Ukraine ou Syrie ?

Il est temps je pense de proposer une autre grille de lecture aux événements qui se passent actuellement autour de la Russie et du supposé conflit ukrainien qu’elle envisagerait. Je propose d’étudier les faits non pas sous l’angle de la désinformation gouvernementale et médiatique occidentale, ni sous celui de la riposte russe, ni sous celui des analyses géopolitiques de tous bords, forcément influencées par la politique officielle, mais sous l’angle des véritables enjeux et des projets des véritables donneurs d’ordres.
Je n’affirme pas avoir raison, je n’oblige personne à croire les explications du dessous des cartes que je vais donner, mais j’incite le lecteur à se poser la question : à quoi sert le conflit ukrainien ? Notamment pour les occidentaux, puisque ce sont eux qui soupçonnent à grand bruit la Russie de vouloir envahir l’Ukraine, et s’agitent bien visiblement depuis deux mois sur ce sujet. S’agitent politiquement, diplomatiquement et militairement.
Pourtant, toute personne qui réfléchit un tant soit peu et qui se renseigne un minimum, conclura très vite que la Russie n’a aucun intérêt à attaquer et envahir l’Ukraine et qu’au contraire, elle a tout à y perdre. Ne serait-ce à cause de l’attention extrême que porte l’Occident à ce sujet et à sa capacité de nuisance bien réelle dans les domaines économiques, financiers, commerciaux, politiques, sociaux, voire militaire.
Il faut avoir également à l’esprit que l’Occident (c’est à dire principalement les Etats-Unis et l’Union Européenne) agite sous le nez de la Russie deux menaces contigües et pourtant séparées et séparables : des mesures de rétorsion en cas d’invasion de l’Ukraine et l’éventualité pour cette dernière d’adhérer à l’OTAN.
Or pour la Russie, autant un conflit armé avec l’Ukraine est un risque qu’elle n’est pas prête de prendre, ce qu’elle n’arrête pas de répéter (il y a trois semaines, le chef de la marine allemande a même déclaré que c’était une ineptie, propos de bon sens pour lesquels il a été viré), autant l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN constitue une grave menace pour sa sécurité nationale et l’intégrité de son territoire, raison pour laquelle elle s’oppose formellement à ce projet et déclare qu’il s’agirait d’une ligne rouge à ne pas franchir. Là, les menaces de la Russie sont bien réelles. Chacun son tour.

Pourquoi donc les Occidentaux provoquent-ils la Russie à ce point, en jouant sur les deux tableaux (un conflit imaginaire et la menace de l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN) et en entretenant l’amalgame et l’ambiguïté sur deux sujets pourtant bien différents, et en refusant à la Russie tout dialogue sincère, franc et de bonne foi ?
En d’autres termes, qu’est-ce que ça cache ? Quels sont les véritables enjeux derrière ces provocations à peine voilées ?

Pour répondre à ces questions, il est nécessaire d’essayer de comprendre quels sont les projets et les enjeux de ceux qui dirigent véritablement le monde ; de ceux qui font et défont les Présidents, ou plus exactement qui placent en position éligible des hommes ou des femmes dociles, formés au Nouvel ordre mondial, acquis et soumis à leur domination, quel que soit leur degré d’initiation.

Bien comprendre qui dirige le monde

Nous n’avons pas la place ici de donner une description complète et détaillée du pouvoir occulte mondial, nous nous contenterons d’en brosser rapidement les contours, et surtout de mettre en exergue les enjeux qui les préoccupent, ou plus exactement d’essayer de comprendre leur stratégie véritable.
De toute façon, personne n’a une idée véritablement précise de leurs projets ; on ne peut que procéder par estimations, et corriger celles-ci à partir des faits et des événements, car seuls les faits peuvent nous renseigner sur les décisions finales qui ont été prises, mais aussi sur les dissensions ou les tensions qui agitent ce (tout petit) milieu.
Tout ceci dépasse de loin les propos ou les choix effectués par tel ou tel chef d’Etat, qui ne fait qu’appliquer les décisions de ses donneurs d’ordre, en utilisant des prétextes servant à masquer les véritables motifs.

Le petit groupe qui gouverne le monde est constitué de la haute aristocratie juive contrôlant la finance mondiale, et de ses satellites judéo-maçonniques répartis dans quantités de sociétés plus ou moins secrètes. Le centre réel de décision se situe donc au niveau de la haute finance apatride, à laquelle sont associées les haute hiérarchies des principales sociétés secrètes ; en tout, quelques dizaines de personnes (300 avancent certaines sources).
Voilà. Sont donc prises des décisions collégiales -c’est très important à intégrer- qui sont appliquées ensuite par Etats interposés ; de même que les éventuels conflits entre ces messieurs, ou entre factions, se résolvent là encore par Etats interposés. Et ceci est capital à comprendre !

Capital car le groupe qui dirige le monde n’est pas totalement homogène. Il est, pour simplifier, réparti en trois factions, trois principaux blocs, que les membres soient juifs ou pas :
le sionisme libéral d’inspiration révolutionnaire, de loin le plus puissant et le plus riche,
le sionisme impérialiste à tendance nationaliste-populiste, devenu au fil du temps un dangereux challenger,
– et ceux qui ne veulent pas prendre parti entre les deux, probablement le plus grand nombre.
On retrouvera le même schéma derrière les gouvernements des pays, selon qu’ils se rattachent à la faction libérale, ou impérialiste, ou neutre (mais toujours sioniste, n’oublions pas – c’est l’impératif de base).
Et ceci explique la très grande majorité des tensions.
Par exemple, la présidence Trump fut le vol par la faction impérialiste-populiste d’une chasse gardée de la faction libérale, d’où sa fureur. Le Président Trump fut le seul président américain combattu avec acharnement sur toute la durée de son mandat (!), et qu’on essaiera de virer (procédure d’impeachment) jusqu’au bout… du jamais vu de mémoire américaine. Et il faudra aux sionistes libéraux tricher ouvertement pour récupérer la Maison Blanche, ce que TOUS savaient, même nous.

Les rivalités bien réelles entre les deux factions sionistes n’expliquent pas tout, bien sûr, mais permettent de comprendre bien des faits.
Et cette rivalité ne date pas d’hier. Voici un extrait de la préface de Pierre Hillard du livre Le réseau Rampolla :
« Parmi les nombreux éléments préparant le deuxième conflit mondial, la lutte entre Trotski et Staline fut, en arrière-fond, une bagarre à mort entre deux factions.
Celle de Trotski financée par la City et Wall Street, comme cela a été prouvé par l’historien Antony Sutton, représentait un courant messianique sanglant chargé de répandre l’esprit de la Révolution dans le cadre d’un chambardement complet du monde en vue de préparer l’arrivée d’un « Messie » mettant à l’honneur la Synagogue au dépens d’une Eglise abattue.
En revanche, la faction représentée par Staline n’était pas messianique, mais impérialiste. Celui-ci souhaitait d’abord consolider la révolution bolchevique en Russie, quitte ensuite à la renforcer en soumettant des pays au communisme. Un esprit impérialiste repose sur un calcul matériel d’avantages et de désavantages, le tout dans le cadre d’un rapport de force. D’une certaine manière, une certaine logique anime ce courant. C’est tout autre chose en ce qui concerne le courant messianique qui sublime un idéal religieux, d’essence satanique, faisant fi, ou du moins portant peu d’attentions aux considérations matérielles. »
Ce que Pierre Hillard appelle la faction messianique révolutionnaire, c’est la faction libérale, qui tient actuellement les Etats-Unis de Joe Biden, la France d’Emmanuel Macron, le Canada, l’Allemagne, l’Italie, le Japon et probablement le Royaume-Uni (quoique Boris Johnson me semble faire partie des neutres), et depuis peu, l’Israël de Naftali Bennett.
Et la faction impérialiste-populiste tient actuellement la Chine, la Russie de Vladimir Poutine, le Brésil de Bolsonaro, la Hongrie de Victor Orban, pour les plus importants, après avoir perdu coup sur coup -ce qui n’est pas un hasard- deux ex-belles conquêtes : les Etats-Unis de Trump et l’Israël de Benjamin Netanyahu. Et place un peu partout des challengers, comme Zemmour en France.

Par conséquent, le conflit actuel par Ukraine interposée est un épisode, probablement majeur, de l’affrontement entre la faction libérale messianique (USA-UE) et la faction impérialiste-populiste (Russie-Chine, mais ici principalement Russie, le plus gros morceau).
Voilà le filtre, la grille de lecture indispensable pour comprendre le véritable enjeu de ce conflit car celui-ci n’est pas l’Ukraine, très secondaire, mais autre chose ; un autre chose lié aux projets du clan libéral, qui a perdu quatre ans avec Trump, ne l’oublions pas, et qui doit accélérer le processus parce qu’il a pris du retard sur son calendrier.
Autre chose qui leur paraît indispensable et sur lequel la Russie les bloque depuis neuf ans, et pour le débloquer ils ont enclenché l’ignoble double chantage du conflit ukrainien (qu’ils pourraient déclencher eux-mêmes en accusant la Russie d’être l’agresseur, technique éprouvée et efficace ; Poutine le sait) et surtout de l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN.

Et cet autre chose, je me demande s’il ne s’agit pas de la Syrie.

Pour cela un peu d’histoire…

Tout bascule en septembre 2013

Rappelez-vous : l’oligarchie mondiale décide de stabiliser et redresser la Russie en la dotant d’un Etat fort, fiable et durable en confiant le pouvoir exécutif à Vladimir Poutine, choisi dans le sérail (ex colonel du KGB) et suffisamment jeune pour orchestrer un redressement dans la durée. Il s’agissait alors d’opérer la reconversion de la Russie en la faisant muter du modèle communiste soviétique devenu désuet au modèle communiste moderne rendu possible par l’informatisation, et qui permet de concilier collectivisme et libéralisme en une sorte de fusion qui prendra le nom de mondialisme.

Pour cela, on dote Vladimir Poutine de pouvoirs forts et on lui déroule le tapis rouge, en l’occurrence un cours mondial du pétrole élevé (les cours sont entièrement manipulés par l’oligarchie financière), la Russie tirant principalement ses revenus des exportations d’hydrocarbures. Cours qui restera élevé toute la durée de son « mandat », jusqu’aux sanctions dont nous allons bientôt parler.
Manque de chance, Poutine semble rapidement rejoindre le camp des impérialistes, choisissant à nouveau un positionnement à la Staline, à savoir un pouvoir fort, certes sioniste, mais d’abord patriote avant d’être libéral-messianique (un peu comme « l’Europe des nations » de Jean-Marie Le Pen) et c’est ce rapprochement de Poutine avec le clan nationaliste-populiste qui va, je pense, leur donner de l’espoir et un regain de puissance, qui leur permettra de (re)lancer petit à petit des vagues populistes un peu partout dans le monde, y compris dans les chasses gardées des libéraux, à savoir l’Amérique du Nord et l’Europe.
Ceci explique aussi pourquoi des hommes comme Poutine ou Trump ne peuvent être éliminés comme de vulgaires Kennedy ou Luciani (Jean-Paul Ier) : parce qu’ils ne sont pas seuls, il y a derrière eux une organisation puissante et elle aussi multimilliardaire, capable de rétorsions suffisantes pour décourager le clan libéral de recourir à des mesures expéditives.

Ce ralliement de Poutine aux populistes se vérifie à plusieurs reprises, et notamment dans les choix affichés d’une politique sociale et culturelle conservatrice, restaurant plutôt la civilisation chrétienne là où les libéraux la détruisent (car cela ne gêne pas les nationaux-populistes dans la mesure où ce christianisme reste soumis au sionisme, façon Vatican II), mais aussi quand il freinera la carrière de quelques oligarques milliardaires, presque tous juifs, qui s’étaient indécemment goinfrés lors du démantèlement de l’Union Soviétique, afin de reprendre en main et de contrôler les destinées financières et industrielles du pays.

Ces écarts de la Russie de Poutine sont tolérés par l’oligarchie judéo-maçonnique libérale dans la mesure où ce pays continue à collaborer – ou du moins ne s’oppose pas- à l’émergence du mondialisme et au déroulement du « plan ».

Le plan justement. Parlons-en quelques secondes. Israël, nous le savons tous, au propre comme au figuré, est le point central du monde. L’Etat juif estime, pour sa sécurité, qu’il doit éliminer toute menace autour de lui. Voilà pourquoi, depuis des décennies, il travaille soit à soumettre ses voisins, soit à les déstabiliser. Les pays soumis (ou « alignés ») sont connus : Jordanie, Arabie Saoudite, Turquie. Les autres, souvent considérés comme ennemis, ont été déstabilisés, ou doivent l’être. Ce fut le cas du Liban et de l’Irak, puis ce fut le rôle du « printemps arabe » dont la principale fonction avait pour but de déstabiliser les derniers « non alignés » : Egypte, Lybie et surtout Syrie ; les autres (Tunisie, Yémen etc.) servent de dérivateurs pour faire croire à un mouvement plus vaste, et pour certains de régler quelques comptes. Restera l’Iran, le plus gros morceau.
Seulement voilà : ces fausses contestations orchestrées par des services secrets s’avèreront un demi-échec : la tentative en Egypte dure à peine un an et se solde par une reprise en main du pays par un militaire affilié au clan nationaliste-populiste. Et surtout la Syrie ne tombe pas ; contre toute attente, et malgré les efforts conjoints des pseudos-contestataires et de l’Occident, curieusement hostile au régime de Damas et ouvertement pro-rebelles (ce qui s’explique mieux quand on connaît le dessous des cartes rappelé ici), le régime de Bachar el-Assad résiste et se maintient au pouvoir, rapidement soutenu puis épaulé militairement par Moscou.

Nous l’avons tous vécu et tous vu : la résistance du régime syrien posait un très gros problème à l’oligarchie mondialiste (on l’a vu via les réactions des gouvernements Occidentaux) et constituait un imprévu non programmé parce que contrariant le plan.
Nous esquisserons un peu plus loin une explication de leur motivations profondes.

Mais il y a le plan. Et le plan, à l’époque, consistait à déstabiliser durablement la Syrie en commençant par renverser -préalable impératif- le régime de Damas. Les Occidentaux, qui jouent en façade le rôle qu’Israël joue en coulisse, vont donc insister lourdement pour que la Syrie tombe ; après l’échec de septembre 2013, dont nous allons parler, ils iront même jusqu’à créer une milice spéciale, baptisée « Etat islamique » dont le but était de continuer à déstabiliser toute la région, y compris la Syrie, et de servir de réservoir et de base pour un pseudo terrorisme islamique créé pour l’occasion.
Les Occidentaux donc, et derrière eux l’oligarchie sioniste libérale, tentent par tous les moyens, depuis 2011, de faire tomber le régime syrien en multipliant les provocations, la guerre civile, les menaces, les mesures de rétorsion, et les attaques sous faux drapeau.

Le point d’orgue est atteint le 21 août 2013 (jour anniversaire de la mort de Trotski ! Donc il n’y a pas d’ambiguïté sur les forces en présence : ce sont bien les financiers de Trotski, le clan libéral messianique, qui affronte le clan nationaliste-populiste dont Vladimir Poutine est un des champions), lorsqu’une attaque au gaz sarin attribuée au régime syrien fait de nombreuses victimes. Comme si Damas allait prendre un tel risque sachant qu’il est étroitement surveillé par les Occidentaux, qui ont massé leurs navires à proximité, et n’attendent qu’un prétexte pour le couvrir de bombes. On regrettera au passage le manque d’imagination des services secrets, qui recouraient déjà régulièrement au gaz sarin (on était, je crois à la troisième attaque de ce type !), et continueront à le faire, alors que ce produit est un des moins crédibles du point de vue tactique, autant militaire que politique ; peut-être pour ses capacités émotionnelles sur les populations occidentales ?
Cette énième attaque sous faux drapeau, opportunément attribuée au régime de Bachar malgré ses dénégations, avait été choisie pour enclencher enfin la phase d’écrasement de la Syrie, et forcer la main à Moscou. Barak Obama était prêt à attaquer, avec le soutien de la France de François Hollande, petit caniche aux ordres du maître, l’autre seule puissance capable d’intervenir militairement s’étant prudemment mise en retrait (un signe de plus qui confirmerait que les britanniques font partie des neutres, c’est à dire de ceux qui ne veulent pas prendre parti entre les libéraux et les populistes).
Début septembre la décision était prise et allait s’enclencher ce qui était probablement le début de la troisième guerre mondiale, car l’écrasement de la Syrie aurait probablement enclenché l’embrasement des pays musulmans, sans compter les troubles graves dans les pays occidentaux à forte immigration musulmane.
Le sommet est atteint le 3 septembre : ce jour-là les navires américains « testent » le dispositif de défense syrio-russe en lançant plusieurs missiles vers la Syrie ; c’est à la fois un test et le déclenchement du conflit. Et une façon de forcer la main à Poutine. Ce dernier ne cède pas et montre qu’il est prêt à s’opposer aux Occidentaux, et donc au clan sioniste libéral : les missiles sont détruits par la défense anti-aérienne russe installée en Syrie.
Rappelons que les Etats-Unis n’attaquent que les petits pays, ceux incapables de se défendre ; mais ces gens sont en réalité des couards, des lâches ; la Russie leur fait peur, et ils savent qu’elle a la capacité non seulement de les affronter, mais de les affronter victorieusement.
Cet épisode fut un échec cuisant pour le clan libéral, une claque retentissante.

Car, je le répète, il y avait derrière cela un plan, un plan qui n’a pas pu s’accomplir.
Deux jours après, au somment du G20 à Saint-Pétersbourg des 5 et 6 septembre 2013, où ces messieurs pensaient probablement négocier les suites de la guerre avec un Poutine rageur mais soumis, c’est au contraire une paix forcée qui leur est imposée ainsi que, très probablement, un point essentiel : désormais le sort de la Syrie -et par extension toute guerre d’envergure- dépend du bon vouloir de la Russie, et donc du clan nationaliste-populiste.

Voilà. Alors que faire pour faire plier la Russie, l’obliger à rentrer dans le rang, l’empêcher d’imposer d’insupportables conditions ?

La parade : l’ouverture du front ukrainien

Eh bien ces messieurs vont chercher une parade, un moyen de pression sur la Russie. Et ils vont en trouver une : l’Ukraine.
L’Ukraine est le berceau historique de la Russie slave, une partie de sa population est russophone quand elle n’est pas russe tout court, et son sort est étroitement lié à celui de son grand voisin.
Coup de théâtre : tout à coup, contre toute attente et sans véritable justification, le président ukrainien Viktor Ianoukovytch décide, en novembre 2013, de renoncer à un rapprochement avec l’Union Européenne, pourtant largement déjà négocié. Nous nous situons, rappelons-le, à peine deux mois après les événements de septembre.
Là encore, contre toute attente et très étonnamment, cette décision entraîne une révolution dans le pays, qui conduira au renversement du gouvernement et à des troubles favorisant la sécession de la République autonome de Crimée, qui proclame son indépendance puis vote par référendum son attachement à la Russie le 16 mars 2014. Dans la foulée, la Russie accepte le rattachement de la Crimée à la Fédération de Russie.
Poutine est tombé dans un piège, via la Crimée, car ces événements, non reconnus par la Communauté Internationale (c’est à dire en clair par le clan sioniste libéral) vont permettre à cette dernière de s’en servir comme moyen de chantage et de pression.
N’oublions pas que les sionistes libéraux sont des spécialistes de la Révolution contrôlée, les multipliant au gré de leurs besoins (Printemps arabe, Ukraine, Kazakhstan… on retrouve toujours le même processus : le peuple utilisé en chair à canon agité pour une cause en réalité occulte).

Il faut rappeler que, parallèlement aux événements de Crimée, tout à coup la Russie devient le vilain petit canard de la communauté internationale : celle-ci (c’est à dire, une fois encore les pays occidentaux) découvre que la Russie défend une conception chrétienne de la famille et des mœurs et s’oppose à l’idéologie LGBT occidentale, ce qui n’était pas nouveau. Elle est donc soupçonnée de sexisme et d’homophobie, qui s’ajoutent à sa dérive présentée comme anti-démocratique en Ukraine ; cela sera suffisant pour la menacer de boycotter les JO de Sotchi en février 2014 puis, une fois la Crimée rattachée à la Russie, ce sera une avalanche de sanctions : sortie du G8 pour revenir au G7, sanctions politiques, financières, commerciales, et bien entendu, l’outil le plus efficace : baisse du cours mondial des hydrocarbures. Et hostilité déclarée des Occidentaux avec résurgence de menaces de guerre, comme au bon vieux temps de la guerre froide.
Depuis fin 2013 la Russie est l’ennemi du monde occidental, accusée de tous les maux : de vouloir faire la guerre un peu partout, d’être homophobe, raciste et anti-démocratique, et de multiplier de prétendues tentatives de déstabilisation en tous genres (cyber-attaques, ingérence dans les élections américaines en novembre 2016, etc.).

Pourquoi ? Parce qu’elle a bloqué la troisième guerre mondiale, parce qu’elle n’obéit pas au bloc libéral, parce qu’elle est le champion du clan national-populiste, parce qu’elle est la seule capable de résister physiquement aux sionistes libéraux (militairement comme économiquement grâce à son rapprochement avec la Chine, autre puissance à tendance impérialiste) et donc parce qu’elle contrarie fortement l’accomplissement du plan !
La Russie n’est pas un bouc émissaire, elle est un empêcheur de tourner en rond, elle constitue un blocage qu’il faut faire sauter à tout prix !

Pourquoi la Syrie ? Pourquoi relancer ce conflit ?

Le lecteur avisé nous demandera à ce stade : mais pourquoi ces cabalistes patentés s’obstinent-ils sur la Syrie ? Que représente-t-elle vraiment ?
A cela, il y a trois réponses :

1) Un enjeu géopolitique évident : on l’a déjà évoqué, je serai donc bref. Israël n’a jamais caché que sa survie, du moins sa sécurité, dépendait notamment d’une stratégie d’affaiblissement de ses adversaires, surtout quand ils sont limitrophes. Or la Syrie est un ennemi déclaré d’Israël et ne s’en cache pas. De plus, le régime fort établi à Damas avait réussi à établir une cohésion nationale le rendant d’autant plus dangereux parce que stable. Sans compter ses contacts et ses alliances avec d’autres organisations et régimes hostiles, tels que le Hezbollah ou l’Iran. Déstabiliser la Syrie profite donc à qui vous savez.

2) La vengeance est un plat qui se mange froid. Israël n’a pas oublié ce jour du Yom Kippour 1973 (6 octobre) où il fut attaqué par surprise simultanément par la Syrie d’Hafez el-Assad et l’Egypte d’Anouar el-Sadate. Il est vrai qu’il y a des choses qui ne se font pas ; que dirions-nous si nous étions attaqués un jour saint comme le dimanche de Pâques ou le jour de Noël ? Toujours est-il que la vengeance d’Israël envers les auteurs de ce forfait devait et DOIT s’accomplir. Pour le Président égyptien, la punition fut évidente puisqu’il fut assassiné le 6 octobre 1981. En choisissant cette date, Israël a voulu que le monde entier sache que ce 6 octobre funeste pour Sadate était la réponse à un autre 6 octobre.
Quant à Hafez el-Assad, trop méfiant, il n’a pas pu être atteint de son vivant. Le fils paiera pour le père, mais il est évident pour moi qu’Israël n’a jamais oublié l’affront et tient à présenter la facture au fils. Ceci explique l’insistance des occidentaux à pointer constamment sur le chef du régime, comme un homme à abattre, du moins à destituer, en priorité, comme si changer la tête était le remède adéquat. Politiquement ça ne se justifie guère, dans le cadre de cette vengeance, cette volonté fixe s’explique.

3) Il y a enfin une dimension eschatologique majeure : l’oracle sur Damas.
En effet, nous ne devons jamais perdre de vue que l’oligarchie au pouvoir se compose de cabalistes la tête fourrée en permanence dans les livres saints, de hauts initiés qui raisonnent non pas en citoyens habituels, mais en élite chargée par Dieu d’accomplir son plan afin de bénéficier de ses promesses. Jésus-Christ lui-même a précisé que « pas une lettre, pas un accent de l’Ecriture ne seront effacés, mais que tout se réalisera » (Matthieu 5:18). Bien entendu ils ne se réclament pas de Notre-Seigneur, mais ils sont animés du même état d’esprit.
Or, que je sache, l’oracle sur Damas qui ouvre le chapitre 17 d’Isaïe et qui prédit la destruction de la ville ne s’est pas encore réalisé :
« Voici Damas retirée du nombre des villes,
Elle ne sera plus qu’un monceau de ruines
. » Isaïe 17:1
Mais le meilleur n’est pas là, il est dans la suite : car la destruction de Damas inaugure une longue liste de ruine d’autres Etats : la Samarie, l’Assyrie, l’Ethiopie, l’Egypte, Babylone, Edom, l’Arabie, Tyr… pour se terminer au chapitre 24 par la fin des temps, la destruction de la terre et le jugement général. Chacun ira chercher dans la mystique juive à quoi correspondent aujourd’hui ces anciennes dénominations, ce n’est pas très important : il s’agit en définitive de la malédiction et de la punition des nations païennes ennemies d’Israël.
On le voit donc, la réalisation de l’oracle sur Damas ne consiste pas seulement en la neutralisation d’un ennemi de l’état juif moderne et en une vengeance envers Bachar el-Assad, c’est surtout l’enclenchement d’un processus de destruction de toutes les nations considérées comme hostiles à Israël, tombant comme autant de dominos, de la chrétienté au monde musulman, en passant par bien d’autres.
Je soupçonne l’oligarchie mondialiste de caresser ce vieux rêve et d’avoir déjà voulu l’enclencher il y a neuf ans. Là encore, le jeu du donnant-donnant s’envisage très bien : je laisse tomber la souricière ukrainienne, tu laisses tomber la Syrie.

Le lien avec Fatima : une mystique sous-estimée ?

Je vais avancer ici une vision personnelle de ces enjeux en abordant le sujet cette fois-ci sous l’angle eschatologique, mais pas selon la vision des cabalistes qui dirigent le monde, non, dans une perspective catholique qui viendrait éclairer ces mystères. Je le répète, je vais avancer ici une thèse qui m’est personnelle et qui risque d’indisposer les esprits catholiques trop étroits.
Nous le savons tous, dans les secrets de Fatima, la Russie joue un grand rôle, et même un double rôle : d’une part être le propagateur d’un mal planétaire féroce et mortel (tout le monde a compris que c’était le communisme, surtout lorsque la Sainte Vierge l’annonce la même année que la révolution bolchevique), et d’autre part être, dans une seconde période, le garant de la paix.
Curieux, ce double rôle a priori antagoniste.
Mais arrêtons-nous plus précisément sur la phrase de la Vierge Marie qui nous intéresse :
« À la fin mon Cœur Immaculé triomphera. Le Saint-Père me consacrera la Russie qui se convertira, et il sera donné au monde un certain temps de paix. »
Que nous dit-elle ?
Qu’on sera « à la fin »
Que son Cœur Immaculé triomphera
Que le pape consacrera la Russie
Qu’elle se convertira
Qu’il sera donné au monde un « certain » temps de paix, qui comprend deux notions : on peut estimer que la Russie en sera l’acteur principal, puisqu’elle vient d’être citée, et qu’il y a (a priori) corrélation entre sa conversion et le temps de paix obtenu, et que ce temps de paix ne sera pas éternel : un certain veut dire qu’il aura une fin et qu’après… on ne sait pas. Ou plus exactement, à charge pour les spécialistes, les eschatologues, de faire le lien avec d’autres textes, comme l’Apocalypse, pour compléter le tableau.

Que pouvons-nous constater ? Je reprend le schéma en sens inverse :
– nous avons eu un temps de paix certain depuis 2013 (si Obama et Hollande avaient envoyé leurs missiles, nous vivrions actuellement dans un chaos indescriptible), et même depuis plus longtemps, et ce temps de paix nous a été obtenu grâce à l’obstination de la Russie ;
– depuis l’arrivée de Poutine, la Russie s’est convertie, c’est indéniable. Son retour à la foi Orthodoxe ne peut être nié, ni dans son ampleur, ni dans sa sincérité ;
– par conséquent, on est obligés d’admettre que la consécration de Jean-Paul II du 25 mars 1984 fut valable, car cette date sera suivie de la chute du Rideau de fer en 1989, qui permettra la résurrection de la Russie et ce qui s’ensuivit, tels que nous avons pu historiquement les constater ;
– MAIS cette consécration ayant été incomplète et imparfaite, les effets obtenus seront eux aussi perfectibles, voilà pourquoi la Russie ne s’est pas convertie au catholicisme ;
– et enfin le triomphe du Cœur Immaculé de Marie s’observe de trois façons : d’une part par la conservation en Occident d’une minorité traditionaliste active, d’autre part par le maintien d’une piété mariale véritable dans toute la chrétienté, et enfin par le fait que Vladimir Poutine étant né un 7 octobre, fête de Notre-Dame du Rosaire, il est l’instrument de la Vierge, peu importe qu’il en soit conscient ou pas, et toute la Russie avec lui. Sachant qu’à Fatima, le 13 octobre, la Dame a dévoilé son nom : « Je suis Notre-Dame du Rosaire » ; on ne peut donc pas se tromper.

Conclusion

Le conflit ukrainien est entièrement factice. Il a été créé en novembre 2013 afin d’enrayer les velléités de la Russie à contester les plans secrets de l’oligarchie sioniste libérale et de la forcer à collaborer à ce plan, bon gré ou mal gré, sur fond de désaccord et d’affrontement entre les deux blocs sionistes qui se partagent la domination du monde par nations interposées : le bloc libéral-révolutionnaire, le plus puissant, qui contrôle, pour simplifier, les pays du G7, et le bloc national-populiste qui contrôle la Russie, le Brésil et en partie la Chine. L’actuelle crise ukrainienne a été ravivée aujourd’hui parce que le bloc dominant se prépare à passer à l’étape suivant celle du Covid, étape qui, selon moi, peut prendre l’aspect d’un conflit généralisé commençant par la Syrie. Je suppose cette intention cachée parce que le seul domaine dans lequel Moscou gêne vraiment les mondialistes depuis presque neuf ans, c’est précisément la Syrie. Et on peut soupçonner les cabalistes de vouloir passer à l’accomplissement de l’Oracle sur Damas, prélude, dans le livre d’Isaïe, à un embrasement global. Or cet embrasement n’est pas à exclure, cela pourrait être, pour eux, l’étape finale du grand reset, car après le baptême satanique que constitue le vaccin, il faut refondre le monde sur de nouvelles bases, par le chambardement dont parle Pierre Hillard, cité au début.
Voilà à quoi sert l’Ukraine : à faire plier la Russie sur le dossier syrien. Voilà ce qui se négocie en sous-main. Si c’est bien le cas, on le saura vite, soit par l’ouverture d’un nouveau conflit en Syrie, cette fois-ci décisif car autorisé par la Russie, soit par l’ouverture des hostilités en Ukraine pour faire plier Poutine coûte que coûte. Pour cela, une attaque sous faux drapeau sera nécessaire.
Tout ceci s’inscrit dans un contexte eschatologique majeur, celui annoncé par Fatima, où la Russie jouera un grand rôle, autant dans la diffusion du mal via le communisme (ce qui s’est historiquement passé, et ce de façon mondiale), que dans la concession d’un temps de paix, là encore mondial, et là encore avéré depuis neuf ans. Mais tout a une fin, y compris ce certain temps de paix : y serions-nous arrivés ? Dans l’esprit de l’oligarchie mondialiste, c’est probable. Auront-ils l’autorisation du Ciel ? Nous verrons bien, mais il est permis de croire que le temps de Babylone (le monde moderne) est compté. Compté, pesé, divisé. Place à la justice divine : la chute de Babylone.

F

Illustration : la rencontre entre Poutine et Macron du 7 février 2022 ou le choc des deux oligarchies, et la volonté de l’une de bien montrer sa distance avec l’autre. C’est à la fois un défi et une humiliation. Un défi parce que le russe montre à l’oligarchie libérale que la pandémie qu’elle a inventée et orchestrée peut se retourner contre elle, en appliquant à son porte-parole des mesures de précaution aussi ridicules que vexatoires, comme celles qu’elle impose à tous les peuples. Et une humiliation parce que le Président français est traité comme un vulgaire citoyen de seconde zone, comme un pesteux qu’il ne faut pas approcher.


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584 Commentaires

  1. Emilie

    Zelensky :Zelen signifie « Vert » et Sky « ciel »

    Né le 25 janvier = Conversion de Saint Paul

    Mr Dalencourt des dates clées pour les 6 prochains mois? 11 mars? Juillet? Et?

    • dalencourt

      Non, pas de date-clé pour le moment, mis à part le 16 juillet (2022) où, selon moi, on devrait annoncer le décès de Benoît XVI. Ce n’est pas une prophétie mais un pronostic que je me risque à faire à partir de rapprochements et d’analyses, démarche qui m’est coutumière. Comme ça, si je me plante, cela donnera du grain à moudre à mes détracteurs qui s’en frottent les mains d’avance.

      • Vive Benoît 16

        Arretez avec Benoît 16.ca fait au moins deux ans que vous l annoncez pour mort. Ayez svp un peu de retenue et priez pour lui.

        • dalencourt

          Je n’y peux rien et lui non plus, mais eschatologiquement parlant, il tient un rôle essentiel et primordial, du moins dans l’approche spécifique de Louis d’Alencourt et du Grand Réveil, parce que :
          – je considère les événements dans l’Eglise comme prioritaires et significatifs par rapport à tout ce qui peut se passer ailleurs (dans la société civile) ; mon indicateur principal et PREMIER de la fin des temps n’est pas Poutine ou Macron mais l’Eglise catholique, même si tout est lié bien entendu ;
          – et comme dans mon approche la prophétie des papes et la Salette tiennent une très grande place, là encore, ce qui se passe dans l’Eglise et à sa tête est essentiel.
          Donc, Benoît XVI, ici, tient une place toute particulière. Allez ailleurs si vous ne voulez pas entendre parler de l’Eglise et de ses papes.

          Quant à l’homme, je suis tout à fait d’accord, nous devons prier pour lui et, vu son calvaire et ce que j’estime être son sacrifice personnel pour le salut de l’Eglise, lui souhaiter de retourner bien vite à la Maison du Père.

      • Bigouden29

        Oui, c’est du domaine du possible que Benoit XVI meurt le 16 juillet ( fête de N D du mont Carmel).
        Mais après, comme on l’à déjà dit, il est âgé, avec plus ou moins des problèmes de santé.
        Sur la photo de début février, je le trouvait amaigrit quand même. Ce ne serait donc pas surprenant d’apprendre
        son décés dans les prochaines semaines ou les prochains mois. D’ailleurs, dans sa lettre d’il y à un mois environ,
        il se disait près à paraitre devant le juge suprême, et faisait citait à la fin un extrait de l’Apocalypse.
        En admettant cette hypothèse du 16 juillet ( j’avais noté le 13 en référence à Fatima), et en comptant une
        quarantaine de jours, mettons 50 jours à partir de là, on tombe sur le 4 septembre.

        Cà me fait penser au 4 septembre 476, avec Romulus Augustule, dernier empereur d’Occident.
        Fait interessant: celui-ci n’était pas reconnu par l’empereur d’Orient, Zénon. Donc, ce Romulus
        était en quelques sortes illégitime, et placé sur le trône par son père Oreste.
        La ou je veut en venir, c’est que en ce moment nous avons « Pierre le Romain » comme usurpateur.
        Vous avez écrit l’autre jour qu’il suivra de près B16 au tombeau, et Babylone avec.
        Nous avons donc: Romulus Augustule dernier empereur d’Occident ( empire complètement décadent au Vème siècle)
        Macron: dernier président de la république, qui sera sans doute, hélas, réélu; et enfin,
        Bergoglio, dit « Pierre le Romain », 112ème et dernier pape.

        PS: Ce serait bien si l’échéance soit début septembre, pour le pardon de Penhors.
        L’année dernière, j’avais aidé à porter sa statue ( Vierge de Penhors) sur son brancard de procession.
        Il y avait plein de monde ( comme tout les ans), et le cardinal Barbarin était venu présider le pardon.
        Mais après, c’est le Seigneur qui décidera quand il rappellera à lui Benoit XVI, et quand Babylone chutera.
        Sur ce , bon dimanche à tous.

        • dalencourt

          Comme je l’ai dit, le 16 juillet est le résultat d »un calcul de ma part à partir de divers rapprochements ; il s’agit d’un pronostic, pas d’une certitude ni d’une révélation. Mais je considère ce pronostic comme suffisamment fiable pour le considérer, pour le moment, comme l’hypothèse numéro 1.
          Par contre, il ne s’agit pas d’un calcul en +40 après cette date.
          Tour dépendra alors de Bergoglio : il aura enfin les mains libres, et comme il, ou plutôt ils ont perdu assez de temps comme ça, je pense qu’il ira vite, très vite.
          Bien entendu j’entrevois un scénario après le 16 juillet, ainsi qu’un calendrier, mais il est trop tôt pour en parler.
          Plus on va avancer et plus ça ira vite ; ceux qui désespéraient d’avoir des signes probants vont être servis.

      • Agent Sucré

        Vous avez fait le « rapprochement » avec son frère aîné Georg , mort à l’âge de 96 ans et 5 mois et demi ?

      • Echtou88

        Et si les 2 Papes mourraient le même Jour ?! Hypothèse peu probable mais pourquoi pas , peut être y avez vous étudié la Question ?!

  2. JMA

    Bonjour à tous,
    Avez-vous cherché à savoir comment a été élu ce Zelensky ? Les médias nous le présentent comme un humoriste, un acteur.. Il y a aussi cette vidéo de danse malsaine, mais il y a autre chose que les médias se garderont de dire. En fait, il s’est fait « connaître » avec une série dont il est co-auteur : « Serviteur du peuple ». Globalement c’est l’histoire d’un petit professeur, simple, sympathique, un peu perdu, qui se retrouve élu président de l’Ukraine. Les Ukrainiens ont été martelés avec cette série pendant 3 ou 4 ans. Il y a même eu un film tiré de la série… au cas où certains l’auraient ratée ! Peu à peu la confusion s’est faite entre le héros de la série et le président Ukrainien. Puis, avant l’arrêt de diffusion de la série, le parti « Serviteur du peuple » a vu le jour, ce qui devait mener à l’élection de cet homme. Je doute que cela soit dû au hasard au risque de paraître « complotiste », l’homme qu’il faut, là où il faut, et on comprend mieux avec un tel réseau, l’appui dont il bénéficie. Allez voir sa fiche wikipédia, c’est assez intéressant, ce bon serviteur du peuple, anti-corruption, possède entre autres, une maison en Europe de 4 millions d’euros..
    Vous pouvez voir aussi la saison 1 de la fameuse série sur Arte, 23 épisodes !

    • Juan Diego

      Il s’en met autant dans le pif que notre cher Monarc,aussi… (Gerard Fauré confirmerait j’pense..)

      Complètement défoncé,on dirait Al Pacino dans la scène finale de Scarface… (y’a de grandes chances qu’il finisse comme lui d’ailleurs)

      • dalencourt

        Je pensais à cette scène en entendant Bruno le Maire : quand on menace ainsi des « oligarques » russes, certains étant de grands mafieux, on prend le risque de finir comme Al Pacino dans Scarface, avec un commando de 50 mecs accroché à tes basques.

  3. Charles

    TRADITIONALISTES DE TOUS LES PAYS UNISSEZ-VOUS!!!!!………..OUI, MAIS POUR LA VERITE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
    ALLEZ-VOUS CONTINUER A NIER LE REEL, LE FACTUEL ET L’EVIDENCE POUR LE PLUS GRAND CONTENTEMENT DE L’ENFER ET DE SES SUPPOTS?????….IL EST TEMPS DE VOUS METTRE REELLEMENT SUR LA CROIX!!!!! SI VOUS NE LE FAITES PAS POUR VOUS, FAITES LE AU MOINS POUR VOS PRETRES, POUR VOS PROCHES ET POUR VOS FRERES DANS LA FOI…..!!! DIEU VOUS TEND LA PERCHE PENDANT CE CAREME 2022….IL N’EST PAS IMPOSSIBLE QU’IL NE VOUS LA RETENDE PLUS JAMAIS……..PENSEZ A VOTRE SALUT!!!! LE PLUS GRAND SACRIFICE DE CAREME QUE VOUS PUISSIEZ FAIRE EN CES TEMPS DE CALAMITE ET DE MENACES C’EST DE CHOISIR LA CRUCIFIANTE MAIS REDEMPTRICE CHARITE DE LA VERITE!

    • Claude Germain

      @Charles , pardon pour l’incorrection du mot mais :  » vous déraillez cher Monsieur  » , depuis Janvier 2020 , 95 % des représentants et autres évêchés de l’église de France et de Navarre se sont comportés envers le peuple opprimé par le gouape macronesCULE , 95 % des prêtres ont ignoré le peuple catholique-chretien de france-poubelle avec un mépris empreint d’un égoïsme et d’une lâcheté évidente .Je me suis toujours refusé a rentrer dans une église en réunion de cagoulés et autres porteurs de calottes faciales ..On ne se présente pas devant DIEU le visage caché par une muselière , une honte !!!La direction des évêchés de france-poubelle qui veut également faire de Notre Dame de Paris un lunapark , on aura tout vu , ces traitres dans leur petit confort n’ont même pas osé taper du poing sur la table devant les violences policières et le comportement de toutes ces hordes de pédophiles , homosexuels , gérontophiles , supers hypers drogués , tous polilopes et journalopes venant culpabiliser les nons piquousés ( dont le sang d’ailleurs va bientôt couter une fortune parce que a peu prés pur ) et maintenant toutes ces ordures continuant leurs œuvres malsaines , tentent de dévier le sujet covidien pour le remplacer par un conflit crée de toutes pièces , favorisant encore le nazisme musulman des hordes de sauvages tueurs ukrainiens et ou est l’église dans tout cela ???? disparue envolée ?, alors sans haine et sans violence contre ce Sanhédrin bassement catholique , a part certains rares prêtres saints par l’esprit et sains par la générosité , que le reste ,les 95% , majoritaire lâche et égoïste SE DEMERDE dans leurs petits presbytères et petits évêchés ou ils pourront tranquillement et veulement , boire leur petit bouillon du soir et leur petite tranche de jambon et ensuite partir au dodo fiers de leurs bonnes œuvres l’esprit en paix , QU’ILS SE DEMERDENT !!!!!! on va les ignorer qu’ils restent pour ce qu’ils ce qu’ils sont , des pleutres ayant trahis leur sacerdoce ….le PÈRE ne doit pas être très fier d’eux ….

        • BrunoM

          Je suis catholique conciliaire non par choix mais par état de fait, je n’ai pas eu le choix.
          Je ne me sens pas moins catholique que vous, la parole nous est lu tous les dimanches et même si je reconnais des errements plus que certains de nos curés et conséquemment de leurs brebis, dont je fais partie, la parole est suffisamment forte pour faire son œuvre en nos cœurs, malgré cela. Il reste aussi quelques paroisses où les curés tiennent la route.
          Je ne me sens pas pour autant faire partie de Babylone et j’espère ne pas être jeté dans la géhenne.
          J’espère que le Ciel fera miséricorde à la foule qui a été trompée depuis tant d’années. Heureux les pauvres en esprit, car le Royaume des Cieux est à eux.

        • Charles

          oui Dalencourt mais vous avez gravement omis de joindre la vidéo qui éclaire tout le sens de mon message d’alerte!!!! C’est grave, très grave…….
          Et cela explique l’incompréhension de vos lecteurs……
          par le Saint Nom de Notre Seigneur, veuillez rectifier cette bévue (intentionnelle??? Dieu seul jugera……)

        • dalencourt

          Charles, votre haine vous aveugle et vous rend bête. Vous mettez une vidéo hostile à la FSSPX sur le blog d’une personne qui non seulement la défend, mais la considère comme le fer de lance et la personnification des Témoins de l’Apocalypse, et vous croyez que je vais diffuser vos saletés, vos calomnies, vos mensonges ?
          Je publie ce qui est bon et je retire ce qui est mauvais.

        • Magne

          BrunoM
          Vous dites « J’espère que le Ciel fera miséricorde à la foule qui a été trompée depuis tant d’années. »
          Sans doute qu’il le fera.
          Mais vous personnellement, puisque vous avez conscience d’avoir été trompé pendant tant d’années, pourquoi restez-vous avec eux maintenant ?

        • exile54

          Bien que je ne sois pas Bruno, je vais répondre: nous sommes des milliers, ou des millions, à ne pas avoir le choix. Vous imagineriez-vous que chacun vit à proximité d’une paroisse tradie ? Tout le monde ne vit pas, pour caricaturer, à Versailles ou à Paris. Pensez-vous que tout le monde a une voiture et le budget essence pour rouler 80 ou 100 kilomètres pour assister à une messe tradie ou se confesser à un prêtre de la FSSPX ? Les tradis vivent, paraît-il, en vase clos. A vous lire, Magne, je le crois sans peine.

    • Hugues MPH

      Charles,
      1- Écrire en majuscules est l’équivalent de parler en hurlant. C’est un manque de sang-froid, de calme, de pondération et surtout de charité chrétienne ! De plus, cela ne met pas votre texte en valeur. Dommage !
      2- Un, deux ou trois points d’exclamation sont concevables, plus confirment le point N°1 en aggravant la situation ce qui vous met à la limite de la normalité !
      3- Comme Savonarole et les jansénistes, vous êtes dans l’excès et vous ne représentez qu’une minorité agissante et hurlante.
      Aussi bien que Satan, vous divisez ce qui reste de la Tradition, mais vous êtes moins malin que lui: mettre ici une vidéo anti FSSPX et venir se plaindre qu’elle ne soit pas publiée. Quand même !! C’est un peu comique, non?
      Ça rime à quoi tout ça?
      Louis a eu bien raison de ne pas publier cette vidéo haineuse.
      Quand à moi et par charité, je n’aurais pas même publier votre commentaire: il n’est franchement pas à votre avantage.

    • Michel Mouchart

      Et aujourd’hui ? Suite de notre calvaire commun de chrétiens catholiques et orthodoxes sur terre !
      ( Depuis les origines jusqu’à nos jours, ce sont toujours les mêmes suppôts de Satan qui menacent les mêmes enfants de Dieu sur les terres orthodoxes et chrétiennes de notre pauvre planète ! )
      Bulletin N°70. Libération de l’Ukraine, Poutine vs sanctions. 06.03.2022.
      75 245 vues6 mars 2022

      02:50 Généraux français vs Poutine
      05:30 Situation militaire
      20:14 Poutine vs sanctions

      Suite sanctions contre Poutine !
      Interview de Charles Gave sur Sud Radio :

      • Michel Mouchart

        ( Sorry, lien internet incomplet !)
        Charles Gave – Sanctions économiques : « La Russie peut tenir deux ans, la France deux mois ! »
        981 455 vues4 mars 2022

        Charles Gave, économiste des marchés financiers, président de l’Institut des Libertés est l’invité d’André Bercoff.

  4. laurent35

    Tiens, tiens…
    https://strategika51.org/2022/03/05/rencontre-a-huis-clos-au-kremlin/
    Naftali Bennett, premier ministre d’Israël, a rencontré, samedi 05/02/2022, Vladimir Poutine, président de la fédération de Russie, au Kremlin.
    Rien ne filtre de cette réunion fermée mais il est certain que la guerre en Ukraine, les négociations sur le nucléaire iranien et la situation au Golan sont au menu de cette rencontre.
    Il se pourrait également que Bennett soit porteur d’un message de Washington à Poutine.

  5. Eclair

    Jn 12:37- Bien qu’il eût fait tant de signes devant eux, ils ne croyaient pas en lui,
    Jn 12:38- afin que s’accomplît la parole dite par Isaïe le prophète : Seigneur, qui a cru à notre parole ? et le bras du Seigneur, à qui a-t-il été révélé ?
    Jn 12:39- Aussi bien ne pouvaient-ils croire, car Isaïe a dit encore :
    Jn 12:40- Il a aveuglé leurs yeux et il a endurci leur cœur, pour que leurs yeux ne voient pas, que leur cœur ne comprenne pas, qu’ils ne se convertissent pas et que je ne les guérisse pas.
    Jn 12:41- Isaïe a dit cela, parce qu’il eut la vision de sa gloire et qu’il parla de lui.
    Jn 12:42- Toutefois, il est vrai, même parmi les notables, un bon nombre crurent en lui, mais à cause des Pharisiens ils ne se déclaraient pas, de peur d’être exclus de la synagogue,
    Jn 12:43- car ils aimèrent la gloire des hommes plus que la gloire de Dieu.

    Jn 12:44- Jésus a dit, il l’a clamé :  » Qui croit en moi, ce n’est pas en moi qu’il croit, mais en celui qui m’a envoyé,
    Jn 12:45- et qui me voit voit celui qui m’a envoyé.
    Jn 12:46- Moi, lumière, je suis venu dans le monde, pour que quiconque croit en moi ne demeure pas dans les ténèbres.
    Jn 12:47- Si quelqu’un entend mes paroles et ne les garde pas, je le ne juge pas, car je ne suis pas venu pour juger le monde, mais pour sauver le monde.
    Jn 12:48- Qui me rejette et n’accueille pas mes paroles a son juge : la parole que j’ai fait entendre, c’est elle qui le jugera au dernier jour ;
    Jn 12:49- car ce n’est pas de moi-même que j’ai parlé, mais le Père qui m’a envoyé m’a lui-même commandé ce que j’avais à dire et à faire connaître ;
    Jn 12:50- et je sais que mon commandement est vie éternelle. Ainsi donc ce que je dis, tel que le Père me l’a dit je le dis.  »

    http://moniteurs.billings.free.fr/bj/jn12.htm

  6. Romain

    Saint-Pierre de Rome comme Notre-Dame de Paris ? François lance la Fondation Fratelli Tutti pour en faire un centre de promotion de ses idées globalistes
    https://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2021/12/saint-pierre-de-rome-comme-notre-dame.html?m=1
    « La manière dont tout cela va se jouer dans et autour de la Basilique Saint-Pierre, où les catholiques vénèrent tout de même la tombe de saint Pierre, ce roc sur lequel l’Église a été bâtie, est déjà perceptible dans les quelques éléments des statuts de la Fondation qui ont été cités par les médias italiens. Les mots clefs sont « humanisme », « construction d’alliances sociales » et, bien sûr, « ponts », création d’« événements », de « parcours », d’« expériences » et d’« exercices spirituels », sans oublier la « promotion du dialogue avec les cultures et les autres religions sur la base des thèmes de la dernière encyclique du pape ». »

  7. Michel Mouchart

    ( Rapport détaillé de la situation militaire en Ukraine, sorry mais c’est en anglais !)
    Ukraine War 11th DAY and current situation 2022 #Ukraine #Russia #NATO
    1 475 vues 6 mars 2022

    • Michel Mouchart

      NB° C’est bien un rapport  » d’estimation des pertes  » de l’armée Ukrainienne, comme il est indiqué à 6’35 de la vidéo !
      Je ne sais pas si  » la vérité de l’armée Ukrainienne  » est la vérité tout court !

    • Michel Mouchart

      Important , utiliser le lien internet  » audio  » au début du texte afin de pourvoir à la fois lire et entendre les mots de Poutine, ce Poutine né le 7 octobre juste avant la mort de Staline, nous déclarant sa détresse de l’évolution LGBTiste de monde qui nous est imposé par la synagogue de Satan et qui nous adresse ici un message émouvant de profonde détresse sur  » la dévolution de notre monde à Satan  » et nous informe de son auguste volonté de vouloir y faire face en préservant notre pauvre civilisation chrétienne appelée par  » les mondialistes de Bidin  » à la dissolution rapide dans un  » acide satanique communautaire universel  » !
      Que Dieu Tout Puissant se lève que que ses ennemis soient dissipés !
      VADE RETRO SATANAS !

  8. Claude Germain

    On ne vit pas pour mourir ou pour préparer sa mort , sinon a quoi cela sert de venir au monde , on vient au monde parce que des parents , pas tous , peuvent croire aux promesses divines , autrement a quoi cela sert’ il ? une naissance peut être simplement et stupidement le résultat d’un acte sexuel , la vie bêtement .Le brave curé découragerait un saint ………Déjà que la vie est une attente souvent déçue avec une fin triste et pitoyable , il n’est pas normal qu’une personne âgée par solitude ou maladie ou autre demande a « partir  » finalement la vie c’est quoi ???? , il faudra que le brave curé remette en jeu sa conception de la vie en étant un peu plus optimiste ce n’est déjà pas gai d’être là. si vivre et c’est le cas en majorité , une joie , un pitoyable joie pour mille merde , ça sert a quoi ???…..

    • Souri7

      @Claude Germain,
      je n’ai pas écouté le sermon de ce prêtre, mais il vaudrait mieux dire : Vivons pour préparer notre éternité !
      Et c’est un travail passionnant aux côtés de notre Dieu trois fois saint !
      Je pense que c’est ce qu’a voulu évoquer cet abbé.
      Oui, nous souffrons de mille manières ici-bas car la vie terrestre est un combat à mener et il faut parfois bien du courage pour porter la vie jusqu’au bout, et souffrir avec Dieu c’est déjà avoir gagné. Mais la joie totale ce sera pour l’éternité bienheureuse; en attendant, la joie est surtout intérieure.

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