Virus ou manipulation ?
Nous allons tenter ici d’analyser dans ses grandes lignes une opération de manipulation de masse des esprits appelée opération coronavirus, qui se révèle être une remarquable orchestration à l’échelle mondiale, et démontre l’existence d’une volonté mondiale, à la puissance d’autant plus redoutable qu’elle n’est pas perçue ainsi par le plus grand nombre.
La propagande est basée sur trois ressorts principaux, peu importe qu’ils soient vrais ou faux (il faut de toute façon toujours une petite partie de vrai pour crédibiliser le discours et lui donner du corps), l’important est qu’on le croie :
1) le virus est très dangereux parce qu’il peut être mortel
2) il est très contagieux
3) on n’a aucun remède sérieux connu
Voilà la base de la recette, les 3 ingrédients qu’il faut mélanger afin que la mayonnaise prenne. Après, il suffit de la tourner incessamment, en exploitant le potentiel des trois et en utilisant la double caisse de résonnance des médias et des pouvoirs publics.
Voyons comment ils font, c’est assez facile quand on en a les moyens.
Base 1 de la propagande : Le virus est très dangereux et peut être mortel
Le il peut être mortel est radical, tout est dans la valeur qu’on donne à ce « pouvoir ». Il suffit qu’il y ait quelques morts, information présentée comme terrible et qui va tourner en boucle. Ensuite on exploite le potentiel à coup de statistiques et d’études à partir de modèles mathématiques préconçus (ici pour faire croire à une létalité élevée). Et pour entretenir ce prétendu potentiel dans l’esprit de la population, on mélange subtilement les morts réels et les morts potentiels estimés grâce à ces modélisations. Résultat garanti. Pour grossir l’effet, la seconde technique consiste à compter les morts un par un et à en parler tout le temps, tous les jours, avec toujours les mêmes accents d’angoisse : ainsi, on entretient l’illusion d’une létalité élevée permanente, même si en réalité ils ne sont que quelques dizaines ; et comme on mélange cette info avec les statistiques de létalité potentielle, on a l’impression que la mort règne partout.
Très efficace aussi : y ajouter les stats des membres du personnel médical qui, inévitablement, pour quelques-uns, contracteront aussi le virus au contact des malades (on dit contaminé ou infecté, c’est plus angoissant que malade : il ne faut pas oublier que le vocabulaire employé contribue fortement à obtenir l’effet psychologique voulu ; c’est une des bases de la propagande). Ainsi, on a l’impression que tout le monde est concerné, personne n’y réchappe.
Le but est d’installer durablement dans l’imaginaire collectif que le virus est dangereux et provoque beaucoup de morts, même si ce beaucoup est, statistiquement, autant dans les pays qui confinent que dans ceux qui ne confinent pas, extrêmement faible comparé à la plupart des autres maladies létales, ainsi qu’en pourcentage de la population totale. C’est donc un mensonge, mais un mensonge répété avec autant d’insistance et à une telle échelle devient une vérité.
Base 2 de la propagande : le virus est très contagieux
Concernant la contagion, là aussi la technique est très simple. Pour qu’elle frappe les esprits, il faut au préalable que le premier ingrédient ait été mis en avant : la supposée létalité. Ensuite, il est essentiel de ne pas avoir une idée précise du mode de transmission du virus ; tout ce que l’on peut dire c’est qu’il est contagieux et de multiples manières ; s’il est contagieux il peut (toujours le potentiel : c’est très important de pourvoir dire il peut sans preuve) contaminer tout le monde. Donc le cocktail virus dangereux (point 1) + risque de contagion élevé (point 2) est évidemment d’une redoutable efficacité dans l’imaginaire collectif. Il suffit de l’entretenir. Même si les spécialistes discutent des modes de contagion possibles : peu importe, c’est un peu tout, car entretenir la confusion, c’est affecter de croire que chaque mode envisagé n’est pas à écarter (il peut, n’oublions pas, est la base du raisonnement sans laquelle on ne peut pas justifier les mesures de précaution prises). Il est très important que tout le monde se sente concerné, d’où la notion de contagion universelle : tous coupables car tous porteurs potentiels et tous infectés potentiels.
Même si on apporte la preuve que sa contagion, à la limite, importe peu, puisque 95% des infectés n’auront même pas à aller à l’hôpital : pour la quasi-totalité de la population, le virus n’aura même pas d’incidence sur sa santé. C’est ce qu’ont prouvé les pays ne pratiquant pas le confinement : leur parade principale est la pratique des tests à grande échelle, qui permet d’une part de séparer les malades des autres, et d’autre part de constater la létalité extrêmement faible du virus rapporté à sa diffusion dans la population.
Oui mais n’oublions jamais le il peut : même sur cent personnes, si 99 ne sont pas -ou très peu- malades, une peut l’être plus gravement et peut même mourir. Tout repose sur le un qui peut mourir (remarquez à nouveau le qui peut). En temps normal, tout le monde admet que le risque zéro n’existe pas et qu’on peut mourir de toute manière dès qu’on franchit le seuil de sa porte, ou à chaque fois qu’on gravit un escalier, et a fortiori le risque augmente si on est déjà malade, ou âgé, ou les deux. Pour donner de la valeur à ce raisonnement, il suffit aux médias de se concentrer sur le un, et aux pouvoirs publics de regrouper tous ces un pour cent (en réalité, on est plus proche des 0,1%) dans les mêmes hôpitaux afin de parvenir à l’effet de groupe qui donnera le résultat escompté : persuader la population qu’elle est concernée dans sa totalité, partout, par tous, et qu’il y a un grand danger de mort (enfin, c’est l’argumentaire « de base »).
Le mensonge ici ne réside pas dans le risque de contagion, réel, c’est de faire croire que cette contagion est dangereuse alors qu’en réalité elle ne l’est pas. La solution la plus efficace consiste, on le sait parce que cela a été pratiqué ailleurs avec succès, à effectuer des tests à grande échelle dès qu’il y a un cas suspect, afin de séparer les malades des autres, et mettre en quarantaine les seuls infectés. Les pays qui n’imitent pas ces bonnes pratiques ont une bonne raison de le faire : parce que sinon s’écroulerait le point 2 de la propagande : faire peur par la contagion.
Base 3 de la propagande : il n’y a pas de remède
Troisième ingrédient, très efficace lui aussi, parce qu’il participe grandement à l’angoisse généralisée: il n’y a pas de remède. Tout simplement, et l’argument est imparable, parce que le virus est nouveau. Pour faire durer artificiellement l’épidémie, il est essentiel que cet argument soit valable le plus longtemps possible. Pour trois raisons, qui en font un ingrédient essentiel, peut-être même encore plus que les deux autres :
1) Parce qu’il participe grandement aux mesures de précaution décidées : le confinement n’est pas forcément l’idéal, nous disent les pouvoirs publics et les autorités sanitaires, mais on ne dispose pas d’autre moyen pour le moment. L’argument est imparable, mais pour cela il est essentiel qu’il n’y ait pas de remède valable reconnu.
2) Parce que les méthodes de soin actuelles augmentent de façon quasi certaine la létalité attribuée au coronavirus. On le sait aujourd’hui, la très grande majorité des malades hospitalisés, et des décès dus au coronavirus, sont des personnes au système immunitaire déjà fragilisé, parce que souvent âgées, voire très âgées, et/ou souffrant d’autres pathologies, et/ou souffrant d’autres affections comme l’obésité. Comme d’un autre côté les méthodes de soins employées sont lourdes (assistance respiratoire notamment) et risquées (certains traitements sont pointés du doigt), le résultat sera souvent fatal à des patients déjà fragilisés. Il est facile de dire qu’ils sont morts du coronavirus alors qu’en réalité il y a eu deux accélérateurs de la mort : le virus, peut-être (en tenant compte des pathologies déjà présentes), mais aussi, pour certains, les « soins » pratiqués.
Autre facteur qui explique l’augmentation du nombre de morts en EHPAD : l’isolement des personnes âgées, certaines très âgées et souvent souffrant d’autres pathologies (rappelons qu’il s’agit de maisons de retraites médicalisées réservées aux personnes dépendantes, donc déjà fragilisées en soi). L’angoisse entretenue par les médias influence forcément une population que l’on présente, à juste titre pour une fois, comme particulièrement vulnérable à l’épidémie. Et d’un autre côté, on l’isole et on lui supprime tout contact avec l’extérieur (famille, amis, prêtre, etc.).Résultat : les vieux se laissent mourir, ils se laissent aller, et tout le monde sait que le facteur psychologique influe beaucoup sur la santé, surtout quand celle-ci est déjà fragilisée. Quand on n’a plus envie de vivre parce qu’on se croit condamné (la télé vous le dit 24h/24) et parce qu’on a été abandonné par les siens, on ne se bat plus…
Le même phénomène de stress aggrave souvent les cas dans la population générale et au sein du personnel soignant : le stress psychologique prépare le terrain.
3) Et enfin, troisième excellente nécessité de cet ingrédient, il permettra d’accueillir à bras ouverts, les larmes aux yeux et des sanglots de reconnaissance dans la voix, le vaccin sauveur, dont la survie de l’humanité dépend. Car je rappelle l’état d’esprit obtenu grâce aux 3 ingrédients : haute létalité supposée et entretenue + haute contagion supposée et entretenue + absence de remède valable = a)maintien des mesures de précaution jusqu’à ce que le remède miracle arrive, et b), ultra important, nécessité absolue d’un vaccin sauveur, imposé à tous les hommes sans exception, car, c’est là la force du système et du raisonnement (et là on peut leur tirer notre chapeau !) même si individuellement vous décidez de prendre le risque de mourir en refusant le vaccin, on vous dira que vous n’avez pas le droit de mettre la vie des autres en danger, donc vaccin obligatoire pour tous.
Voilà pourquoi, pour conclure le 3è point, le professeur Raoult est arrivé trop tôt. Ce brave homme fait partie du système, sioniste comme les autres, le système l’aime bien en réalité, la question n’est pas là, mais il est intervenu trop en amont : non seulement il annonce un traitement, mais en plus un traitement qui marche ! En réalité il n’est pas le seul, d’autres spécialistes ont avancé des solutions, y compris dans la médecine douce et naturelle, qui fonctionnent. Mais Raoult et les autre remèdes qui marchent ne sont pas les bienvenus parce qu’il est essentiel, dans la stratégie, qu’il n’y ait pas trop tôt de remède universel, pour les raisons exposées ci-dessus. Pour faire simple, le système tient à n’utiliser que les solutions qu’il a choisies à l’avance.
En réalité, ce coronavirus se soigne, on en guérit très bien et sans séquelles, il ne tue majoritairement que des personnes déjà en fin de vie et/ou déjà malades, mis à part quelques exceptions isolées et non représentatives, et son taux de létalité rapporté à la population totale, est un des plus bas, si ce n’est le plus bas, de toutes les maladies pouvant être mortelles.
Ajout : la pérennisation de la crise
Un quatrième ingrédient a été ajouté à la mayonnaise, pas tellement pour la faire mousser mais plutôt pour la pérenniser. C’est le concept de crise sanitaire durable.
Pour la première fois, on nous annonce à l’avance qu’il y aura un avant et un après, que le monde ne pourra être pareil. Pourquoi ?
Soyons lucides : on a juste récolté une maladie de plus, une maladie qui a prouvé qu’elle n’était pas dangereuse, pas plus que les autres et bien moins que tant d’autres, une maladie qui fait très peu de morts, que la solution adoptée soit le confinement ou pas (les chiffres sont même plutôt en faveur des pays qui ne confinent pas), et d’une maladie qui, en réalité, se soigne !
Alors, pourquoi n’y aurait-il pas un retour à la normale, une fois le pic épidémique passé, comme pour toute autre maladie, mis à part quelques précautions à prendre, mais seulement en présence de symptômes (à commencer par le test systématique), et des traitements à peaufiner et valider ?
Pourquoi parler de l’après 11 mai en France, et de l’après coronavirus dans le monde, comme si, cette fois-ci, un nouveau paradigme était engagé ?
Ce quatrième ingrédient ne dévoile-t-il pas un peu la véritable stratégie qui se cache derrière cette orchestration sans précédent ?
Mais pourquoi tout ce bordel ?
Arrivé à ce stade, un seul mot jaillit de la poitrine du lecteur abasourdi par ce qu’il vient de lire : pourquoi ?
Pourquoi ce tintamarre assourdissant, cette unanimité dans l’angoisse et la peur, pourquoi cette orchestration minutieusement déployée, richement et unanimement entretenue, pourquoi cette incroyable restriction des libertés, pourquoi cet effondrement inévitable des économies, pourquoi, pour utiliser un langage familier, tout ce bordel ?
Pourquoi enfermer la moitié de la planète (tout de même !) s’il ne s’agit que d’un épisode grippal un peu plus tenace que d’habitude, semblant avoir échappé au contrôle vigilant des autorités, et contenant quelques complications pulmonaires imprévues ?
Premier élément de réponse : on l’a bien compris, tout ceci masque (ou révèle ?) un projet de la main cachée qui dirige le monde, cette main constituée des élites judéo-maçonniques et de la haute finance apatride.
Deuxième élément de réponse : de quel projet s’agit-il ? On ne sait pas.
On ne le saura que lorsqu’il se dévoilera. Rappelons que le succès de ce genre d’entreprise nécessite deux conditions préalables : le masquage intégral des véritables objectifs et donneurs d’ordres en utilisant une batterie d’intermédiaires (je parle autant des événements que des personnes), et le cloisonnement des acteurs et des outils : l’agent A ignore ce que fait l’agent B et pourquoi, l’outil A sera complémentaire à l’outil B, sans le savoir, mais l’outil C s’opposera en apparence aux deux premiers ; seule la direction de l’élite connaît le plan dans son ensemble.
C’est pourquoi il est inutile, illusoire et hasardeux de chercher à identifier trop vite les intentions de ceux qui dirigent en coulisse et orchestrent ce chaos.
Nous ne pouvons qu’émettre des hypothèses, mais sans certitude ; en voici quelques-unes :
(que nous listons sans approfondir)
1) Les intérêts financiers
Une bonne crise économique est une aubaine pour les rapaces de la finance apatride :
– l’effondrement des bourses permet à des financiers avisés de racheter à bon compte les actions de multinationales dont la valeur aura fondu en quelques jours… le temps d’effectuer de fructueuses opérations et de prendre le contrôle de grandes et solides firmes pour des sommes infiniment plus faibles qu’en temps normal.
– le marché de la dette, et celle des Etats en particulier, est une source presque inépuisable de revenus et de profits pour les banques et les marchés financiers. Nous n’imaginons pas le nombre de petits que fait chaque euro de dette, car chaque dette est ensuite revendue et saucissonnée en autant de produits financiers qui s’additionnent (!), et sur lesquels spéculent les professionnels de la finance. On comprend mieux alors tout l’intérêt de faire exploser les dettes des Etats, et de les autoriser à ne pas les rembourser… bien au contraire ! : le volume des dettes entretient un chiffre d’affaires considérable, surtout quand elles sont émises par des Etats bien notés… payer les intérêts suffit largement.
2) Les intérêts politiques
Les projets du Nouvel Ordre Mondial sont connus, et une bonne crise sanitaire peut leur donner un coup de pouce sans précédent (le fameux Ordo ab chao : d’un désordre sciemment provoqué sortira leur ordre) :
– Parvenir à un contrôle total des populations par deux grands moyens : la mise en place pérenne d’un état policier permanent justifié par les menaces créées (hier le terrorisme, aujourd’hui la crise sanitaire), et par la technologie, qui permet, entre autre, de pucer les gens (en couplage possible avec un vaccin : on en voit ici tout l’intérêt), de supprimer l’argent liquide, de les tracer via les smartphones, etc… le champ d’application est vaste.
– Avancer sur le projet mondialiste par la convergence des intérêts : la gestion mondiale de la crise mène au gouvernement mondial, à une religion mondiale, à une gestion sociale mondiale, etc. Dans les trois cas, l’erreur classique consiste à envisager une fusion des entités (Etats ou religions) : il n’en est rien, il s’agit d’établir une couche au-dessus, supérieure et transcendante.
– Asservir les populations par une mise en esclavage des classes moyennes et ouvrières : l’effondrement économique, conséquence inévitable de la crise sanitaire, les placera sous la tutelle de l’Etat, des millions de gens deviendront sa propriété, dans les pures règles du collectivisme communiste de Lénine et Staline.
– C’est pourquoi ils parlent d’un nouveau paradigme : il s’agit bien de la mise en place d’un nouveau type de civilisation, proche du scénario orwellien décrit dans 1984.
Il est important que ce nouveau paradigme soit mis en place dans les pays moteurs, ceux qui dirigent le monde ; les autres suivront.
3) Les aspects mystiques
Ceux-ci comportent deux volets qui ne sont pas forcément opposés. Le volet A peut s’inscrire en conclusion et aboutissement des deux premiers projets évoqués (financier et politique), mais il peut s’inscrire aussi à la suite du volet B.
a) Volet A : plusieurs paramètres peuvent laisser penser que l’accomplissement du projet messianique de domination du monde par la haute aristocratie juive arrive à sa phase finale, via ses relais et alliés que sont la judéo-maçonnerie, la finance apatride et la diaspora.
La crise sanitaire leur permettra de mettre la main sur les ultimes richesses qui leur avaient échappé, et de prendre le contrôle définitif des Etats (qui possède la dette contrôle l’Etat de facto et lui dicte ses conditions), d’où le nouveau paradigme envisagé, et décrit ci-dessus, avec en point d’orgue, en signature dirons-nous, le vaccin sauveur, le véritable Sauveur étant évidemment la Synagogue.
Le tout forme leur Messie tant attendu, projet ultime du sionisme qui se prétend (et y parvient !) le Messie lui-même, dans une forme collective, puisqu’il aura accompli en totalité les promesses du Messie, la dernière étant l’accaparation des richesses du monde dans quelques mains.Ce qui leur permettra de dicter aux populations le nouveau comportement qui sera exigé d’elles : le monde orwellien – et ses variantes, illustrées dans des films comme Soleil vert.
b) Volet B : mais on ne peut pas écarter un autre projet, beaucoup plus cynique, beaucoup plus redoutable et féroce, et surtout beaucoup plus radical. Ce projet, ils l’on inscrit en tout premier point sur les tables du Georgia Guidestones : ramener l’humanité à 500 millions et l’y maintenir.
En d’autres termes, éliminer 7 milliards pour ne conserver que la race royale (eux) et quelques esclaves à sa disposition, d’où la préparation psychologique des populations à asservir.
S’il s’agit de ce projet, on se doute bien que ce n’est pas ce virus et ses quelques dizaines de milliers de morts qui va faire le boulot : il introduit et annonce un projet bien plus atroce et bien plus vaste.
Ceci est à mettre au conditionnel car ce monument date de 1980, époque où nous étions 4 milliards ; il a peut-être été modifié, adapté, ou même abandonné.
Mais je ne le crois pas : la crise écologique, elle aussi montée de toutes pièces par les mêmes auteurs cachés, montre que pour eux, l’éradication d’une bonne partie de la population mondiale reste la voie nécessaire. Le tout est de savoir si on y est arrivés ou pas, et pour cela il faut attendre encore.
Dans ce cas, le volet A serait la suite du volet B.
Et comme je l’ai déjà dit, cette suppression d’une grande partie de l’humanité serait alors une sorte d’holocauste que ces adorateurs de Satan offriraient à leur maître et dieu.
Conclusion
Il manque le volet eschatologique. Ma spécialité. Je l’ai volontairement occulté dans cet article, mais nous allons en dire quelques mots.
Que nous soyons à une étape intermédiaire du Nouvel Ordre Mondial ou à l’étape finale et définitive, ce que je crois, ne changera rien : ils jouent avec le feu, ils s’y brûleront les ailes.
Ils ont lancé une autodestruction du système, une sorte de suicide collectif, qu’ils croient maîtriser et auquel ils croient qu’ils donneront la forme qu’ils veulent.
Il n’en sera rien car, comme la mer Rouge se retourne sur des assaillants sûrs de leur victoire, ils seront pris à leur propre piège et celui-ci se refermera sur eux.
Comment ? Je n’en sais rien.
A quel moment ? Nous ne le savons pas non plus, c’est pourquoi il est nécessaire, en attendant, d’étudier leurs projets comme nous le faisons ici, pour les voir progresser.
Ce dont je suis sûr, à moins que je n’ai loupé une étape, c’est qu’ils ont enclenché ce que l’Apocalypse appelle la chute de Babylone, c’est à dire leur propre chute, et donc le résultat ne sera pas celui escompté, et décrit ci-dessus, mais leur disparition à tous.
J’expliquerai ces points essentiels dans un prochain article.
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Illustration : 1984, roman d’anticipation de Georges Orwell. Le monde qu’il imaginait en 1947 et espérait pour 1984, nous le VIVONS actuellement.