Le scénario du chaos monétaire

J’ai longtemps pensé que la signification du 21 décembre était la fin du monde financier tel que nous le connaissons. C’est-à-dire que le 21 décembre serait la date butoir pour la mise en place du premier chaos : le chaos monétaire.

Réfléchissons quelques minutes. On sait que l’objectif à terme est de remplacer le système fiduciaire mondial ainsi que les différentes monnaies par un système unique et global : une monnaie mondiale chapeautée par un organisme mondial. C’est pourquoi nous savons que l’Euro et le dollar sont condamnés à terme, reste à savoir quand et lequel en premier. Or on sait que la FED américaine est une société privée d’une durée de 99 ans. Créée le 22 décembre 1913, elle prendra fin le 21 décembre 2012. Beaucoup se sont interrogés sur cette similitude de dates sans voir le message réel. La fin du bail de la FED au 21 décembre n’est pourtant pas un problème en soi : il n’y a aucun souci juridique pour la proroger ou recréer une nouvelle structure. De plus, cette information, même si elle circule sur le net, n’est pas confirmée.

Donc, ce n’est pas un problème, sauf… si, pour les organisateurs du Nouvel Ordre Mondial, cette date est en réalité une date butoir. C’est-à-direFED que les conditions soient réunies pour que le 21 décembre, au lieu de prolonger la FED, on soit amenés à mettre en place cette nouvelle monnaie mondiale. Plus de FED car plus besoin de FED, mais une remise à plat du système monétaire au niveau mondial, débouchant sur une nouvelle monnaie, d’envergure mondiale, et probablement indexée sur l’or. Pour cela, il faut qu’auparavant les principales économies et leurs monnaies aient fait faillite. C’est-à-dire principalement l’Euro, le Dollar, la Livre Sterling et le Yen. Les BRICS sont moins concernés car de toute façon, ils sont totalement dépendants des pays émetteurs de ces monnaies, qui sont leurs principaux clients. Si demain on leur demande d’effectuer leurs transactions dans une nouvelle monnaie, ils n’auront pas le choix.

Par conséquent, le scénario pourrait être un effondrement des principales économies (zone euro, Etats-Unis et Japon) qui entraînera celui des autres, d’où une gigantesque crise économique mondiale, ne pouvant être résorbée que par une refonte du système monétaire, refonte obligatoirement à l’échelle mondiale puisque la crise aura atteint également cette envergure, à cause de l’interdépendance des économies.

D’où l’accumulation aujourd’hui des dominos : crise immobilière, crise de la dette, plans d’austérité, crise des banques et j’en passe. La crise actuelle de la zone euro n’en est pas une, c’est juste la mise en place d’un domino essentiel. Et c’est pourquoi aussi la zone euro ne s’effondre pas (encore), les politiques et la BCE faisant mine à chaque fois de trouver des solutions, qui sont autant de bombes à retardement puisqu’elles aggravent toutes les dettes des pays. Et c’est pourquoi les gouvernements, à commencer par le gouvernement français, ne prennent pas les mesures adéquates pour enrayer le processus et commencer à mener une politique de saine gestion : ils attendent, tout simplement, le moment où cela va exploser, et ils ont pour instruction, en attendant, de continuer à attiser le feu. En réalité, en faisant semblant de solutionner les crises, ils en rajoutent.

bankster1J’ai toujours été étonné des critiques de certains économistes lucides qui, après chaque sommet européen, du G8 ou du G20, ne comprennent pas pourquoi les solutions trouvées ne feront qu’aggraver à terme la situation des pays et de leurs économies puisque les solutions en question ne consistent qu’à créer de la dette supplémentaire, en injectant toujours plus de liquidités dans un tonneau des Danaïdes sans fond. Pourtant, nos dirigeants sont intelligents, entourés et conseillés par des spécialistes.
Alors pourquoi ? Parce que ces économistes n’ont pas compris que l’objectif réel n’est pas de trouver des solutions efficaces et efficientes, mais bien de créer les conditions d’une méga-crise, tellement puissante que le monde entier en sera affecté comme jamais auparavant. A côté, la crise de 1929 aura l’air d’un jeu pour enfants.

Il n’y a plus qu’à appuyer sur le bouton, tout est prêt. Aujourd’hui, l’interconnexion des économies, des bourses et des banques, et le fait que la totalité des transactions soit électronique, fait qu’une crise peut être globale et mondiale en quelques heures. Les conditions sont réunies pour bloquer le monde entier en 24h. C’est un pouvoir exceptionnel entre les mains d’un tout petit nombre.

Et c’est facile à faire : une chute un peu trop forte et un peu trop rapide de quelques places boursières fait tomber tout le monde par un effet domino. Krach mondial. Les Etats ferment les bourses et les banques. Du jour au lendemain, plus d’accès à vos comptes, plus de billets aux distributeurs, plus rien, sauf un Etat qui vous dit : on va remédier à la situation.
Ou alors un virus informatique qui attaque les principales banques et/ou les places boursières. Le résultat sera identique.

Si cette théorie du lancement de la refonte monétaire à partir du 21 décembre 2012 s’avère fondée, ce que je crois, alors il ne nous reste plus beaucoup à attendre. Car il faut que les économies soient suffisamment affectées pour envisager l’abandon de leur monnaie. Il faut quelques mois de marasmes et de problèmes insoutenables, surtout pour les populations occidentales, avachies dans la facilité et l’assistanat, pour que celles-ci réclament à corps et à cris une résolution de leurs problèmes, qui sortira comme par hasard d’un chapeau par les dirigeants politiques : une monnaie mondiale. Ce qui ne veut pas dire d’ailleurs que toutes les monnaies nationales disparaîtront.la faillite

Malheureusement pour eux, ce sera le début des vrais malheurs. Car la crise économique nécessaire pour cette refonte monétaire, va entraîner inéluctablement une grave crise sociale car, rappelons-le, la création d’une nouvelle monnaie, fut-elle mondiale, ne résoudra en rien vos problèmes quotidiens, et entre-temps, de très nombreuses entreprises auront mis la clé sous la porte. La réforme monétaire mondiale n’aura pas pour objet d’améliorer la situation des peuples, même si c’est cet argument qui sera utilisé par les politiques, mais à être la première étape de la mise en place définitive du Nouvel Ordre Mondial. Donc début 2013, explosion du chômage et crise sociale. Aggravées et justifiées par les réformes probables du train de vie de l’Etat, qui aura fait faillite entre-temps, et qui se verra contraint de réduire le nombre de fonctionnaire et ses multiples subventions. Pour sortir de cette impasse et donner le change, nos dirigeants n’auront d’autre solution que d’enclencher officiellement la 3ème guerre mondiale (qui est déjà commencée) par l’attaque de l’Iran.

Et voilà le calendrier annoncé par Pike et Lénine, qui se réalise à la lettre :

  •  Crise économique mondiale pour préparer le 21 décembre
  • A partir du 21 décembre 2012, lancement de la réforme monétaire internationale, première étape du nouvel ordre mondial qui entrera ainsi dans sa phase finale
  • Crise sociale généralisée début 2013, suite logique de la crise économique et de la faillite du privé et du public, suivie de la :
  • 3ème guerre mondiale* débutant au Moyen-Orient (mars 2013 ?) par l’attaque de l’Iran, et dégénérant en conflit mondial par l’affrontement Occident (Etats-Unis, Japon, Europe, Israël et leurs satellites Turquie, Arabie Saoudite et Qatar principalement) face au bloc russo-islamique (Russie, Chine, Iran, Syrie et un certain nombre de pays musulmans), au cours de laquelle le recours à des armes nucléaires n’est pas à exclure (cela a déjà été envisagé et évoqué),
  • Ce conflit s’étendra en Occident (Europe principalement) par le biais d’une guerre civile résultant d’un affrontement confessionnel entre occidentaux et musulmans, sans compter la probabilité d’une invasion russe, qui n’est pas à exclure,
  • Et c’est probablement à ce moment-là que la guerre bactériologique entrera en action. Car, je le rappelle, une des conditions essentielles à la mise en place du nouvel ordre mondial est la réduction drastique de la population mondiale, au moins la moitié. Outre la transformation d’une bonne partie des populations en chair à canon, les réjouissances pré-citées devraient amener leur lot de morts par suicides, famines et tueries en tous genres, conséquences de la guerre civile. Mais ceci ne sera évidemment pas suffisant. La guerre bactériologique n’est pas une hypothèse, c’est une certitude. Le plan de réduction de la population mondiale passe, on le sait, par une guerre bactériologique où des maladies, parfaitement maîtrisées par certains, entreront en action et décimeront des pays entiers.
  • Ainsi, le monde, une fois nettoyé de quelques milliards d’humains, grâce essentiellement à la guerre nucléaire et bactériologique, pourra connaître en 2014 l’avènement de son sauveur, l’Antéchrist.

* Lénine ou Pike, je ne sais plus, prophétisait qu’après une première crise de grande ampleur (économique et sociale), « quand les hommes diront paix et félicité » un cataclysme encore plus grand s’abattra sur eux. Ce peut tout à fait être le déclenchement de la 3ème guerre mondiale (dans sa phase militaire), qui arrivera après quelques mois très difficiles de crise économique et sociale. Rappelons que l’homo occidentalis, entre sa télé, son smartphone et son hamburger, n’est absolument pas préparé à vivre dans de telles conditions, et n’en sera pas capable.

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