a pas d’erreur, il nous faut découvrir QUI est désigné par ces paroles.


L’abbé Julio Meinvielle, théologien de la première moitié du XXè siècle, analysant ces éléments dans son livre Les juifs dans le mystère de l’histoire, va nous mettre sur la voie. Je propose ici une thèse personnelle, élaborée à partir de la réflexion et de la méditation sur tous ces sujets, à l’aide des explications des uns et des autres qui, involontairement, nous mettent sur la piste.

Voici quelques extraits, certains passages reprenant des thèmes abordés plus haut, mais dont la progression des idées conduit à une proposition à laquelle l’auteur n’avait pas pensé :

« Le peuple juif, fils d’Abraham, a donc son origine en Dieu, parce que c’est Lui qui le sélectionne du reste de l’humanité, et parce qu’Il lui promet Sa bénédiction de telle façon qu’en lui seront bénis tous les lignages de la terre.
Alors, Israël est grand, et grand d’une grandeur théologique.
Mais cette grandeur d’Israël repose-t-elle purement sur sa descendance charnelle d’Abraham, en lequel ce peuple est formé dans les côtes du Patriarche, ou bien repose-t-elle sur la foi qu’a Abraham en la Promesse de Dieu ?
Cela est extrêmement important : parce que si les bénédictions de Dieu sont pour la descendance charnelle d’Abraham, alors, du fait d’être fils d’Abraham, le peuple juif sera choisi et béni entre tous les lignages de la terre. Si par contre les bénédictions sont réservées à la foi en la Divine Promesse, la simple descendance charnelle n’a pas de valeur ; il faut descendre d’Abraham par la foi à la Promesse, c’est-à-dire une descendance spirituelle fondée sur la foi. »

Puis Meinvielle compare Ismaël et Isaac :
« Ce n’est donc pas la descendance charnelle d’Abraham qui sauve, mais son union spirituelle par la foi au Christ.
Le peuple juif formé en Abraham, ce n’est pas précisément par son union charnelle avec Abraham, mais en s’assimilant dans la foi, en croyant au Christ, qu’il pourra atteindre son salut.
Tous ceux qui s’unissent au Christ forment la descendance bienheureuse d’Abraham et des Patriarches, et sont l’objet des Divines Promesses. L’Eglise est Sarah rendue féconde par la vertu de Dieu. L’esprit vivifie, et la chair, au contraire, ne vaut rien, dira plus tard Jésus-Christ. (Jean 6) ».
Meinvielle rappelle ce qui a été dit plus haut : on ne peut dissocier l’Ancien du Nouveau Testament, on ne peut dissocier la Promesse divine du Christ. Tout est relié au Christ, à commencer tout le contenu de l’Ancien Testament.
Il explique également qu’Abraham a deux lignées charnelles : Ismaël et Isaac ; mais seule la ligné d’Isaac est valable parce qu’elle représente et symbolise la lignée spirituelle, seule valable dans l’économie divine.

Nuances que confirme Meinvielle :
« Aussi faut-il distinguer entre les vrais israélites, parce qu’ils imitèrent sa foi en Dieu en croyant en Jésus-Christ – ce sont eux figurés par Isaac – et les Israélites qui descendent d’Abraham par la chair sans imiter sa foi – ce sont eux préfigurés par Ismaël. »

« Saint Paul, dans son Epître aux Romains, où il révèle le mystère du peuple juif, fait voir comment Esaü, l’aîné selon la chair, c’est le peuple juif uni à Abraham par les simples liens du sang, et Jacob le frère cadet, c’est l’Eglise (formée de Juifs et de Gentils), qui, parce qu’elle est unie par la foi au Christ, est préférée à Esaü. »
Ici il répète la symbolique des 12 tribus d’Israël : le peuple de Dieu ne trouve son accomplissement, sa pérennité et sa continuité que dans le Christ. Pas de peuple de Dieu sans Jésus-Christ à sa tête, et ce dès Jacob, dès l’Ancien Testament.

« Face à l’Eglise, qui est Isaac, Jacob, Abel, que va faire la Synagogue ? Que va faire le juif ?
Il remplira le rôle d’Ismaël, d’Esaü, de Caïn.
Que faisait Ismaël avec Isaac ? Il se moquait de lui et le persécutait. Que faisait Esaü contre Jacob ? La Genèse nous dit : (XXVII) « Donc Esaü hait toujours Jacob pour la bénédiction que son père lui avait donnée. Et il disait en son cœur : viendront les jours de deuil de mon père, et je tuerai mon frère Jacob. »
Voici le rôle qui incombe dès lors à la Synagogue, au juif qui reste juif et ne veut pas reconnaître le Christ : il s’emploiera à persécuter l’Eglise, comme le fait remarquer l’Apôtre.
Et il devra le faire parce que telle est sa mission, son rôle théologique. Alors le juif sera l’agent de l’iniquité. »
Je ne sais pas si le lecteur a remarqué que l’abbé Meinvielle, ici, sans y apporter lui-même de l’attention, vient d’étendre la notion, le statut de « juif » à tous ceux qui remplissent dans la bible le rôle d’ennemis des enfants de Dieu : Caïn, Ismaël, Esaü, autant de personnages qui ne sont pas considérés comme juifs alors que les deux derniers en ont le sang, puisqu’ils descendent eux aussi d’Abraham.
Mais laissons-le continuer son raisonnement :

« Après le Christ, il n’y a, pour les descendants d’Abraham, que deux chemins : ou bien être chrétiens en adhérant au Christ, ou bien être juifs. Celui, qui sciemment, ne se convertit pas sincèrement au Christianisme, est juif, avec toutes les perversités sataniques de la race stigmatisée. »
Cela veut dire que le mot juif prend un autre sens : il désigne une nouvelle race spirituelle, ceux qui s’opposent au Christ, la race des ennemis de Dieu dont il prend, en quelque sorte, la direction.

« Dans le monde actuel, dans toutes les manifestations de la vie, il ne peut y avoir que deux modes véritablement fondamentaux, deux pôles d’attraction : le chrétien et le juif. Seulement deux religions : la chrétienne et la juive. Seulement deux internationalismes : le chrétien et le juif. Tout ce qui n’est pas du Christ et pour le Christ se fait en faveur du judaïsme. De là vient que la déchristianisation du monde va de pair avec sa judaïsation.
Pourquoi ne peut-il y avoir que ces deux modes ? Parce que ce sont les seuls voulus par Dieu. Ce sont les seuls théologiques. Dieu a réparti le monde entre Isaac et Ismaël, entre Jacob et Esaü, entre Caïn et Abel, entre le Christ et l’Anti-Christ.
Toutes les forces humaines doivent se replier sur l’un ou l’autre front. »

Ces mots de l’abbé Meinvielle éclairent d’un jour nouveau le sens que l’on peut donner au vocable juif à partir de Jésus-Christ : en réalité il recouvre tous les ennemis actifs du Christ et de la chrétienté. Pas seulement ceux qui se prétendent juifs à l’heure actuelle, et qui ne le sont pas dans les deux sens du terme (tant ethnique que spirituel), mais tous ceux qui s’associent à eux dans le but de détruire la chrétienté.

Ceci explique aussi le fait que l’on retrouve des juifs dans toutes les grandes œuvres du démon contre le Christ : derrière la création de l’Islam, derrière la Renaissance, derrière la Réforme protestante, derrière la Franc-maçonnerie, derrière la Révolution, derrière le Capitalisme, derrière le Communisme… sont-ils tous juifs ? Oui dans le sens Enfants de Satan, et ceci recouvre bien plus de monde que les juifs ethniques, réels ou supposés.
Ceci explique aussi le fait qu’il y ait eu beaucoup de conversions au judaïsme et que cela ne pose pas de problème aux juifs en tant que tel, parce que ce qui unit tous ces hommes, c’est la haine du Christ et des siens, et ce qui les relie, c’est la contre-religion que constitue le judaïsme ; dans ce cadre, peu importe que ces hommes soient ethniquement des descendants d’Abraham, ils le deviennent par l’iniquité de leurs actes, qui les classent dans la catégorie des Esaü et des Ismaël, autres enfants d’Abraham, les véritables juifs selon Meinvielle. Et ce sont ces gens-là qui forment l’Antéchrist-système. La synagogue de Satan selon l’expression de saint Jean.

Conclusion

Après avoir méthodiquement exploré le sujet, on est sûrs que les juifs contemporains ne sont ni des descendants des hébreux bibliques, ni le Peuple de Dieu dans son sens spirituel. En fait ils ne sont pas juifs dans les deux sens du terme. Par contre, dans le vocabulaire théologique chrétien, à partir de Jésus-Christ, on peut estimer que le terme juif désigne l’ensemble des ennemis actifs du Christ.

Donc par extension, la conversion des juifs, c’est la conversion de tous les païens, de tous ceux qui n’ont pas encore la foi dans le Christ et qui seront convertis à la fin des temps : c’est la conversion générale des non-chrétiens, y compris des ennemis de Dieu, du moins de ceux qui le mériteront, ainsi que le retour à la foi des mauvais chrétiens (Protestants et dérivés) et même des chrétiens apostats, car tous sont concernés en tant que juifs, c’est à dire enfants de Dieu. Voilà ma thèse.

Conversion générale qui est le thème central des prophéties de Marie des Vallées, une mystique du XVIIè siècle, protégée de saint Jean-Eudes. Notre-Seigneur lui a dit « que le péché détruit, tout le monde se convertira« , ainsi que « Pour la conversion générale, tous les amis de Dieu à la fois se répandront sur la terre pour faire le siège des âmes. »
Conversion générale qui peut s’envisager à la Résurrection des Témoins, d’où l’allusion de saint Paul au principe de la Résurrection.
Mais auparavant, il faut détruire le péché, c’est le rôle de la grande tribulation : Notre-Seigneur et la Vierge Marie ont dit plusieurs fois à Marie des Vallées « qu’il viendra une grande et horrible affliction par laquelle ils anéantiront tous les péchés de la terre« . Cette tribulation est passée en phase active au concile Vatican II, car Notre-Seigneur appelle l’Eglise le calice du monde, et pour Lui « la défaillance du corps ecclésiastique est la plus grande douleur que connaisse le monde, même si le monde n’en a pas conscience. »
Mais il faudra aller jusqu’au bout du processus, jusqu’à la chute de Babylone et des bêtes, avant d’arriver à la conversion des juifs c’est à dire à la conversion générale.

Louis d’Alencourt, le 29 juillet 2022, en la fête de sainte Marthe

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839 Commentaires

  1. Bigouden29

    Vu sur le site « Benoit et moi »: Le pape au Kazakhstan: un pas de plus vers une religion mondiale ».
    C’est bien la preuve de l’apostasie de l’Eglise dont parle la sainte Vierge dans son message à la Salette.
    Mais ce n’est que l’aboutissement d’un long processus, d’un long travail de sape depuis des années.

    Une question: à quoi ressemblera la mort de l’Antéchrist ? Et est ce que la mort de la reine le 8 septembre
    serait annonciatrice de celle de l’Antéchrist-système ? ( commentaire de Jean-Luc hier)

        • dalencourt

          Non, l’Antéchrist-personne, s’il y en a un, c’est le pape François.

          Charles n’est qu’un des innombrables pions du Nouvel ordre mondial, au même titre que Joe Biden, ou Liz Truss, ou Karl Schutz, ou Schwab, ou von der Leyden, etc…

    • Uncle

      « Selon des rumeurs non confirmées mais même pas démenties pour l’instant, le pape François se rend depuis quelque temps trois fois par semaine à la polyclinique Gemelli de Rome. Les raisons ? Inconnue. Les visites commenceraient après le retour du voyage au Canada.

      Récemment, dans l’interview accordée à Tvi/Cnn Portugal, Francesco, disant ne pas pouvoir se rendre à Kiev, évoquait une aggravation des problèmes de genou après le Canada, à tel point que le médecin lui aurait conseillé de ne pas se rendre au Kazakhstan pour participer au septième Congrès des dirigeants des religions mondiales et traditionnelles. Le départ pour Nur-Sultan a plutôt eu lieu régulièrement, selon le programme, ce matin depuis Fiumicino.

      Selon les rumeurs recueillies, les visites du pape à Gemelli dureraient une heure et demie mais il n’est pas précisé quel serait le traitement actuel.

      Le 4 juillet 2021, Francesco a été hospitalisé à Gemelli pour une intervention chirurgicale qui a été nécessaire pour une sténose diverticulaire symptomatique du côlon.

      Au Kazakhstan, François participera au congrès et prononcera un discours. Il aura également des rencontres avec des chefs religieux, dont l’imam d’Al Azhar, Al Tayyeb. Il n’y aura pas de patriarche de Moscou Cyrille. Une déclaration commune est attendue à la fin du Congrès. La messe célébrée par le pape ralliera la petite communauté catholique du pays, qui constitue environ 1% des dix-neuf millions de Kazakhs, une population à 70% musulmane sunnite et à 26% chrétienne, majoritairement orthodoxe russe. Le Kazakhstan, visité par Jean-Paul II en septembre 2001, a obtenu son indépendance de l’Union soviétique en 1991. Le neuvième plus grand pays du monde abrite un séminaire catholique à Karaganda.

      « La motivation qui pousse le pape François à venir au Kazakhstan est liée à la situation actuelle, délicate et tragique en Ukraine », a déclaré Mgr Athanasius Schneider, évêque auxiliaire d’Astana, au Kazakhstan. « Historiquement, nous avons des Ukrainiens et des Russes qui vivent ici. Le Kazakhstan est un pont, géographiquement, entre l’Europe et l’Asie ».

      Lorsque le Vatican a confirmé le mois dernier que le pape ferait le voyage de trois jours au Kazakhstan, il y avait la perspective de rencontrer Kriill, mais le patriarche a déclaré plus tard qu’il n’y assisterait pas. »
      https://www.aldomariavalli.it/2022/09/13/voci-di-visite-del-papa-al-gemelli-mentre-francesco-e-partito-per-il-kazakistan/

      • Barnabé

        A suivre :
        « Le jeudi, deuxième jour du Congrès des leaders religieux, François rencontrera les jésuites du pays le matin, puis, comme nous l’avons déjà mentionné, le clergé dans la cathédrale. Le point principal du programme sera la lecture de la déclaration finale du Congrès des leaders religieux à 15 heures.

        Cette déclaration permettra de savoir quel consensus les leaders religieux trouveront entre eux et sur quels sujets, comment ils se positionneront par rapport au monde et quelle marge de manœuvre ils s’assureront par rapport aux puissants ou dans quelle mesure ils se soumettront à leur agenda global. La déclaration finale ne doit pas être surestimée dans son importance, mais elle fournira des points de repère dans le « grand jeu ». »

    • Jean-Luc

      Bonjour Bigouden29 et bonjour Louis,
      Nous pouvons encore faire un parallèle au niveau symbolique entre la mort de la reine, la mort de l’Antéchrist et la résurrection des témoins.
      En effet, la reine Elisabeth II fut couronnée le 2 juin 1953. Or, le 2 juin correspond à la fois au 153ème jour de l’année et au jour de naissance de Saint Pie X.
      Ainsi, nous pouvons y voir l’annonce prophétique de l’évenement conjoint de la mort des bêtes et de la résurrection des témoins puisque le nombre 153 symbolique l’ensemble des justes et cette résurrection des témoins de la foi sera le fait de ce groupe de fidèles de la Tradition au sens large (le fameux grand monarque) dont le chef de file est la FSSPX qui a pour saint patron Saint Pie X, né le 153ème jour de l’année.
      En union de prières avec vous tous.
      Deo gratias

  2. Uncle

    « INTERVIEW de Paix Liturgique à Mgr. Carlo Maria Vigano

    1 – Monseigneur, pourquoi, depuis Vatican II, la question liturgique est-elle si brûlante ?

    La question liturgique est d’une grande importance parce que la doctrine, la morale, la spiritualité et la discipline du corps ecclésial qui la réalise se résument dans l’action sacrée. Ainsi, tout comme la messe catholique est une expression parfaite et cohérente du magistère catholique, la liturgie réformée est une expression des déviations conciliaires, en effet elle révèle et confirme son essence hétérodoxe sans les malentendus et le verbiage des textes de Vatican II. On pourrait dire, pour utiliser une comparaison, que le sang sain de l’Evangile coule dans les veines de la messe tridentine, tandis que dans celle du nouveau rite coule le sang infecté de l’hérésie et de l’esprit du monde.

    2 – Le pape François, qui ne porte pas un grand intérêt pour la liturgie, n’a-t-il pas le mérite de soulever le vrai problème en disant que les deux formes liturgiques, l’ancienne et la nouvelle, correspondent à deux ecclésiologies ?

    (Le pape François, peu intéressé par la liturgie, n’a-t-il pas le mérite de poser le vrai problème en disant que les deux formes liturgiques, l’ancienne et la nouvelle, correspondent à deux ecclésiologies ?)

    C’est exactement ce que je viens de dire, et ce que les cardinaux Ottaviani et Bacci ont dénoncé avant moi dans leur Bref examen critique , Mgr Lefebvre dans ses nombreuses interventions et d’autres évêques et liturgistes. Ce que vous avez appelé les « deux formes liturgiques » d’un même rite sont en réalité deux rites, l’un pleinement catholique et l’autre muet sur les vérités catholiques et insinuant les erreurs d’une matrice protestante et moderniste. En cela, Bergoglio a parfaitement raison : quiconque embrasse Vatican II et ses développements hérétiques ne peut pas trouver ces erreurs exprimées dans la liturgie traditionnelle, qui, pour sa clarté dans la profession de foi, représente une condamnation et un reniement des hommes qui ont conçu le Novus Ordo .

    3 – Les documents de l’offensive contre le rite traditionnel se sont succédés depuis un an avec Traditionis custodes, Responsa de la CCD, Lettre apostolique Desiderio desideravi; peut-on considérer que la tentative a échoué et que la liturgie ancienne ne mourra pas?

    La première tromperie dans laquelle nous ne devons pas tomber est l’utilisation subversive des actes du gouvernement et du magistère. Dans ce cas, nous avons des documents qui n’ont pas été promulgués pour confirmer les frères dans la foi, mais pour les en éloigner, en nette contradiction avec le Motu Proprio Summorum Pontificum de Benoît XVI qui, au contraire, reconnaissait les pleins droits à la liturgie tridentine. Deuxièmement, l’intempérance d’un tyran autoritaire rongé par la haine de l’Église du Christ ouvre les yeux même aux plus modérés, leur montrant que toute la fraude conciliaire est fondée sur l’aversion pour les vérités exprimées par la messe tridentine, alors que dans le récit officiel la réforme liturgique ne visait qu’à les rendre plus accessibles aux fidèles en les traduisant.

    5 – Que conseillez-vous de faire dans cette situation aux laïcs désemparés ?

    Les laïcs sont des membres vivants du Corps Mystique et, en tant que tels, ils ont le droit naturel d’exiger que son autorité visible agisse et légifère conformément au mandat qu’il a reçu du Christ. Lorsque cette autorité terrestre, par une permission de la Providence, agit et légifère contre la volonté du Christ, les fidèles doivent d’abord comprendre que cette épreuve est un moyen permis par la Providence pour leur ouvrir layeux après des décennies de déviations et d’hypocrisie dont ils ont été submergés, auxquelles beaucoup ont adhéré de bonne foi précisément parce qu’ils obéissent à la Hiérarchie et ignorent la fraude perpétrée contre eux. Lorsqu’ils comprendront cela, ils remarqueront le trésor qu’ils ont été volés par ceux qui auraient dû le garder et le transmettre aux générations futures, et non le cacher après l’avoir dévalué pour remplacer une mauvaise contrefaçon. À ce moment-là, ils imploreront la Majesté de Dieu d’abréger les temps de l’épreuve et d’accorder à l’Église un Pasteur Suprême qui obéit au Christ, qui lui appartient, qui l’aime et qui lui rend un culte parfait.

    7 – Certains pensent qu’il faudra profiter de cette crise pour demander au futur pape non pas le retour à Summorum Pontificum mais la pleine liberté pour la liturgie traditionnelle ? Est-ce possible ?

    La liturgie traditionnelle jouit déjà de jure de la pleine liberté et de tous les droits, en vertu de sa vénérable antiquité, de la bulle Quo primum de saint Pie V et de la ratification par le corps ecclésial depuis deux mille ans. Le fait que cette liberté ne soit pas exercée est dû à la « prudence » des ministres de Dieu, qui se sont montrés obéissants sans réserve à toute décision de l’autorité de l’Église par le péché de servilité, plutôt qu’obéissant à Dieu qui est l’origine et fin de cette autorité. La pleine liberté de la liturgie traditionnelle sera certainement également restaurée de facto, mais avec cette restauration il faudra nécessairement abolir le nouveau rite, qui a amplement fait ses preuves à l’origine de la dissolution doctrinale, morale et liturgique du Peuple de Dieu.Le temps viendra où les malentendus et les erreurs des Concile sera condamné, et avec eux leur expression cultuelle.

    11 – Derrière toutes ces décisions apparemment décousus (Pachamama, guerre contre les dentelles et la liturgie traditionnelle, recul sur les questions morales etc.) voyez-vous la mise en place d’une stratégie ou d’un plan précis et cohérent ?

    Il est évident que cette action de guerre implacable contre les catholiques traditionnels comprend une stratégie et une tactique, et qu’elle répond à un plan conçu depuis des décennies pour détruire l’Église du Christ et la remplacer par sa contrefaçon œcuménique, mondialiste et apostate. Il serait insensé de penser qu’ils agissent sans but et sans s’organiser. L’élection de Bergoglio au Conclave de 2013 était également prévue : n’oublions pas les courriels entre John Podesta et Hillary Clinton sur la nécessité de promouvoir un « printemps de l’Église » dans lequel un Pape progressiste modifie leur doctrine et leur morale en les asservissant au Nouveau Monde Idéologie de l’ordre. Une action contre Benoît XVI était prévue pour le pousser à démissionner. Le travail subversif des innovateurs du Conseil était planifié. L’action des progressistes fidèles à Bergoglio est prévue dans les synodes, dans les réunions des dicastères de la curie, dans les consistoires. D’autre part, derrière les ennemis du Christ et de l’Église, Satan se cache toujours, avec ses complots, ses tromperies, ses mensonges.

    12 – Comment voyez-vous l’avenir de l’Eglise ?

    Je crois qu’à court terme, l’Église devra faire face aux désastres causés par Bergoglio et son couvent de corrompus. Les dommages de ce « pontificat » sont incalculables, et sont maintenant compris même par des gens simples, à qui le sensus fidei rend évidente l’incompatibilité absolue de la Hiérarchie actuelle avec le corps ecclésial. L’extranéité que l’on constate dans la sphère civile entre la classe politique et les citoyens est à l’image de celle de plus en plus profonde entre l’autorité ecclésiastique et les fidèles.

    À long terme, cependant, je crois que l’Église trouvera précisément dans cette crise profonde de la Foi un aiguillon pour se renouveler et se purifier, abandonnant définitivement cette attitude intrinsèquement libérale qui a jusqu’ici réuni Dieu et Mammon, le Christ et Bélial, Saint Pie V et Bergoglio. . Nous avons vu le visage déformé et horrible de l’Ennemi, qui pouvait s’infiltrer jusqu’au sanctuaire intérieurs’appuyant sur la volonté de compromis, sur la médiocrité des clercs, sur le respect humain et sur la timidité de la Hiérarchie. Nous avons devant les yeux la sainteté et l’humilité de tant de bons prêtres, religieux et fidèles qui se réveillent de leur torpeur et comprennent la bataille historique en cours. En même temps, nous voyons la corruption, la malhonnêteté, l’immoralité et la rébellion contre Dieu de ceux qui se présentent comme de véritables gardiens de l’autorité du Christ, qui au contraire usurpent avec obstination et exercent avec violence. Même un enfant sait de quel côté se tenir, qui écouter et de qui prendre ses distances. C’est pourquoi aujourd’hui les paroles de Notre-Seigneur sont toujours aussi valables : si vous ne vous convertissez pas et ne devenez pas comme des enfants, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux (Mt 18, 3). »

    https://www.marcotosatti.com/2022/09/13/vigano-a-pax-liturgique-vescovi-celebrate-la-messa-di-san-pio-v/

  3. Patrick

    Deux ouvrages essentiels à lire en cette rentrée de septembre 2022 !!!
    1/ ROME ou BABEL par Laurent Dandrieu (éditions Artège)
    2/ Eglise et immigration – le grand malaise par Laurent Dandrieu (le « pape » et le suicide de la civilisation européenne) (presses de la Renaissance)
    Au sujet du premeir ouvrage, Google note: «  »Appel vibrant à un renouveau catholique, Rome ou Babel trace une ligne de crête exigeante : la voie étroite qui mène à Dieu passe par une contribution singulière et enracinée à la civilisation chrétienne. « Un ouvrage essentiel, d’une exceptionnelle richesse. » Laurent Dandrieu est essayiste et journaliste. »

  4. Camaron

    🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸
    12 SEPTEMBRE
    LA FÊTE DU TRÈS SAINT NOM DE MARIE

    L’année 1683, les hôtes turcs se frayèrent un chemin à travers la Hongrie jusqu’à Vienne, et assiégeaient cette ville avec une armée de deux cent mille hommes. Lorsque le pape Innocent XI apprit ce terrible danger pour toute la chrétienté, il proclama un jubilé général et accorda une indulgence plénière à tous ceux qui viendraient au secours de l’empereur Léopold Ier par des prières, de l’argent, des armes ou des services. Il supplia les fidèles de faire pénitence et réforme, et les exhorta particulièrement à recourir à l’intercession de la Sainte Vierge, dont les prières sont toutes-puissantes auprès de son Fils.
    Le siège dura soixante jours et il parut impossible de tenir plus longtemps la ville. Mais lorsque le besoin est le plus grand, l’aide de Dieu est la plus proche. Jean Sobieski, roi de Pologne, se hâtait à marches forcées pour rejoindre le duc Charles de Lorraine, qui était le commandant en chef des armées alliées. Bien que les Turcs aient dépassé en nombre les forces chrétiennes, les dirigeants chrétiens dépendaient des prières de la Sainte Vierge.
    Le roi de Pologne a appelé les soldats à avoir foi en Marie et, au cri de « Jésus et Marie », les chrétiens sont tombés sur l’ennemi. La confusion s’empara des Turcs et ils prirent la fuite dans un désordre sauvage. L’équipement du camp, l’artillerie et les munitions de l’ennemi, sans parler des vivres et des trésors, ont tous été pris par les chrétiens. Cette grande victoire fut unanimement attribuée à l’intercession de la Sainte Vierge. En mémoire du merveilleux événement du pape Innocent XI. ordonna que la fête du Nom de Marie soit célébrée chaque année par toute la chrétienté. Profitons donc toujours du beau conseil que nous donne saint Bernard, en ces mots : dans tout danger de perdre la grâce divine, nous devons penser à Marie, et invoquer son nom, ainsi que celui de Jésus ; CAR CES DEUX NOMS VONT TOUJOURS ENSEMBLE.

  5. Claude

    Poutine est arrivé au Kremlin il y a quelques heures pour une réunion d’urgence du Conseil de sécurité et a fait une déclaration importante pour tout le pays :

    « En ce qui concerne la fourniture incessante d’armes au régime de Kiev, nous avons pris une décision grave. Dès le 24 février, j’ai averti l’Occident de ce qui l’attendait pour avoir interféré dans notre opération spéciale et aidé le régime nazi. Jusqu’à présent, seule une petite partie de notre contingent militaire a été déployée en Ukraine.

    Le 14 septembre, une opération de grande envergure sera déclenchée… »

    • dalencourt

      N’oublions pas que le 15 septembre au soir, nous entrerons dans le 42è et dernier mois après l’incendie de Notre-Dame.
      Cet incendie était un signe de grande envergure, peut-être LE signe que nous attendions tous de la justice divine s’abattant sur le monde. A partir du 16 octobre nous serons fixés, mais il est normal que tous les pions se mettent en place d’ici là.

    • laurent35

      Je ne sais pas si c’est lié mais un membre du gouvernement allemand a annoncé aujourd’hui que le 24 septembre 2022 sera un jour où chacun se souviendra « exactement où il était » :

    • Christus

      On peut supposer que le camp adverse joue sur plusieurs tableaux.

      Il y a ce front ukrainien lancé par l’OTAN avec des mercenaires en bras armés. La plupart viennent de la société militaire privée américaine nommée « Academi ».

      Il y aussi cet affrontement entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie. Poutine ne pourra pas intervenir car il sera trop occupé avec l’Ukraine.
      https://www.courrierinternational.com/article/conflit-l-azerbaidjan-frappe-l-armenie-et-teste-la-reaction-de-moscou

      Minsk et Téhéran se sont mis d’accord sur la production conjointe de camions à benne basculante pour l’exploitation minière lourde. Il est prévu de produire 500 camions lourds d’ici trois ans. cela contribuera à augmenter l’extraction de minéraux en Iran de 40% par an. Vous imaginez un pays indépendant au niveau industriel et économique. Je pense qu’Israël, avec le soutien des Etats-Unis, ne va pas laisser faire.

  6. Camaron

    Tout le monde a compris j’espère que ce tsunami de milliard de dollars d’aides à la région d’Ukraine, c’est pour subventionner l’appareil militaro-industriel Américain !… La clique « néo-cons » ou prétendus « démocrates » au pouvoir sont, surtout depuis 1947, les plus grands criminels de l’Histoire ! Et ça fait plus de 50 ans que ça dure, à tous les niveaux et dans tous les secteurs. De Gaulle les avait virés, visionnaire comme toujours, ils lui ont collé 68, on connait la suite.
    Une guerre préparée de longue date par les Etats-Unis pour des raisons politiques et aussi économiques.
    https://odysee.com/@francesoir:2/Eric_Denece_EE_2:4?src=embed

  7. laurent35

    Après recherche, j’ai trouvé qu’il s’agit d’un discours de Friedrich Merz devant le Bundestag du 27 février 2022, 3 jours après l’attaque de la Russie. C’est bien un discours concernant la guerre en Ukraine, mais le ministre voulait sans doute parler du 24 février. Bref, vous pouvez supprimer mes 2 commentaires.

    • dalencourt

      Parce qu’elle s’oppose à leurs valeurs et à leur morale inversées ; parce qu’elle est le dernier grand pays se revendiquant chrétien et voulant le rester ; et enfin, plus dangereux, parce qu’elle a les moyens et la puissance, non seulement de leur résister, mais d’inverser le mouvement et d’inciter -via les mouvements populistes- les autres pays à rejeter cette immoralité institutionnelle.
      La Russie est donc très dangereuse, ni militairement, ni économiquement, ni politiquement, mais moralement et spirituellement -et c’est là que se situe l’essentiel du combat, l’OTAN cherchant à pervertir le monde à marche forcée. Si elle est mise en échec sur ce point, elle est cuite.

  8. dalencourt

    Aujourd’hui 14 septembre, fête de l’exaltation de la Sainte Croix.

    L’évangile de ce jour contient cette phrase de Jésus, à la fois prophétique et eschatologique :
    « Voici pour le monde l’heure du jugement ; c’est maintenant que le chef de ce monde va être jeté dehors. »

    Comment le chef de ce monde (Satan) fut-il mis dehors ? Par la Passion, la mort sur la croix.

    Et que fait le prétendu successeur de saint Pierre le même jour ? Il assiste au « congrès des leaders des religions mondiales » qui commence aujourd’hui.
    C’est à dire qu’il oeuvre publiquement, activement et visiblement à la mort de l’Eglise catholique en s’alliant avec ses pires ennemis, ce qui sous-entend de renier la divinité du Christ.
    Autrement dit, la Passion de l’Eglise avance à grands pas.

    Le rapprochement entre les deux situations (passion du Christ – passion de l’Eglise) est d’autant plus passionnant qu’on en connaît la finalité : dans les deux cas, on aura pour conséquence que le prince de ce monde sera jeté dehors.

    Et comment ?
    On a une idée, une idée seulement, d’un des bras que va utiliser le Bon Dieu pour châtier la Sodome moderne : notre lecteur Claude révélait hier qu’à la suite d’une réunion urgente de Poutine au Kremlin, celui-ci aurait déclaré : « Le 14 septembre, une opération de grande envergure sera déclenchée… »
    Poutine n’est pas le seul instrument de Dieu, mais on sent bien que l’Occident moderne mérite le châtiment qui lui est promis, et qu’en provoquant la Russie constamment, elle va finir par avoir la monnaie de sa pièce.

    Il ne faut pas s’attendre à un événement d’envergure LE 14 septembre, mais ces éléments nous prouvent que les dés sont jetés et que les acteurs s’activent tous à préparer le dernier acte, dans une ambiance eschatologique entièrement contrôlée par le Ciel.

    • JMC

      @ M. Dalencourt
      Vous écrivez : « Comment le chef de ce monde (Satan) fut-il mis dehors ? Par la Passion, la mort sur la croix.»

      Mis dehors?

      Luc 10:18 : «Jésus leur dit : « Je voyais Satan tomber du ciel comme l’éclair. Voici, je vous ai donné le pouvoir de fouler aux pieds serpents et scorpions, et toute la puissance de l’ennemi, et rien ne pourra vous nuire. etc.»

      Satan n’a pas été mis dehors de ce monde, bien au contraire, l’Ennemi n’a peut-être jamais été aussi présent que maintenant. Il a été précipité sur la Terre, et les chrétiens ont seulement reçu « le pouvoir de fouler au pieds serpents et scorpions ». Cela jusqu’à la Fin des Temps.

      JMC

      • dalencourt

        Je n’ai rien écrit : j’ai cité l’Evangile. Si vous étiez allé à la messe ce matin, ou si vous aviez ouvert votre missel, vous auriez lu la suite : « le prince de ce monde sera jeté dehors, et quand je serai élevé de terre, j’attirerai tout à moi ».

        La théologie explique ainsi ce passage (et non moi, je n’écris rien ici qui soit de moi) : c’est par le sacrifice de la croix que Jésus jette dehors Satan, parce que la Rédemption a pour objet de jeter Satan en dehors des âmes et des coeurs ; de toutes les âmes et de tous les coeurs de ceux qui croiront en Jésus et suivront et appliqueront son enseignement. Voilà comment l’universalité de l’Amour de Dieu s’exprime.
        Dan ce sens, c’est à dire le sens figuré, ou mystique, l’affirmation divine s’est bien réalisée, et elle est même impressionnante car à partir de Jésus, le rapport de forces s’inverse : la majorité des âmes deviennent chrétiennes et échappent à Satan, tout le contraire de ce qui existait auparavant. La puissance divine est magistrale, mais tout se passe au niveau de l’âme, de l’invisible, du surnaturel.

        Je stoppe ici l’explication théologique et passe maintenant au rapprochement avec la passion de l’Eglise, et là il s’agit de mes propres thèses :
        – la Passion de l’Eglise a le même but : faire sortir Satan des âmes et des coeurs, apporter le salut éternel au plus grand nombre, à ceux qui le méritent ou qui le cherchent ; voilà pourquoi nous devons vivre tant d’épreuves et supporter jusqu’au bout la destruction de notre belle Eglise : dans la perspective d’une expiation rédemptrice et l’accomplissement d’un mystère au moins aussi beau que celui de la Rédemption (ce en quoi je ne doute pas du Bon Dieu, il a probablement encore quelques mystères à nous révéler, dont nous n’imaginons pas la beauté et la puissance… mais le but est toujours spirituel et le gain concerne les âmes).
        – Mais, parallèlement, il y a le châtiment des méchants, la chute de Babylone : il faut bien qu’à moment donné le château construit par Satan s’écroule ; et ici les perspectives sont bien temporelles et matérielles. D’où le lien avec la Russie.
        Mais ces châtiments, on en reparlera, on pour but d’amener les hommes à la pénitence et de choisir entre la vie éternelle ou Babylone, ces châtiments sont en réalité un don de Dieu, un ultime cadeau pour retourner vers Dieu et s’éloigner des biens de ce monde.

  9. dalencourt

    Pour ceux qui soutiennent que le voyage sur la lune de 1969 serait une mise en scène, je leur conseille de lire l’ouvrage suivant :
    https://www.akribeia.fr/rumeurs-et-legendes/1842-la-betise-et-le-denigrement.html?search_query=lune&results=9
    Le livre s’appelle « La bêtise et le dénigrement, ou le complotisme lunaire dans ses oeuvres ».
    Il recense « la réfutation des principaux arguments de ceux qui affirment que l’homme n’a jamais posé le pied sur la lune. »

    Inutile de réagir, achetez plutôt ce livre et lisez-le.

      • Souri7

        Louis, j’ai un jour posé la question à un astrophysicien, le fils d’un ami, dont la spécialité était la lune justement et autres planètes.
        A ma demande, « l’homme est-il vraiment allé sur la Lune? », il ne m’a pas répondu par l’affirmative, mais juste dit « on a surtout envoyé des sondes. » Et est resté très évasif.

        Le texte de présentation du livre que vous conseillez finit par :
        …. »pour rendre hommage aux héros de l’espace, avec un sentiment de gratitude. »
        Qu’ont-ils tant apporté d’important pour provoquer en nous « un sentiment de gratitude »?
        Ce sont des héros de fiction. Et quelle importance d’aller sur la lune pour l’humanité dont Dieu attend la repentance du coeur?
        Avez-vous seulement écouter l’entretien que j’ai posté ici, il y a qques jours? Ensuite, votre opinion vous appartient, bien sûr.
        Le Libre Journal de Jean-Michel Vernochet n°80 – L’Empire du mensonge : de l’exploration lunaire au 11 Septembre (avec Laurent Guyénot)
        https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-Libre-Journal-de-Jean-Michel-Vernochet-no80-L-Empire-du-mensonge-de-l-exploration-lunaire-au-11-69508.html

        Il ne s’agit pas de réfutation, mais d’analyse objective. Sinon, l’on retombe dans la croyance.

    • dalencourt

      J’ai commis une erreur en citant ce livre, car j’ai ravivé les interventions de toute une bande d’excités sur le sujet.
      Ok, ok, je réfute, tu réfutes, il réfute… allez on oublie ce sujet, on s’éloigne et on se perd.

      • Yato

        On ne s’éloigne pas de l’eschatologie avec ce genre de sujet. Au-delà de la Lune, si j’ose dire, vous avez tous les mensonges que l’image animée de la Bête véhicule depuis plus d’un siècle. Cela a commencé avec le cinéma et la propagande anti-allemande aux Etats-Unis en 1917. Cela se poursuit aujourd’hui avec la désinformation sur le covid, le prétendu vaccin et l’Ukraine.
        Combattre la vérité connue, y compris factuelle, c’est un péché contre l’Esprit. Et c’est à cause de ce péché que les hommes se livrent à l’impureté contre nature, à l’assassinat des enfants à naître et à tous ces crimes que nos sociétés déliquescentes font passer pour des vertus.
        Si l’on démolit l’un de ces récits (La Lune, le 11 Septembre, les six millions…), on participe au triomphe de la Vérité et du Bien : c’est d’ordre métaphysique.

        • dalencourt

          Oui mais méfiez-vous, car la Bête sait y faire, et elle sait faire combattre ses mensonges par d’autres mensonges.
          Je suis bien placé pour savoir qu’il faut combattre le mensonge par la Vérité, je le fais ici constamment sur l’histoire ou sur la religion.

          Mais attention, sur certains sujets, j’ai pu constater d’énormes erreurs ou déviances chez ceux se déclarant combattre le mensonge officiel, et présentant bien entendu leurs thèses comme la vérité.
          Ce n’est pas parce que vous dénoncez la version officielle d’un événement que l’explication que vous donnerez en retour sera la bonne et la vraie. Par exemple, sur le 11 sept comme sur le covid et ses vaccins, qu’est ce que j’ai pu lire comme conneries !
          Démolir un récit mensonger avec un autre récit tout autant mensonger ce n’est sûrement pas participer au triomphe de la vérité.
          J’invite donc tous les gens à faire preuve de la plus grande humilité et de la plus grande réserve avant d’affirmer péremptoirement une chose parce qu’ils ont vu une vidéo bien faite sur le sujet. Le mensonge est partout, y compris chez ceux qui dénoncent les menteurs.

    • pierre

      Dans cette longue vidéo Pierre Hillard apporte un profond démenti des propos de Dalencourt ,le sang juif est très présent dans les cours principalement Anglaises et Allemandes mais dans beaucoup d’autres en Europe .
      Nous l’apprenons ,soit par des révélations tardives soit par des changements de noms ou tout simplement au hasard des évènements , en tous cas , les milieux de pouvoir et de la finance en sont truffés et ce depuis 500 ans

      • dalencourt

        Mais évidemment, on les appelle « juifs » par défaut depuis très longtemps, pour les distinguer des chrétiens. Je n’ai pas arrêté de l’expliquer au mois d’août.
        Le terme est employé par commodité ; moi aussi je dis les juifs, mais en fait on devrait dire « judaïque » ce serait plus vrai.

        Je le redis, même si évidemment personne ne va à chaque fois réexpliquer la définition et donc dira « juif » par défaut : ceux que l’on appelle juifs aujourd’hui sont en réalité ceux qui se réclament du judaïsme et qui se déclarent à tort les descendants d’Abraham, ils ne le sont en réalité ni par le sang, ni par la promesse. Ce statut est une usurpation car les descendants d’Abraham depuis 2000 ans ce sont les chrétiens, c’est le message de l’Annonciation : « Il (Jésus) règnera éternellement sur le peuple de Jacob ». Et le peuple de Jacob, ce sont les juifs ; donc depuis le Messie, les vrais juifs ce sont les chrétiens.
        Le vrai sens n’est nécessaire que dans le cadre global de l’eschatologie.
        Puisque par commodité on a continué à les appeler « juifs », continuons, et c’est ce que fait Pierre Hillard, c’est ce que nous faisons tous. Bien sûr que les juifs sont partout dans la finance et les centres de décision, merci, je le dis assez.

        • Romain

          Et chaque fois que vous recitez
          le Cantique de Zacharie, vous reconnaissez que vous êtes de la filiation d’Abraham, donc juif :
          « serment juré à notre père Abraham de nous rendre sans crainte ».

          Cantique de Zacharie (Luc I, 68-79)

          Béni soit le Seigneur, le Dieu d’Israël, qui visite et rachète son peuple.

          Il a fait surgir la force qui nous sauve dans la maison de David, son serviteur, comme il l’avait dit par la bouche des saints, par ses prophètes, depuis les temps anciens :
          salut qui nous arrache à l’ennemi, à la main de tous nos oppresseurs, amour qu’il montre envers nos pères,
          mémoire de son alliance sainte, serment juré à notre père Abraham de nous rendre sans crainte, afin que, délivrés de la main des ennemis,
          nous le servions dans la justice et la sainteté, en sa présence, tout au long de nos jours.

          Et toi, petit enfant, tu seras appelé prophète du Très-Haut ;
          tu marcheras devant, à la face du Seigneur, et tu prépareras ses chemins pour donner à son peuple de connaître le salut par la rémission de ses péchés, grâce à la tendresse, à l’amour de notre Dieu,
          quand nous visite l’astre d’en haut, pour illuminer ceux qui habitent les ténèbres et l’ombre de la mort,
          pour conduire nos pas au chemin de la paix.

        • JMA

          Vous avez raison, il ne faudrait pas dire « juif » pour parler des renégats.
          Permettez-moi d’intervenir suite à cette vidéo de Pierre Hillard que j’ai supportée jusqu’au bout. Finalement très peu d’information sur la royauté anglaise, quelque ascendance israélite n’étant pas significative de quoi que ce soit.
          Je précise d’abord que pour moi, un juif fait partie du peuple de la promesse et il le reste bien qu’il soit parfois éloigné du judaïsme, qu’il ne fréquente pas la synagogue, et ne soit pas encore chrétien.
          Le coeur reste celui d’un Israélite et Jérusalem finit toujours par vous rattraper même après des mélanges et des conversions.
          Pour comprendre cela, il suffit de se rapporter à Genèse 22.17 où Dieu dit à Abraham : »je te bénirai; je multiplierai ta posté­rité comme les étoiles du ciel et comme le sable qui est au bord de la mer, et ta postérité possédera la porte de ses ennemis. »
          Compte tenu du nombre de juifs en notre XXIè siècle, il est tenu sans doute compte de ceux que j’évoque plus haut et là, oui, la postérité d’Abraham est comme le sable au bord de mer.
          Ce sont les enfants dispersés que Notre Seigneur est venu chercher y compris parmi les nations, la visibilité de Dieu sur l’éternité.
          Bien entendu, d’autres peuples ont accès à la promesse si leur coeur est conforme à la volonté de Dieu.

          Pour en revenir à Pierre Hillard, j’ai patienté car dans la présentation, il devait être question des marranes, sujet qui m’intéresse. Hélas, il est passé très rapidement sur le sujet, signalant seulement que deux marranes, des faussement convertis au Christ avaient été des artisans de Vatican II. Il présente toujours les marranes comme des gens fourbes sournois, se convertissant faussement dans le but de nuire.
          Sait-il et savez-vous ce que signifie marrane ? En connaissez-vous l’origine ?
          L’origine est languedocienne, dialecte de la fameuse région que P Hillard évoque dans son bref discours sur les cathares.
          Ce mot concernait au départ, les maures convertis de force quand les Chrétiens ont repris le pouvoir. Ils avaient fondé des familles, étaient présents depuis longtemps et ont préféré se convertir que mourir, on le comprends très bien.
          Et donc ce mot, au départ « marran » signifie « contrarié ». On dit de quelqu’un qui est en colère ou de mauvaise humeur, il ou elle a la marrane = il ou elle est contrarié.
          Après les maures, ce fût le tour des juifs : la conversion ou la mort ! Pour protéger sans doute leurs enfants, ils se sont fait baptiser, mais le coeur n’y était pas. J’ai connu des gens en Languedoc, catholiques, non pratiquants, ayant juste les sacrements qui se moquaient du Vatican et pour qui la ville sacrée était Jérusalem, surtout le mur où il fallait prier. Aucun n’était riche, seulement des travailleurs, des gens qui souffraient. Sans doute des marranes. Les gens originaires de cette région (Aude-Catalogne) sont, pour moi, des Israélites mariés avec des non-juifs ou ayant changé de nom, et ce, dans un % important.
          Il n’y a aucune volonté de nuire chez un marrane, c’est quelqu’un qui vit, par la force, d’une manière contraire à son coeur. A signaler que marrane signifie aussi « travailleur ardent ».
          Hillard extrait tout ce qu’il peut trouver de négatif chez des juifs, mais ceux-là ne pourraient rien sans tous les autres « gentils », tout aussi vénaux et corrompus que leurs comparses. Avec tous ses artifices, Hillard amène les gens à détester les juifs et le moindre Cohen, simple travailleur, sera assimilé aux caïds dont il parle. Très dangereux !.. et pas du tout Chrétien ! Ce grand érudit serait-il ignorant des travers de la nature humaine ?
          Et pour finir, bien qu’il y aurait d’autres remarques à faire, que dit Notre Seigneur sur les Israélites ?
          Jean 1-47 « Jésus vit venir vers lui Nathanaël, et dit en parlant de lui :  » Voici vraiment un Israélite, en qui il n’y a nul artifice.  »
          Les vrais Israélites ne sont pas des fourbes !

        • dalencourt

          @JMA

          1) Vous parlez du peuple juif en oubliant un élément essentiel, pourtant régulièrement rappelé ici : le MESSIE.
          Le peuple juif ne vit que par le Messie qui est son but final.
          C’est pourquoi la bénédiction accordée à Abraham est transmise à Isaac, puis Jacob, puis les 12 tribus, pour être transmise ensuite au Messie, d’où les paroles de l’ange Gabriel : « il règnera éternellement sur le peuple de Jacob » : qu’est ce que le peuple de Jacob si ce n’est le peuple juif ? Et qui est le Messie ? Jésus-Christ.
          Donc l’Eglise a raison en enseignant, sur la parole du Christ lui-même, que les chrétiens sont la continuité de la promesse faite au peuple juif, ce qui veut dire que le titre de « juif » (dans le sens peuple de Dieu, ou peuple de la promesse) est transmis aux chrétiens.
          Vous citez le passage de la Genèse sur Abraham en omettant son explication (son actualisation ?) par saint Paul : « L’Ecriture nous apprend qu’une promesse de Dieu a été faite à Abraham et à SON descendant. Elle ne dit pas à SES descendants, comme si elle parlait de plusieurs , mais au singulier : à TON descendant, parce qu’en définitive elle parle du Christ » (Galates 3:16).
          Désolé, mais votre opinion est influencée par la propagande juive actuelle qui a impacté jusqu’à l’Eglise elle-même (conciliaire), mais elle est faussée par le fait central que les juifs ne reconnaissent pas le Messie, et ça change tout.

          2) Sur les marranes, faites attention à la « mentalité » actuelle sur le sujet, elle est faussée. Il ne s’agissait pas de « la conversion ou la mort » mais de « la conversion ou l’expulsion » : nuance. Et si on voulait les expulser, c’est qu’il y avait de bonnes de rasions de le faire. Par conséquent, on ne les forçait pas.
          Et puis il faut savoir que le principe du marrane, c’est à dire de l’infiltration par la dissimulation, est une technique pratiquée pour attaquer ses ennemis de l’intérieur. Il est donc normal qu’un état bien constitué soit vigilant sur ce type d’infiltrations. Alors, aller sortir qu’il n’y a aucune volonté de nuire chez un marrane, ça reste à prouver ; en tout cas, le contraire, lui, a été largement prouvé au fil des siècles, et si nous sommes dans la situation d’un Etat qui aujourd’hui baisse son pantalon, il n’en a pas toujours été le cas.

          3) Enfin, pour défendre Pierre Hillard, même si bien entendu il ne faut pas mettre tous les juifs dans le même sac, on a constaté, là encore preuves à l’appui, que lorsque se tramait un mauvais coup contre les catholiques, le catholicisme ou un Etat catholique, la synagogue n’était jamais loin, et même s’avérait très active, avec la technique très intelligente de se placer très souvent en retrait, jamais en première ligne, sauf dans le cas du communisme. Je pense que c’est de ça dont il parle.

    • dalencourt

      Ce que dit Medvedev est évident et je le répète depuis des mois ici. La Russie ne se laissera pas détruire à petit feu par l’OTAN sans réagir. Il est évident qu’à moment donné la guerre va prendre une autre dimension.
      Voilà pourquoi l’Etat français peut se permettre de prendre à sa charge l’augmentation du coût de l’énergie et n’en impacter le pays qu’à hauteur de 15%, pour un coût estimé de 46 milliards : parce qu’il sait très bien que dans quelques mois, on aura d’autres problèmes bien plus graves à gérer.
      Comme pour le covid, il faut se méfier du discours « dormez bonnes gens, on gère », où l’Etat prend tout à sa charge à hauteur de dizaines (centaines ?) de milliards : il faut se poser la question : qu’est-ce que cela cache ?

    • teutonique

      Tout est cousu de fil blanc, les prophéties nous le démontrent bien, dans cette division satanique des pouvoirs mondiaux.
      Poutine ne baissera pas son froc et boum Ramstein au tactique nuc pour commencer

  10. Barnabé

    Sachez que tous les termes sont codés et que, par exemple, quand on vous parle de « decarbonation », il faut traduire par « dépopulation »
    Cf :
    PxSxExC : La formule de Bill Gates pour vaincre le réchauffement climatique.
    Pour Bill Gates, la formule est donc claire, simple et mathématique : pour réduire les émissions de CO2, il faut faire baisser, mieux, faire tendre vers zéro, l’un des éléments de la formule.

    P pour population multiplié par S pour les services utilisés par les gens, multiplié par E pour l’énergie nécessaire pour faire fonctionner ces services, multiplié par C pour le carbone utilisé par cette énergie.
    Or, l’élément qui doit tendre vers zéro, c’est le P = population

    https://up-magazine.info/planete/climat/5598-pxsxexc-la-formule-de-bill-gates-pour-vaincre-le-rechauffement-climatique/

    C’est l’un des objectifs assigné aux campagnes d’injections massives de « vaccins » à ARN messager.

  11. Camaron

    La fête de Notre Dame des Douleurs, le 15 septembre, a pour but de nous rappeler le martyre terrible qu’endura la Vierge au pied de la Croix en union avec son Fils. Stabat Mater est une prière composée au treizième siècle et attribuée au franciscain italien Jacopone da Todi.

    Je désire auprès de la croix
    Me tenir, debout avec toi,
    Dans ta plainte et ta souffrance.

    Vierge des vierges, toute pure,
    Ne sois pas envers moi trop dure,
    Fais que je pleure avec toi.

    Du Christ fais-moi porter la mort,
    Revivre le douloureux sort
    Et les plaies, au fond de moi.

    Fais que Ses propres plaies me blessent,
    Que la croix me donne l’ivresse
    Du Sang versé par ton Fils.

    Je crains les flammes éternelles ;
    Ô Vierge, assure ma tutelle
    À l’heure de la justice.

    Ô Christ, à l’heure de partir,
    Puisse ta Mère me conduire
    À la palme des vainqueurs.

    À l’heure où mon corps va mourir,
    À mon âme, fais obtenir
    La gloire du paradis.
    https://www.sainte-rita.net/espace-priere/autres-prieres/prieres-a-la-vierge-marie/priere-a-notre-dame-des-douleurs

  12. Uncle

    « Monseigneur Viganò / Méditation en la fête des Sept Douleurs de la Bienheureuse Vierge Marie

    Je me tiendrai avec toi près de la croix

    Et associe-moi à toi

    Tu me manques en larmes.

    par Monseigneur Carlo Maria Viganò

    En ce jour solennel où l’Église célèbre la Bienheureuse Vierge Marie des Douleurs, ma méditation aura pour objet les Sept Douleurs, que l’iconographie sacrée symbolise par sept épées qui transpercent le Cœur Immaculé de la Vierge. Je voudrais les contempler dans leur relation avec les événements de l’Église, dont Notre-Dame est la Mère et la Reine. Non seulement cela : elle est une figure de l’Église, et tout ce que nous disons de la Mère de Dieu, nous pouvons en quelque sorte l’appliquer à l’Épouse de l’Agneau. Cela s’applique autant aux triomphes et aux gloires des uns et des autres, qu’à leurs douleurs et à leur participation à la Passion rédemptrice du Christ.

    I. Notre-Dame au Temple entend la prophétie de Siméon

    Il est ici pour la ruine et la résurrection de beaucoup en Israël, un signe de contradiction pour que les pensées de beaucoup de cœurs soient révélées. Et une épée transpercera aussi ton âme (Lc 2, 34-35). Ce sont les paroles de Siméon à la Vierge, dans lesquelles sont annoncées la Passion rédemptrice du divin Sauveur et la corédemption de sa très sainte Mère. Mais elles s’appliquent aussi à l’Église, qui est là pour la ruine et la résurrection de beaucoup, et un signe de contradiction. Elle aussi participe au Corps Mystique de « ce qui manque aux souffrances du Christ » (Col 1, 24), nouvel Israël, lumen ad révélationem gentium, cité perchée sur la montagne, nouvelle Jérusalem.

    C’est pourquoi nous aussi, enfants de l’Église, nous nous sentons transpercés lorsque nous voyons l’Épouse de l’Agneau, destinée à être Domina gentium , monter sur son Calvaire, rejetée comme Verbe éternel par ceux qui marchent dans les ténèbres : et mundus eum non cognovit (Jn 1, 10), et sui eum non receperunt (Jn 1, 11). Et si la Mère de Dieu était épargnée de l’outrage auquel Notre-Seigneur ne voulait pas échapper, il était néanmoins opportun que le Corps soit flagellé et humilié par le nouveau Sanhédrin, ainsi que son Chef.

    Qui est l’homme qui ne pleure pas

    S’il voyait la Mère du Christ

    dans tant de punition?

    II. La fuite en Egypte

    Face à la persécution d’Hérode, la Vierge et saint Joseph fuient en Égypte pour sauver l’Enfant Jésus, ils abandonnent tout, quittent maison et commerce, parents et amis, pour protéger le Seigneur et le sauver de la fureur meurtrière d’Hérode. Imaginons la douleur de Notre Dame, en voyant la vie de Son Fils menacée. Imaginons le souci de saint Joseph, exilé en terre étrangère, au milieu des païens, seul avec l’Épouse et l’Enfant Jésus.

    Nous aussi, comme des chrétiens persécutés, nous sommes contraints à l’exil, fuyant, les mille inconnues de devoir nous éloigner de notre foyer et de nos proches pour sauver le Sacerdoce et la Sainte Messe, par lesquels le Seigneur perpétue Son Sacrifice. . Nous nous retrouvons à devoir fuir même les églises, les monastères, les séminaires : parce qu’un nouvel Hérode essaie d’éliminer ce signe de contradiction qui l’accuse, et qu’il voudrait remplacer par une religion humaine, œcuménique, écologique et panthéiste ; un christianisme sans Christ, un sacerdoce sans âme surnaturelle, une messe sans sacrifice. Cette épée qui transperce le Très Sacré Cœur de Jésus et le Cœur Immaculé de Marie transperce aussi le nôtre. Mais tout comme la fuite en Égypte a été relativement courte, la nôtre le sera aussi ; nous attendons que l’ange nous répète les paroles qu’il adressait à saint Joseph : Lève-toi, prends avec toi l’enfant et sa mère et va en terre d’Israël ; car ceux qui menaçaient la vie de l’enfant sont morts (Mt 2, 19-20).

    Votre né blessé

    si digne de souffrir pour moi

    partage les peines avec moi

    III. La découverte de Notre-Seigneur dans le temple

    Après être allés à Jérusalem pour fêter Pâques, la Vierge et saint Joseph rejoignent la caravane pour rentrer chez eux, mais ils se rendent compte que Jésus n’est ni avec eux ni avec leurs proches. Ils le recherchent pendant trois jours, retournent à Jérusalem et le trouvent dans le temple, avec les docteurs de la loi, déterminés à déverrouiller les prophéties messianiques de l’Ancien Testament et à se révéler à eux. Quel tourment Marie et Joseph ont dû ressentir, dans la crainte d’avoir perdu Celui dont l’archange Gabriel avait dit : « Il sera grand et sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de son père David et il régnera sur la maison de Jacob pour toujours et son royaume n’aura pas de fin » (Lc 1, 32-33). Grande a dû être la joie de trouver le jeune Jésus dans le temple, mais pendant ces trois jours d’angoisse sans son propre Fils à ses côtés – Lui qui avait toujours été subditus illis (Lc 2, 51) – toutes les craintes les plus atroces ont dû les dévorer. Face à ces réactions très humaines, si vraies, nous devrions nous demander quelle est notre attitude lorsque, avec le péché, nous perdons nous aussi Jésus, qui s’éloigne de nous non pas pour suivre sa propre vocation, mais parce que nous avons souillé et rempli d’immondices le demeure de notre âme.

    En regardant la situation actuelle dans laquelle se trouve l’Église, nous pourrions nous demander – selon les termes de la « prophétie » [1]du Vénérable Pontife Pie XII qui répètent celles de Marie de Magdala (Jn 20,13) – « où l’ont-ils mis ? », en entrant dans une église on cherche en vain un signe de la Présence Réelle, une lampe rouge allumée près le tabernacle. Nous nous demandons « où l’ont-ils mis ? même quand, assistant aux rites réformés, on voit exaltée la figure du « président de l’assemblée », le rôle du fanatique du temple qui lit les prières des fidèles, la religieuse sans voile qui distribue ostensiblement la communion ; mais nous ne trouvons aucun espace, aucune centralité, aucune attention au Dieu Incarné, au Roi des rois, au divin Rédempteur présent sous les voiles eucharistiques. Nous demandons « où l’ont-ils mis? » en entrant dans l’église où jusqu’à hier on nous garantissait la célébration dans l’ancien rite, on trouve la table protestante, et le siège du célébrant placé devant le Tabernacle vide. « Nous te cherchions avec angoisse » (Lc 2, 48).

    Où est donc le Seigneur ? Dans le temple. Dans une église clandestine, dans une chapelle privée, sur un autel de fortune installé dans un grenier ou dans une grange. Là où Notre-Seigneur aime être : avec ceux qui ouvrent leur cœur et leur esprit à Sa Parole, se laissant guérir par Lui, Lui permettant de nous guérir de l’aveuglement de l’âme qui nous empêche de Le voir. « Pourquoi me cherchiez-vous ? Ne saviez-vous pas que je dois m’occuper des affaires de mon Père ? » (Lc 2, 49). Quand nous ne trouvons pas Notre-Seigneur, et que nous nous abandonnons à l’angoisse et au désespoir, il faut revenir sur nos pas, aller le chercher là où il nous attend.

    Fais brûler mon coeur

    en aimant le Christ Dieu

    pour lui plaire.

    IV. Notre-Dame rencontre Jésus portant la Croix

    V. Notre-Dame au pied de la Croix

    TU. Notre-Dame assiste à la crucifixion et à la mort de Jésus

    Voici une autre Douleur de la Vierge et de l’Église : la vue de Notre-Seigneur flagellé, couronné d’épines, chargé de la Croix, fait l’objet d’insultes, de gifles et de crachats. L’Homme de Douleurs d’une part ; la mèredouloureux de l’autre. Le Seigneur Dieu lui donnera le trône de son père David et il régnera sur la maison de Jacob pour toujours et son royaume n’aura pas de fin » (Lc 1, 32-33). Voici le trône de David, voici le royaume sur la maison de Jacob : le Père qui accepte l’offrande du Fils, dans l’amour du Saint-Esprit, pour rétablir l’ordre brisé par le péché d’Adam et expier la culpabilité infinie de notre géniteur. Regnavit a ligno Deus, nous chantons dans la Vexilla Regis. Et c’est précisément de la Croix que règne le Christ, couronné d’épines.

    Mais si le bouc émissaire qui était symboliquement chargé des péchés et des péchés du peuple était méprisé et envoyé pour mourir hors des murs de Jérusalem, quel sort pouvait attendre Celui dont ce bouc était une figure, sinon de prendre sur lui les péchés du monde pour les laver dans son Sang, hors des murs de Jérusalem, sur le Calvaire ? La douleur de la Mère de Dieu de voir son Fils outragé et conduit à la mort comme un criminel lui a valu le titre de Co-rédemptrice : « Alors elle a souffert et a failli mourir avec son Fils souffrant et mourant, alors elle a renoncé au sien pour le salut droits de la mère sur ce Fils et l’a sacrifié pour apaiser la justice divine, de sorte que nous pouvons dire à juste titre qu’elle a racheté l’humanité avec le Christ  » (Benoît Pp XV, Inter sodalicia).

    Même l’Église, commençant au pied de la Croix avec la Vierge et saint Jean, a dû souffrir énormément pour contempler la Passion de son Seigneur. Nous aussi, ses enfants dans le baptême par la grâce de Dieu, avons le cœur transpercé en voyant comment Jésus dans le Saint-Sacrement est traité par ses propres ministres, comment il est considéré comme presque un hôte encombrant, ce qui enlève la visibilité aux égocentriques de l’actuosa participatio et les fanatiques du dialogue œcuménique. Nous sentons nos cœurs déchirés lorsque nous entendons les plus hauts représentants de la Hiérarchie nier la divinité du Christ, sa présence dans le Saint Sacrement, les quatre buts du Saint Sacrifice, le besoin de l’Église pour le salut éternel. Parce que dans ces erreurs, dans ces hérésies, dans ces mensonges insensés nous lisons non seulement la timidité et la courtoisie sordide envers les ennemis du Christ, mais cette même attitude fracassante et hypocrite du Sanhédrin, prêt à recourir à l’autorité civile pour maintenir un pouvoir usurpé et administré contre le but pour lequel Christ l’a établi. La perversion de l’autorité ecclésiastique est la chose la plus atroce et la plus déchirante qui puisse exister, comme si un enfant était témoin de l’adultère de sa mère ou de la trahison de son père.

    Dont l’âme gémit

    triste et triste

    l’épée a traversé.

    VII. Notre-Dame reçoit Jésus descendu de la croix dans ses bras

    Celle qui avait porté en son sein et enfanté le Fils du Très-Haut dans la misère d’une crèche mais entourée des chœurs des Anges, se retrouve à devoir accueillir les membres morts du Sauveur, comme gardienne de la Victime Immaculée . Quelle devait être la douleur sourde et sombre de tenir debout le cadavre adulte de ce Fils qu’elle avait tant de fois serré contre elle enfant puis enfant ! Les membres abandonnés par la vie auront semblé encore plus lourds pour elle, qui a gardé la Foi alors que tous les Apôtres avaient fui. Materintempérante, disons-nous dans l’invocation des Litanies : une Mère qui ne connaît pas la peur, qui veut tout faire pour son Fils ; une Mère que le monde infernal de l’Ordre Nouveau hait d’une haine inextinguible, voyant en elle la force invincible de la Charité, prête à se sacrifier pour l’amour de Dieu et le prochain pour l’amour de Lui. Ce monde apostat tente d’effacer la Mater intempérante en corrompant l’image même de la maternité, faisant de celle qui doit protéger son enfant son impitoyable meurtrière ; renverser la Mère la plus pure avec le péché, l’impudeur et l’impureté; rendre la féminité laide et dégradante pour enlever à chaque femme ce qui rappelle la Mater amabilis.

    Aujourd’hui l’Église souffre avec Notre-Dame des Douleurs d’avoir cédé à la mentalité sécularisée, d’exalter une féminité rebelle, qui abhorre la virginité, bafoue la sainteté conjugale, démolit la famille et revendique un droit déformé à l’égalité des sexes. Aujourd’hui, la Hiérarchie se tait sur les triomphes de Marie Très Sainte et vénère la Terre Mère, la sordide idole infernale de la Pachamama. Parce que la Vierge et l’Église sont les plus grands ennemis de Satan ; car la Vierge et l’Église sont les gardiennes du petit troupeau, rassemblé au Cénacle, par crainte des Juifs.

    Nous offrons ces souffrances qui sont les nôtres, en les unissant à celles de toute l’Église et de Marie Très Sainte des Douleurs, afin que la Majesté de Dieu nous accorde le privilège d’assister au triomphe de l’Église, Corps Mystique du Christ, comme après trois jours sa tête ressuscita dans la gloire, tandis que les gardes dormaient. Puis nous verrons la Vierge des Douleurs reprendre ses robes royales, pour entonner l’éternel Magnificat.

    Laisse-moi être protégé par la croix

    être protégé par la mort du Christ,

    être soutenu par la grâce

    + Carlo Maria, archevêque

    15 septembre 2022

    En la fête des Sept Douleurs »
    https://www.aldomariavalli.it/2022/09/15/monsignor-vigano-meditazione-nella-festa-dei-sette-dolori-della-beata-vergine-maria/

  13. Uncle

    « « UN JOUR VIENDRA… » : LA PROPHÉTIE TROUVÉE DE PIE XII

    En 1972, une biographie sur le Pape Pie XII intitulée Pie XII devant l’Histoire, écrite par Mgr. Georges Roche et Philippe Saint Germain, jamais traduits en italien. Les auteurs rapportent des confidences inédites que le Cardinal Eugenio Pacelli, alors « lointain », fit à deux amis, le Comte Enrico Pietro Galeazzi et Monseigneur Slozkaz, concernant les apparitions de Fatima et l’apostasie de l’Église catholique. Il est intéressant de noter que Sœur Lucia Dos Santos n’a écrit les visions et les secrets qu’en 1941 et 1944, donc ce que le cardinal Pacelli de l’époque a dit – qui se réalise tragiquement – suggère que tout ne nous a pas été révélé pendant le Jubilé de 2000. Nous vous avons traduit ces confidences, véritables prophéties du futur Pie XII : lisez et méditez.

    « Supposons que le communisme soit l’un des instruments de subversion les plus évidents utilisés contre l’Église et les Traditions de la Révélation Divine. Nous verrons alors la contamination de tout ce qui est spirituel : philosophie, science, droit, enseignement, arts, médias, littérature, théâtre et religion.

    Je m’inquiète des confidences de la Vierge à la petite Lucie de Fatima. Cette insistance de la Bonne Dame sur les dangers qui menacent l’Église est une mise en garde divine contre le suicide qui représente une altération de la Foi dans sa liturgie, sa théologie et son âme.

    Je sens autour de moi que les innovateurs veulent démanteler la Sainte Chapelle, détruire la flamme universelle de l’Église, rejeter ses ornements et la rendre coupable de son passé historique. Ici, je suis convaincu que l’Église de Pierre devra se réapproprier son passé, sinon son propre tombeau sera fouillé.

    Je mènerai ce combat de toutes mes forces à l’intérieur de l’Église, comme à l’extérieur, même si les forces du mal peuvent un jour profiter de ma personne, de mes actes ou de mes écrits, comme on le sent aujourd’hui déformer l’histoire de l’église. Toutes les hérésies humaines qui altèrent la Parole de Dieu sont faites pour apparaître meilleures qu’elle.

    Il viendra un jour où le monde civilisé reniera son Dieu, où l’Église doutera comme Pierre a douté. Il sera alors tenté de croire que l’homme est devenu Dieu, que son Fils n’est qu’un symbole, une philosophie comme tant d’autres. Dans les églises, les chrétiens chercheront en vain la lampe rouge où Jésus les attend ; comme le pécheur en larmes devant le tombeau vide, ils crieront : « Où l’ont-ils emmené ? ».

    Ce sera alors que des prêtres d’Afrique, d’Asie, des Amériques – ceux formés dans les séminaires missionnaires – se lèveront et diront et proclameront que le « pain de vie » n’est pas un pain ordinaire, que la Mère de Dieu-homme n’est pas une mère comme beaucoup d’autres. Et ils seront déchirés pour avoir témoigné que le christianisme n’est pas une religion comme les autres, puisque son chef est le Fils de Dieu et que l’Église (catholique) est son Église ». »

    http://www.itreamoribianchi-araldidelvangelo.com/fatima-verra-un-giorno-la-profezia-ritrovata-di-pio-xii/

  14. Corinne

    Le mensonge de l’idéologie du réchauffement climatique dû à l’activité humaine :

    https://www.apar.tv/societe/la-nasa-admet-que-le-changement-climatique-est-du-aux-modifications-de-lorbite-solaire-de-la-terre-et-non-aux-suv-et-aux-combustibles-fossiles/

    Une nouvelle table « du conseil des ministres  » nommée Médulla!!!!
    https://www.leparisien.fr/politique/lelysee-inaugure-une-nouvelle-table-pour-le-conseil-des-ministres-14-09-2022-T2SRPF5BGJBVXM7FLINLXR3MOQ.php

  15. Mouchart Michel

    CSI n°71 : JD. Michel du 15/09/2022 mesures de confinement:la plus grande erreur de santé publique ?
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    Le Conseil Scientifique Indépendant (CSI)
    Live à 20h45
    Invité : Jean Dominique MICHEL membre du CSI, pratique l’anthropologie depuis 25 ans. Il intervient en santé publique auprès d’universités et de hautes écoles
    Sujet : Les mesures de confinement : est-elle la plus grande erreur de santé publique de l’histoire ?
    Conclusion à 1h48’15 » ( Les mots sont des fenêtres, ou bien ce sont des murs ! )

  16. Clovis 496

    Cher Dalencourt, vous vous souvenez sans doute qu’il y a quelques jours j’avais osé parler de l’assomption de saint Joseph, affirmation qui a surpris certains de vos lecteurs. Vous-même m’avez dit que, là, j’allais « trop loin ». Eh bien, permettez-moi de citer à ce sujet un très beau texte de saint François de Sales (1567-1622), que je n’avais pas alors sous la main. Il est extrait de son « Entretien pour le jour de saint Joseph » précisément. Voici la conclusion de sa méditation :

    « Que reste-t-il plus à dire maintenant, sinon que nous ne devons nullement douter que ce glorieux Saint n’ait beaucoup de crédit dans le Ciel auprès de Celui qui l’a tant favorisé que de l’y élever en corps et en âme ; ce qui est d’autant plus probable que nous n’en avons nulle relique ici-bas en terre, et il me semble que nul ne peut douter de cette vérité ; car, comme eût pu refuser cette grâce à saint Joseph, Celui qui lui avait été si obéissant tout le temps de sa vie ? Sans doute que Notre-Seigneur descendant aux Limbes, fut arraisonné par saint Joseph en cette sorte : “Mon Seigneur, ressouvenez-vous, s’il vous plaît, que quand vous vîntes du Ciel en terre, je vous reçus en ma maison, en ma famille, et que dès que vous fûtes né je vous reçus entre mes bras. Maintenant, prenez-moi sur les vôtres, et comme j’ai eu le soin de vous nourrir et conduire durant votre vie mortelle, prenez soin de moi et de me conduire en la vie immortelle.

    « S’il est vrai que nous devons croire qu’en vertu du Saint-Sacrement nos corps ressusciteront au jour du jugement, comme pourrions-nous douter que Notre-Seigneur ne fît monter, en corps et en âme, le glorieux saint Joseph qui avait eu l’honneur et la grâce de porter si souvent entre ses bras Notre-Seigneur ? Oh ! combien de baisers lui donna-t-il fort tendrement de sa bénite bouche, pour récompenser en quelque façon son travail !

    « Saint Joseph donc est au Ciel en corps et en âme, c’est sans doute [nous dirions aujourd’hui : c’est sans aucun doute]. Ah ! combien serions-nous heureux si nous pouvions mériter d’avoir part en ses saintes intercessions ! car rien ne lui sera refusé, ni de Notre Dame, ni de son Fils glorieux. Il nous obtiendra, si nous avons confiance en lui, un grand accroissement en toutes sortes de vertus, mais spécialement en celles que nous avons trouvé qu’il avait en plus haut degré que toutes autres, qui sont : la grande pureté de corps et d’esprit, la très aimable vertu d’humilité et la constance, vaillance et persévérance qui nous rendront victorieux en cette vie de nos ennemis, et nous feront mériter la grâce d’aller jouir en la vie éternelle des récompenses qui sont préparées à ceux qui imiteront l’exemple que saint Joseph leur a donné étant en cette vie ; récompense qui ne sera rien moins que la félicité éternelle, en laquelle nous jouirons de la claire vision du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Dieu soit béni ! »

    • Barnabé

      Si le prophète Élie a comme précurseur fait l’objet d’une assomption, pourquoi pas Saint Joseph effectivement ?
      https://www.mariedenazareth.com/encyclopedie-mariale/les-grands-temoins-marials/du-vii-siecle-a-1054/synthese-de-st-jean-damascene-env-650-750/elie-et-lassomption-de-marie/

      Elie et l’Assomption de Marie
      Voici comment la Bible raconte la fin de la vie du prophète Elie:

      « Elie dit à Elisée: « Demande: Que puis-je faire pour toi avant d’être enlevé d’auprès de toi? » Et Elisée répondit: « Que me revienne une double part de ton esprit! » Elie reprit: « Tu demandes une chose difficile: si tu me vois pendant que je serai enlevé d’auprès de toi, cela t’arrivera; sinon, cela n’arrivera pas. » Or, comme ils marchaient en conversant, voici qu’un char de feu et des chevaux de feu se mirent entre eux deux, et Elie monta au ciel dans le tourbillon. »
      (2Rois 2, 9-11)

      Saint Jean Damascène dit de Marie :

      « Non, tu n’es pas seulement comme Élie, montée vers le ciel (2 R 2,11), tu n’as pas été, comme Paul, transportée jusqu’au troisième ciel (2 Co 12,2), mais tu t’es avancée jusqu’au trône royal de ton Fils lui-même, dans la vision directe, dans la joie.

      Avec une grande et indicible assurance, tu te tiens auprès de lui :

      pour les anges, allégresse ineffable, et avec eux pour toutes les puissances qui dominent le monde ;

      pour les patriarches, délectation sans fin ;

      pour les justes, joie inexprimable ;

      pour les prophètes, perpétuelle exultation.

      Tu bénis le monde, tu sanctifies tout l’univers ;

      Tu es dans la peine le soulagement, dans les pleurs la consolation, dans les maladies la guérison, dans la tempête le port, pour les pécheurs le pardon, pour les affligés le bienveillant encouragement, pour tous ceux qui t’invoquent le prompt secours. »

      Saint Jean Damascène, sur la dormition I,11,

      Source chrétiennes 80, par P.VOULET, Cerf, Paris, 1961, p. 111-113

  17. Cominges

    Il parait , selon les russes , que un tiers des troupes ucraniennes qui ont efectuè les dernières offensives de Cherson et Jarkov serait formè par des soldats non ucraniens , par soldats des pays otaniques ,surtout de Pologne , Angleterre , Rumanie , Bulgarie , et autres . On dit que les compagnies americaines comme Monsanto ne veulent pas  » perdre  » ses terres noires ucraniennes .

    Ça n ` augure rien de bon . Peut etre que la Presidente , non elue , du IV Euro Reich , Ursula Adolfina von der Perruken veut commencer la III Guerre Mondiale , atomique , qui finirais avec 3 millenies d´histoire europèenne .

  18. Mouchart Michel

    Message d’espoir dans ce monde sans Dieu, qui veux dissoudre notre Humanité Chrétienne dans le néant !

    MARIOUPOL – LES PREMIÈRES FAMILLES REÇOIVENT LES CLEFS DE LEURS APPARTEMENTS FRAÎCHEMENT CONSTRUITS
    https://www.donbass-insider.com/fr/2022/09/12/marioupol-les-premieres-familles-recoivent-les-clefs-de-leurs-appartements-fraichement-construits/

    ( 2014 ; Marioupol sombre dans une occupation des forces du Mal !
    2022 ; Marioupol, enfin libérée, se relève dans la lumière d’une ville apaisée dans des nouveau immeubles où la Vie est de nouveau possible pour les familles qui ont tout perdu ! )

    Saint-Georges, au secours !
    Saint-Michel, au secours !
    Seigneur Dieu Tout Puissant, miséricorde, miséricorde, miséricorde pour Votre Sainte Russie !
    Amen ! Alléluia !

  19. Camaron

    🔴 Le résultat vient de tomber : la cour administrative de Nantes a ordonné le retrait de la statue de Saint-Michel.
    Les habitants avaient voté son maintien à 94,5%.
    Des manifestations sont prévues :
    – vendredi 16/09 à 18h à Nantes
    – dimanche 18/09 à 14h aux Sables-d’Olonne.Prière à Saint Michel Archange du Pape Léon XIII en français :
    Saint Michel Archange, défendez-nous dans le combat, soyez notre secours contre la malice et les embûches du démon. Que Dieu exerce sur lui son empire, nous vous le demandons en suppliant. Et vous, Prince de la Milice Céleste, repoussez en enfer par la force divine Satan et les autres esprits mauvais qui rôdent dans le monde en vue de perdre les âmes. Ainsi soit-il.
    Léon XIII – 1884

    https://site-catholique.fr/index.php?post/PRIERE-SAINT-MICHEL-ARCHANGE

  20. BrunoM

    https://www.businessbourse.com/2022/09/12/bo-polny-le-krach-financier-mondial-aura-lieu-le-25-septembreson-intensite-bouleversera-la-planete-entiere-votre-facon-de-vivre-actuelle-volera-en-eclat/

    « Bo Polny, expert en chronométrage du cycle biblique, analyste géopolitique et financier, a anticipé de nombreux événements ponctuels au cours des dernières années sur USAWatchdog.com. Rappelez-vous lorsque Polny avait prédit une baisse de 35% du marché au début du mois de février 2020, et le mois suivant, il avait effectivement chuté de 38%. Fin 2020, Polny avait également affirmé que la cour suprême allait donner un coup fatal au droit à l’avortement aux Etats-Unis à travers l’arrêt historique Roe v. Wade, en l’annulant serait, et en juin 2022, c’est exactement ce que la Cour suprême a fait. Aujourd’hui, Polny a une nouvelle prédiction basée sur son travail sur le cycle biblique. Voici ce que Polny explique : « Tout ce dont j’ai parlé précédemment, arrive à un moment critique. Que se passe-t-il en ce mois de septembre ? Je ne sais pas. À quel point le marché s’effondrera-t-il ? Je ne sais pas. Il se peut que le Dow atteigne 20000 points. Ou au contraire, qu’il y ait un effondrement des marchés de 70 à 80 %… Peu importe l’intensité du krach ou même le jour exact. Ce qui compte, c’est que le crash va tout changer dans nos vies. Cela va complètement bouleverser notre façon de voir notre monde. Je peux vous le confirmer, c’est toute notre façon de vivre qui va partir en éclat ! Nous vivons un véritable tournant. Nous allons voir des choses impossibles arriver. . . Et certains seront effarés de voir ce qui va se passer sur terre…

    Tous les calculs de Polny tendent vers le 25 septembre, nous y sommes presque… Polny s’attend à ce que tout implose donnant lieu à un « effondrement » complet du système financier. Voici ce que Polny explique : « Les choses vont changer le ou vers le 25 septembre. Je pense que nous allons avoir un krach phénoménal. . . Le système financier va vaciller. Ne soyez pas surpris si vous voyez le système bancaire trembler comme vous ne l’avez jamais vu »

    Pour lui, nous en sommes au 3ème sceau

  21. dalencourt

    Je relaie l’infolettre du 14 sept d’Yves Rasir de la revue Néosanté.
    Voici son texte :

    La science accuse !

    Est-ce un tournant dans la saga corona? Comme j’ai déjà annoncé des virages qui ne se sont pas vraiment produits, je ne vais pas trop m’avancer. Mais il me semble quand même que nous vivons un moment charnière en cette fin d’été : on voit des scientifiques de grande envergure sortir du bois et pointer un doigt accusateur sur les injections géniques expérimentales. Je ne parle pas des médecins lanceurs d’alerte ou des savants dissidents qui dénoncent depuis longtemps les « vaccins » covid à travers des déclarations, des livres ou des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux. Je fais allusion aux chercheurs du sérail qui, sans faire trop de bruit, ont planché sur le sujet, joué le jeu de la science et publient à présent leurs travaux dans des revues de renom. Ces dernières semaines, sont sorties trois études dont les résultats et les conclusions devraient normalement secouer le Landerneau scientifique et parvenir à l’opinion publique car elles sont autant de pavés dans la mare vaccinaliste. Maintenant, plus personne ne pourra dire que la dangerosité des produits inoculés est une lubie de « complotistes antivax » puisque les procureurs sont souvent issus de grandes universités réputées, que leurs accusations sont fondées sur une méthodologie rigoureuse et que leurs réquisitoires paraissent dans des journaux habituellement favorables à la médecine vaccinale.

    La balance penche bien dans le mauvais sens

    Postée sur Science Direct il y a quelques jours, la première étude embarrassante est triplement intéressante : elle a été acceptée par une prestigieuse publication à comité de lecture (la revue Vaccine), elle répond aux critères les plus élevés de l’Evidence Based Medecine (c’est une analyse actualisée des essais cliniques de phase III de Pfizer et Moderna, avec randomisation et contrôle contre placebo) et elle aboutit à la conclusion que les injections à ARNm présentent des risques (très) supérieurs à leurs bénéfices. Les auteurs de ce travail ne sont pas n’importe qui puisqu’ils appartiennent à des universités américaines de top niveau (Stanford, Louisiane, Maryland, Los Angeles) et que le rédacteur final (Peter Doshi) est éditeur associé au British Medical Journal. Intitulée «Événements indésirables graves d’un intérêt particulier après la vaccination ARNm COVID19 dans des essais randomisés chez les adultes », l’étude confirme ce que les analyses officielles de la FDA avaient déjà détecté sur base des données fournies par les laboratoires : les injections géniques entraînent un risque élevé d’infarctus aïgu du myocarde, d’embolie pulmonaire, de thrombocytopénie immunitaire et de coagulation intravasculaire disséminée, ces trois derniers types d’événements attestant de troubles de la coagulation. Ce type d’événement indésirable est 6% plus fréquent chez les injectés Moderna et 36% plus fréquents chez les injectés Pfizer par rapport aux non-vaccinés. Mais l’analyse universitaire indépendante va plus loin puisqu’elle suggère que l’impact sanitaire de ces troubles sanguins annule et renverse l’avantage présumé de se faire vacciner. Dans l’essai Moderna, l’excès de coagulopathies sévères (15,1 pour 10.000 participants) était en effet trois fois supérieur à la réduction du risque d’hospitalisation pour Covid-19 par rapport au groupe placebo (6,4 pour 10.00 participants). Et dans l’essai Pfizer, l’excès de désordres sanguins graves (10,1 pour 10.000) était quatre fois supérieur au risque d’évolution sévère de la maladie (2,3 pour 10.000). Dans leurs conclusions, les chercheurs notent que de nombreuses données sont toujours inaccessibles et que ce manque de transparence a contrarié leurs investigations, sous-entendant ainsi que les dommages du vaccin pourraient l’emporter sur ses bénéfices de manière encore plus décisive.

    C’est la jeunesse qu’on assassine

    En introduction de la seconde étude accusatrice récemment publiée aux États-Unis, vous pouvez vérifier que les auteurs ne sont pas non plus des bras cassés ou des pieds nickelés : ils émargent tous au gratin universitaire anglo-saxon (Oxford, Harvard, Washington…) et même à la Johns Hopkins University, celle-là même qui a trempé dans la répétition plandémique mise en œuvre par Bill Gates et le Forum Économique Mondial en octobre 2019. Ces distingués professeurs se sont inquiétés du fait que de nombreux étudiants américains risquaient d’être chassés des auditoires s’ils refusaient la troisième dose et ils se sont penchés sur la balance bénéfices/risques des injections dans cette catégorie d’âge. Fondée sur les données des fabricants et sur les chiffres officiels des CDC américains, leur analyse aboutit à un verdict accablant : chez les jeunes de 18 à 29 ans, le vaccin anticovid est de 18 à 98 fois plus dangereux que le virus ! Et encore, ce calcul a été établi dans l’hypothèse où les étudiants n’auraient pas déjà contracté la maladie. Chez ceux, majoritaires, qui sont déjà immunisés par l’infection, l’administration du booster serait encore moins favorable. Non contents de mettre ce non-sens en évidence, les chercheurs ont formulé 5 raisons pour lesquelles ils jugent « contraire à l’éthique » l’obligation vaccinale pour les jeunes : 1) Il n’existe pas d’évaluation formelle des risques et avantages pour cette classe d’âge ; 2) La vaccination obligatoire peut entraîner un « préjudice net » dans cette partie de la population ; 3) Les dommages attendus ne sont pas compensés par des avantages pour la santé publique étant donné l’efficacité modeste et transitoire des vaccins contre la transmission ; 4) L’obligation vaccinale américaine viole le principe de réciprocité car les préjudices graves ne sont pas indemnisés de manière fiable ; 5) La vaccination sous contrainte crée un préjudice social supérieur à ses avantages supposés en termes de socialisation ou de sentiment de sécurité. Bref, les profs sont remontés contre les « mandats vaccinaux », comme on dit là-bas, et ils expriment leur opposition avec des arguments difficilement réfutables. Ce qui est assez remarquable, c’est que les enseignants se posent en boucliers des étudiants dont ils défendent la santé et la liberté. J’imagine mal que cette situation insolite soit totalement tenue sous le boisseau de ce côté-ci de l’Atlantique.

    Les preuves dans le sang

    Effectuée en Italie et publiée dans l’IJVTPR (International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research), la troisième étude qui pourrait changer le cours des choses est à mon avis la plus explosive car elle se penche – enfin ! – sur les ingrédients secrets des vaccins trouvés dans le sang des injectés. Certes, ça fait deux ans que des spécialistes indépendants ont obtenu des fioles et braqué des microscopes électroniques sur leur contenu. Ils y ont découvert des éléments suspects interprétés tantôt comme des vers parasites, tantôt comme de l’ADN synthétique, ou encore des nanomatériaux à base de graphène. Récemment, encore, des scientifiques allemands ont découvert des composants métalliques très inhabituels dans tous les vaccins analysés. Mais outre le fait que ces travaux ne sont pas publiés dans des journaux peer review, on peut facilement leur objecter que les récipients ont pu être contaminés accidentellement ou volontairement. Ce qui est plus troublant, c’est de trouver des corpuscules manifestement apportés par les vaccins dans des échantillons sanguins. Et ce qui est encore plus convaincant, c’est de procéder à des analyses comparatives sur sang vivant fraîchement prélevé chez des injectés et des non-vaccinés. Quelques experts l’ont fait de par le monde et leurs images impressionnantes ont parfois échappé à la censure sur internet. Pour ma part, je ne les ai jamais relayées car j’attendais qu’une étude scientifique digne de ce nom soit publiée. Ce jour est arrivé car il me semble que la recherche italienne présente toutes les garanties de sérieux et que les photos sont suffisamment éloquentes. Je vous en ai traduit le résumé : « Dans la présente étude, nous avons analysé au microscope optique à fond noir la goutte de sang périphérique de 1006 sujets symptomatiques après inoculation d’une injection d’ARNm (Pfizer/BioNTech ou Moderna), à partir de mars 2021. Neuf cent quarante-huit sujets (94% de l’échantillon total) ont présenté, un mois après l’inoculation de l’ARNm, une agrégation des érythrocytes et la présence de particules de formes et de tailles diverses dont l’origine n’est pas claire. Chez 12 sujets, le sang a été examiné avec la même méthode avant la vaccination, montrant une distribution hématologique parfaitement normale. Les altérations constatées après l’inoculation des injections d’ARNm renforcent la suspicion que les modifications sont dues aux « vaccins » eux-mêmes. Nous rapportons 4 cas cliniques, choisis comme représentatifs de l’ensemble de la série de cas. D’autres études sont nécessaires pour définir la nature exacte des particules trouvées dans le sang et pour identifier les solutions possibles aux problèmes qu’elles causent manifestement. » En bref, il y a indubitablement dans les vaccins géniques de mystérieux composants – l’ARN messager et la protéine spike ont trop bon dos – qui altèrent la qualité du sang et qui sont très possiblement pathogènes. Et comme l’écrivent les auteurs, il est indispensable que ces « particules exogènes » soient identifiées, ainsi que leur solution. On verra si cet appel fera écho dans les labos mais en tout cas, les covidistes ne pourront plus dire qu’il s’agit là de purs fantasmes conspirationnistes. Et ça, c’est déjà un fameux tournant.

    Yves Rasir

  22. Romain

    François au Kazhakstan: du pur syncrétisme maçonnique
    https://www.benoit-et-moi.fr/2020/2022/09/15/francois-au-kazhakstan-du-pur-syncretisme-maconnique/
    « Dès le début de son discours, Bergoglio part du mauvais pied. Vatican News rapporte : « La main sur la poitrine, le pape fait une petite inclinaison de la tête avant de prendre la parole et de prononcer un discours long et roboratif ». Le geste typiquement maçonnique de la main sur la poitrine est opportunément coupé dans les vidéos qui circulent, mais si l’agence du Vatican l’a rapporté, nous pouvons le croire. »

    Un pape franc-maçon qui s’adresse à des initiés par des signes, un langage et des symboles…

    • Barnabé

      Remarquons François Premier à partir de 25 minutes apparaître, lors de la clôture du « VIIe Congrès des dirigeants des religions mondiales », au centre d’un… triangle

      • Michel Mouchart

        VADE RETRO SATANAS !

        Ce qui est écrit est écrit !
        Ce qui doit advenir est advenu ; et adviendra !…
        À Rome, Pierre Le Romain et la synagogue de Satan sont à l’œuvre !

        En clair …
        L’Armageddon ; l ‘ultime combat entre le bien et les forces du mal  ;
        nous y sommes !

        Pauvres de nous, nous enfants de Dieu, ils n’auront aucune pitié pour nous !

        Saint-Michel, si il te plaît, n’oublie pas ton épée !
        Saint-Georges ta lance !…

        Sainte Marie, Auguste Reine des Cieux, comme les écritures nous l’ont promis,
        de Votre Saint Pied, écrasez la tête de Satan !

        Seigneur Dieu Tout Puissant, vient à tes Abel, nous avons besoin de Toi !

        Que Dieu se lève et qui ses ennemis soient dissipés !

        Gloire au Père, au Fils, et au Saint-Esprit !
        Au Dieu qui est,
        qui était
        ET QUI VIENT
        pour les Siècles des Siècles !

        Amen ! Alléluia !

      • Veracruz

        La pyramide contient 1 puis 2 puis 3 HEXAGONES donc 6 puis 66 puis 666… faut-il préciser le jour 6/9/6 ?
        Il n’y a que des Hommes… les Femmes ont bien raison de bouder tout ça, elles veulent juste leur indépendance et du travail, nul besoin de religion quelle qu’elle soit.

        • Cath

          @Veracruz
          Vous avez mal regardé, il y a plusieurs femmes autour de cette grande table ronde.
          Dire que « les femmes ont bien raison de bouder tout ça, elles veulent juste leur indépendance et du travail, nul besoin de religion quelle qu’elle soit », est une aberration typiquement satanique.

      • laurent35

        Le décor de la salle représente clairement l’oeil de la Providence des gnostiques et des franc-maçons : https://fr.wikipedia.org/wiki/%C5%92il_de_la_Providence

        Et le congrès a eu lieu au Palais de l’indépendance de Nur-Sultan, en forme de pyramide tronquée :
        https://fr.tr2tr.wiki/wiki/Palace_of_Independence_(Nur-Sultan)

        Ils aiment bien les pyramides à Nur-Sultan (anciennement Astana). On y trouve aussi le célèbre Palais de la paix et de la réconciliation en forme de pyramide conçu pour accueillir habituellement le Congrès des Dirigeants des Religions traditionnelles du monde :
        https://fr.wikipedia.org/wiki/Palais_de_la_paix_et_de_la_r%C3%A9conciliation

        Ce 7e Congrès des dirigeants des religions mondiales et traditionnelles est remarquable pour son importance car il a rassemblé plus de 100 délégations contre 17 en 2003, au premier congrès : https://fr.euronews.com/2022/09/15/debut-du-7eme-congres-des-dirigeants-des-religions-mondiales-et-traditionnelles-de-nur-sul

        Et le pape est venu parler de paix, de démocratie et de liberté religieuse :
        https://www.infoans.org/fr/sections/nouvelles/item/16192-kazakhstan-la-fraternite-nous-unit-tous-en-tant-fils-et-filles-du-meme-ciel-le-pape-francois-au-congres-des-leaders-religieux-a-nur-sultan

        Quant on connaît les fondements philosophiques de la démocratie moderne, on comprend que nous avons une nouvelle illustration de la bête de la terre qui vient apporter son soutien à la bête de la mer (Ap 13). Voir les conférences et l’ouvrage remarquable de Maxence Hecquard à ce sujet. Vous trouverez une retranscription de l’une de ses conférences ici : https://www.recatho.com/bibliotheque/o/hecquard-m–les-fondements-philosophiques-de-la-democratie-moderne-20170429

        La paix universelle ne peut s’obtenir qu’au prix de l’apostasie, du reniement de la Vérité :

        (Matth. 10) 32 Quiconque donc me confessera devant les hommes, moi aussi je le confesserai devant mon Père qui est dans les cieux :33 Mais celui qui m’aura renié devant les hommes, moi aussi je le renierai devant mon Père qui est dans les cieux. 34 Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais le glaive.

        Et la conséquence de cette apostasie :

        (1 Th 5) 1 Mais pour ce qui est des temps et des moments, vous n’avez pas besoin, mes frères, que nous vous en écrivions ;2 Parce que vous-mêmes savez très bien que le jour du Seigneur viendra comme un voleur dans la nuit.3 Car lorsqu’ils diront : Paix et sécurité, alors même viendra sur eux une ruine soudaine, comme la douleur sur une femme enceinte qui enfante, et ils n’échapperont pas.

  23. Théodoric

    Selon la télévision Azerbaïdjanaise, l’Azerbaïdjan va annoncer la mobilisation générale le 20 septembre.
    L’Arménie demande l’assistance de la Russie contre l’Azerbaïdjan qui lui même est soutenu par la Turquie !
    Coïncidence ? après avoir signer des contrats pour livrer du gaz à l’Europe et énergétique !
    Les officiels étasuniens, dont Pelosi, sont en Arménie en ce moment.
    Les officiels arméniens étaient en US une semaine avant la reprise du conflit….

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