Voici venue l’heure du jugement

4 décembre 2015

Réjouis-toi petit troupeau, réjouis-toi Jérusalem, car le Seigneur a entendu tes cris et répondu à ton appel. Comme l’éclair part de l’Orient jusqu’à l’Occident (1), il balaiera Babylone la grande et son temple rempli d’iniquités.
Car il vient pour juger la terre, il jugera le monde avec justice (2).

Oui soyez joyeux, Gaudete ! Réjouissez-vous !
Aujourd’hui, vous saurez que le Seigneur va venir et qu’il nous sauvera.
Et demain matin, vous le verrez paraître dans sa gloire. (3)

Alleluia ! Demain sera détruit le péché du monde et sur nous règnera le Sauveur de l’univers. (4)

« En temps de persécution religieuse, l’intervention divine attend ordinairement deux choses avant de se produire :
– D’abord que la purification des bons soit suffisamment accomplie
– Ensuite, que le triomphe des méchants soit sur le point de s’achever.
Il faut en effet que les succès des méchants soient parvenus à un degré voisin du triomphe » (5)
A un tel point d’ailleurs que si ces jours n’étaient abrégés, aucun vivant n’y échapperait ; mais, à cause des élus, ces jours seront abrégés. (6)

Sommes-nous arrivés à ce point de non-retour où, la victoire de Satan paraissant acquise, le Seigneur va intervenir ?
La réponse est OUI.

Quel est ce jour, inscrit de tout temps dans le plan de Dieu, qui marquera la délivrance des Justes et enclenchera le glaive de Sa justice ?
Le 8 décembre 2015.

 

Le 8 décembre est le jour de l’Immaculée Conception, la plus belle fête de
la Très Sainte Vierge Marie, Mère de Jésus, Mère de Dieu.
Ce jour a été choisi par l’ennemi (le démon) pour clôturer le concile Vatican II il y a 50 ans. Ce n’est pas un hasard. Car la Vierge Marie est la Femme de l’Apocalypse qui doit écraser la tête du serpent à la fin des temps, c’est pourquoi celui-ci la hait au plus haut point.

La maternité divine est la plus grande dignité de Marie et le fondement de tous ses privilèges nous enseigne l’Eglise, le premier d’entre eux étant l’Immaculée Conception.
Marie est née exempte de tout péché, y compris du péché originel : elle est la seule personne humaine, hormis Adam et Eve, à être née totalement pure et totalement immaculée, et à l’être restée. Car seul un écrin de pureté totale pouvait accueillir l’Incarnation parmi les hommes de Dieu le Fils.

 

 

Le 8 décembre célèbrera en réalité l’abomination de la désolation

C’est pourquoi l’abomination de la désolation prophétisée par Jésus-Christ, à savoir le concile Vatican II, qui marque l’entrée officielle dans l’Eglise de l’esprit de Satan, moderniste, libéral et réformateur, s’est ouvert un 11 octobre (fête de Marie Mère de Dieu) et s’est achevé un 8 décembre.
Ainsi, la folie des hommes accomplissait les paroles prophétiques de Marie à la Salette :
Rome perdra la foi et deviendra le siège de l’Antéchrist.

Ces quelques mots de la journaliste Hilary White résument très bien le mystère d’iniquité qui s’est opéré
par le concile Vatican II :
« Vatican II a été utilisé par les ennemis du Christ pour injecter une religion entièrement nouvelle et fausse dans les structures existantes de l’Eglise. Ils ont injecté ce poison, cette anti-religion, qui a commencé à se propager comme un virus infectant le corps entier une cellule après l’autre. Vatican II a réécrit l’ADN spirituel des ordres religieux et des universités d’abord, puis s’est propagé aux structures diocésaines, aux organisations épiscopales nationales et aux agences internationales de charité. Et finalement, en mars 2013, l’ennemi s’est emparé de la citadelle. » (7)
Elle a juste oublié la réécriture de l’ADN de la Sainte Messe, point central de la stratégie luciférienne.

Cette prise en main de l’Eglise par la franc-maçonnerie ecclésiastique fut pourtant annoncé par l’élite maçonnique, et dénoncée par de nombreux auteurs analysant le complot occulte des ennemis de l’Eglise.
Par exemple, ces propos de Serge Monast, datant de 1995, se sont accomplis avec une telle exactitude que nous savons maintenant que non seulement le plan a été appliqué, mais qu’il est un succès total :
« L’Eglise, sous le pouvoir de l’anti-pape, sera absolument identique à l’Eglise de Jérusalem au temps de Jésus-Christ. Elle partagera l’idéologie des Nations Unies de la même manière que les prêtres du Temple partageaient l’idéologie et le pouvoir avec les Romains. Elle conservera les croyances en Jésus-Christ comme façade (…) et établira de nouveaux concepts religieux, tous basés sur la divinité de l’homme. » (8)

On ne peut pas être plus clair : l’anti-pape François partage bien la même idéologie que les Nations Unies sur le climat et le reste (combat contre la pauvreté, rééquilibrage entre nations riches et pays pauvres, promotion des droits de l’homme, etc), tout en utilisant le Christ comme justification, et contribue activement à la divinisation de l’homme comme nous allons le démontrer un peu plus loin.

Le Jubilé qui commence le 8 décembre, est l’infamie de trop, de même que la COP21, qui se déroule en même temps, est l’égrégore satanique de trop.

 

Le Jubilé de la miséricorde : l’infamie de trop

Le Jubilé : un défi à l’Esprit Saint
Le 8 décembre 2015, l’Eglise catholique ouvrira le Jubilé de la miséricorde, à l’occasion des 50 ans du concile Vatican II et reconnaît aujourd’hui les motifs réels qui l’avaient motivée : « L’Eglise ressent la nécessité de garder vivant un événement qui a marqué une nouvelle étape de son histoire. (…) Etant abattus les murs qui depuis trop longtemps avaient fait de l’Eglise une forteresse close, il convenait d’annoncer l’Evangile d’une façon nouvelle. » (9)
Autrement dit, la forteresse qui avait résisté durant près de 2000 ans à la chair, au monde et au démon (St Paul) s’est ouverte à Babylone et s’est adaptée à son esprit. Résultat : une apostasie généralisée (apostasie veut dire prendre position à l’écart, c’est-à-dire à l’écart de la vérité connue, à l’écart de la vraie religion. Si vous avez des doutes, comparez l’enseignement de l’Eglise actuelle avec le catéchisme de saint Pie X, vous serez très étonné !).

Mais il y a autre chose ; normalement un jubilé se fête la cinquantième année, c’est-à-dire qu’en l’occurrence, il aurait dû débuter fin 2014 pour se terminer en 2015. Pour mémoire, le dernier en date, celui de l’an 2000, a débuté le 24 décembre 1999. Et ainsi de suite.
Pourquoi le fêter la 51^ème année ? Pour deux raisons :
– Parce que les 50 ans révolus représentent une victoire définitive sur l’ancienne forteresse. Le chiffre du Saint-Esprit est le 50 puisque la Pentecôte au lieu le 50^ème jour après Pâques. Or la Pentecôte est considérée comme le jour officiel de la création de l’Eglise.
– Par conséquent, la nouvelle église issue de Vatican II aura elle aussi passé le cap décisif des 50 ans, et elle affirme sa victoire avec indécence puisqu’elle attend que ces 50 ans soient révolus, donc définitifs, pour le fêter. Les amis juifs du pape le confirment : « Dans la tradition juive 50 ans, c’est le Yovel : le jubilé qui est, dans la bible, synonyme d’éternité. » (10)
C’est donc clair : dépasser les 50 ans veut dire que leur nouvelle Eglise est enclenchée pour l’éternité.
Il y a là un défi au Saint-Esprit qui ne peut rester impuni.

 

La miséricorde n’est pas la justice

Outre ce défi au Dieu Vivant, le Jubilé induit les croyants en erreur en introduisant une idée fausse de la miséricorde divine, qui se confond avec la justice dans l’esprit des gens. Cette confusion volontaire de la part de certaines élites religieuses, a pour but d’inaugurer une sorte de supermarché de la miséricorde, où le péché n’a plus beaucoup d’importance puisqu’il est absous quelle que soit sa gravité, et sans contrepartie. Cette vision pernicieuse et faussée est à rapprocher de celle, tout autant erronée mais partagée par la plupart des catholiques conciliaires, d’un monde où tous les hommes sont sauvés et où l’enfer est quasiment vide.

Pour mieux comprendre la distinction entre justice et miséricorde, voici les propos de Jésus-Christ lui-même dans ses Révélations à sainte Brigitte de Suède. On les croirait écrits pour notre temps, alors qu’ils datent du XIVème siècle.
« Cette forteresse dont j’ai parlé plus haut est la Sainte Eglise en elle-même, que j’ai bâtie au prix de mon sang et de celui de mes saints, et que j’ai maintenue sans faille par le ciment de mon amour.
Son fondement est la foi, soit la croyance que je suis un juge juste et miséricordieux. Mais maintenant le fondement est sapé parce que tous me croient et me proclament miséricordieux, mais presque personne ne proclame ni ne croit que je juge justement.
On me tient pour un juge pour ainsi dire inique. Car inique serait le juge qui, poussé par la miséricorde, renverrait les méchants impunis pour que ces méchants n’en oppriment que davantage les justes.
Mais je suis un juge juste et miséricordieux, à telle enseigne que je ne laisserai pas impunie la plus petite faute, ni sans récompense la plus petite bonne action.
Par la brèche de la muraille sont entrés dans la Sainte Eglise ceux qui pèchent sans crainte, qui nient que je sois juste et effraient mes amis. (…)
[Vers les hommes qui refusent Dieu] je suis encore si miséricordieux et patient que je veux leur envoyer les paroles qui seront sorties de ma bouche, et leur offrir ma miséricorde.
S’ils veulent faire accueil, je me radoucirai, mais dans le cas contraire ils connaîtront ma justice et, tels des brigands, ils seront publiquement confondus devant les anges et les hommes, et jugés à l’avenant par tout un chacun. (…)
La justice et la miséricorde doivent être votre espérance afin que vous espériez en la miséricorde de Dieu au point de ne pas négliger sa justice. Ayez présent à l’esprit sa justice et son jugement à ce point que vous n’oubliiez sa miséricorde, car jamais il ne rend sa justice sans miséricorde, ni n’exerce la miséricorde sans justice » (11)

Que ceux qui participeront au jubilé de la miséricorde s’en souviennent : le pardon n’est valable que s’il y a conscience de ses péchés, regret de ceux-ci et volonté de s’en défaire : « La trinité du bien sont la contrition, les larmes et l’intention de s’amender. » (12)
Dieu voit dans les cœurs et c’est la sincérité de la contrition qui fera foi devant le Juge suprême ; une sincérité qui exige repentir, pénitence et combat contre ses défauts.
Nous serons jugés en âme et conscience, et il vaut mieux se défaire de ses péchés au plus tôt, car « la justice a établi que vous ne passiez pas la porte du paradis céleste avant réparation de votre faute. » (13)

 

La COP21 : l’égrégore satanique de trop

Dans le précédent article, nous démontrions que la COP21 n’est pas une réunion ordinaire mais l’aboutissement d’un long processus qui vise à lancer une nouvelle religion mondiale.

L’implication du Vatican en est la meilleure preuve puisque la religion catholique est, de loin, celle qui s’est le plus investie dans le climat.
Comment ne pas faire un rapport avec cette phrase-clé de Serge Monast qui, il y a 20 ans, avait déjà compris la stratégie employée et que nous voyons se réaliser sous nos yeux :
« Le nouveau CRITERE sera ainsi défini : Les vrais chrétiens seront ceux qui partageront toutes les croyances religieuses du Nouvel Ordre Mondial en tant que nécessité de base pour la survie de l’humanité. » (14)
N’est-ce pas de survie de l’humanité dont on nous rabâche les oreilles depuis des années avec cette affaire du climat ???
Comment ne pas y voir, une fois de plus, l’aboutissement d’un programme de domination mondiale où le réchauffement climatique n’est qu’un prétexte afin de faire communier tous les hommes dans la même idéologie ?

Il faut bien comprendre une chose : 159 chefs d’Etats et de gouvernements (soit les trois quart de la planète !) ne se sont pas déplacés à Paris le 30 novembre pour discuter d’un enjeu dont les risques sont à échéance d’un siècle ! Eux dont les mandats sont de 4 à 5 ans en moyenne.
Il y a autre chose, et d’ailleurs ils le disent bien, si on prend la peine de les écouter.
François Hollande a déclaré que « l’enjeu de la COP21 n’est pas que climatique » (titre du Figaro du 29/11) ; de son côté, le pape insiste sur trois objectifs complexes et interdépendants : réduire les impacts du changement climatique, combattre la pauvreté et promouvoir la dignité de la personne humaine (discours du cardinal Parolin à la COP21).
Enfin, l’agenda 2030 signé par ces mêmes chefs d’Etats le 25 septembre dernier est en filigrane de ces discussions. Il s’agit, ni plus ni moins, de la prospérité pour tous (fin de la pauvreté), du travail pour tous, la santé pour tous, l’égalité pour tous, l’éducation pour tous etc…

Donc que recouvre en réalité la COP21 et pourquoi les dirigeants mondiaux sont-ils si impliqués ?
Ils s’appuient sur l’idéologie climatique pour lancer leur Nouvel Ordre Mondial.
Cette idéologie est basée sur un mix de mensonges (la thèse du réchauffement climatique d’une part, et son imputation au CO2 et à l’activité humaine d’autre part) et de réalités : la société de consommation a généré une exploitation effrénée et exagérée des ressources naturelles ainsi qu’une pollution monstrueuse.
Elle est basée également sur une vision fausse des capacités humaines : aveuglé par les possibilités que lui procure la technologie, l’homme moderne joue à l’apprenti-sorcier en modifiant génétiquement les éléments naturels (plantes, animaux, êtres humains), et se croit même capable de commander aux éléments.
Car décider unilatéralement de limiter la hausse de la température à 2 °C revient à dire : je commande à la terre, au soleil et à l’ensemble des éléments naturels, et je décide moi-même quelle sera l’évolution du climat.
Une telle attitude porte un nom : se prendre pour Dieu.
En modifiant la loi naturelle via la génétique, l’homme s’est attaqué à un domaine réservé à Dieu : la création ; après les plantes et les animaux, il s’expérimente sur le corps humain. Et maintenant notre homme-dieu commande au climat.
Cet homme divinisé a un chiffre : 666.

Eh oui, nous nageons en plein Apocalypse. Et c’est ça l’Antéchrist : l’homme qui se prend pour Dieu. La première bête, celle de la mer.
Un mot au singulier pour désigner un collectif dont la mentalité et la façon de vivre sont aux antipodes de la société chrétienne.

 

L’Antéchrist et le faux prophète sont des réalités actuelles

Le faux prophète, la seconde bête de l’Apocalypse, fait en sorte que la terre et ceux qui l’habitent adorent la première bête (Apoc. 13, 12).
Avant même que François n’ait été élu à la papauté, nous savions qu’il serait le faux prophète. Il s’est révélé hélas à la hauteur de la tâche, et voyez : il se démasque en faisant s’incliner la terre entière devant la première bête, l’homme-dieu qui commande au climat !
Il appelle même à une conversion écologique au lieu de prôner la conversion à Jésus-Christ, seule solution pourtant pour sauver la planète.
Il accomplit ainsi à la lettre près ce qui a été prophétisé dans l’Apocalypse.

Hilary White, déjà citée, montre que cette élite est consciente de ses agissements et suit un programme bien déterminé :
« Au voyage papal aux Etats-Unis, j’ai ajouté cette vidéo de l’odieux cardinal Danneels se vantant d’avoir fait partie d’une cabale anti-catholique dans la plus haute hiérarchie de l’Eglise, ayant élu Bergoglio afin de poursuivre leur agenda, et je ne crois pas qu’il est nécessaire de rassembler davantage de faits sur l’état réel de François et sur sa tribu de démolisseurs de l’Eglise, ou sur ce qu’ils planifient de faire.
Quand un pape dit à un journaliste qu’il est conscient que ce qu’il dit et fait laisse penser à des gens qu’il est un antipape ou un Antichrist, mais qu’il en rit en se moquant et en raillant les fidèles (« Si vous voulez, je vous récite le Credo », ndt), il ne reste, je le répète, plus grand-chose à révéler. Ce n’est pas une conspiration puisqu’ils se placent devant les micros et racontent ce qu’ils vont faire, et ensuite le font. » (15)

Grâce aux agissements de l’Adversaire les Ecritures s’éclairent, et notamment la fameuse épître de saint Paul sur laquelle est basée l’Antéchrist :
« Il faut que l’apostasie arrive auparavant et qu’on ait vu paraître l’homme du péché, le fils de perdition, l’adversaire qui s’élève au-dessus de tout ce qui est appelé Dieu, ou qui est adoré, jusqu’à s’asseoir dans le temple de Dieu, se faisant passer lui-même pour Dieu.
Et maintenant vous savez ce qui le retient, pour qu’il se manifeste en son temps.
Et alors se découvrira l’impie que le Seigneur Jésus tuera par le souffle de sa bouche et anéantira par l’éclat de son avènement. » (II Thess. 2, 3-8)

– Apostasie préalable : elle a commencé dans l’Eglise en 1958, et fut remarquablement orchestrée et diffusée grâce au concile Vatican II ;
– Le fils de perdition qui s’élève au-dessus de Dieu et se fait adorer : l’homme apprenti-sorcier qui se prend effectivement pour Dieu est une réalité : les peuples applaudissent et adorent ces hommes ;
– Il s’assoit dans le temple de Dieu : le faux prophète François au Vatican ;
– Ce qui le retenait : il s’agit de la précédente papauté, dévoyée certes mais régulière ; Benoît XVI a laissé la place, la bête n’est plus retenue ;
– Et alors se découvrira l’impie : le Jubilé de la miséricorde + la COP21 en même temps : les deux bêtes se dévoilent.

En effet, l’équation satanique est simple : par le système de la société de consommation et du dérèglement des mœurs, conjugué au mondialisme apatride (le mondialisme étant la fusion du capitalisme et du socialisme), le démon a mené la planète au bord du gouffre par l’exploitation irraisonnée des ressources naturelles et par l’énorme pollution générée.
Maintenant Satan nous fait miroiter une vie idéale pour tous (santé, prospérité, éducation, travail etc…) mais il y a un préalable : il faut d’abord l’adorer.

Nous sommes donc bien à la fin du processus, soigneusement dissimulé par Satan, car il fallait que tout ceci ait l’air naturel, comme allant de soi.
Mais un jour l’invisible deviendra visible et le 8 décembre le monde sera mûr pour voir s’accomplir la prophétie de Notre-Dame à la Salette :
« Voici le temps, l’abîme s’ouvre. Voici le roi des rois des ténèbres, voici la bête avec ses sujets, se disant le sauveur du monde. Il s’élèvera avec orgueil dans les airs pour aller jusqu’au ciel ; il sera étouffé par le souffle de saint Michel archange. Il tombera et la terre, qui depuis trois jours sera en de continuelles évolutions, ouvrira son sein plein de feu ; il sera plongé pour jamais avec tous les siens dans les gouffres éternels de l’enfer.
Alors l’eau et le feu purifieront la terre et consumeront toutes les œuvres de l’orgueil des hommes, et tout sera renouvelé ; Dieu sera servi et glorifié. »

La bête qui s’élève dans les airs avec orgueil et qui se dit le sauveur du monde, nous le vivons actuellement au Bourget ; ne disent-ils pas eux-mêmes qu’il s’agit de la réunion de la dernière chance, et que pour sauver la planète un accord est indispensable ?

Mais cette démonstration est-elle suffisante ? Non.
Nous allons maintenant montrer et prouver pourquoi le 8 décembre sera la date-clé du retournement de la situation, à savoir :
la chute de Babylone et des bêtes et la délivrance des justes.

 

Preuve n°1 : le festin de Balthazar

En 2014, j’avais comparé la finale de la coupe du monde de football au festin de Balthazar.
Pour résumer en deux mots : le festin de Balthazar est l’événement qui mit fin aux 70 ans d’exil des hébreux à Babylone ; il est raconté dans le livre de Daniel, au chapitre 5.
Le roi Balthazar, assiégé dans Babylone mais se croyant invulnérable, fait donner un grand banquet au cours duquel il profane les vases sacrés d’Israël. A ce moment là, sur le mur une main invisible traça les mots : Mane, Thecel, Phares (Compté, pesé, divisé). Le prophète Daniel expliquera au roi que ces mystérieux signes indiquaient la condamnation de son règne. La nuit même, les ennemis trouvent une faille, investissent Babylone et exécutent Balthazar. Darius le mède, nouveau maître du pays, libéra alors les hébreux.

Dans un article publié le 5 juillet, je faisais un parallèle avec l’Apocalypse : nous sommes exactement dans la même situation : la Babylone de l’Apocalypse est elle aussi condamnée et cette condamnation sera prononcée le 13 juillet lors de la finale des jeux du stade (l’équivalent du festin de Balthazar).
Dans un second article après la finale du 13 juillet, je confirmais cette intuition.

Eh bien je ne m’étais pas trompé. C’était effectivement le festin de Balthazar.
Il fallait juste savoir interpréter correctement les chiffres donnés par la Providence. Car le temps de Dieu n’est pas celui des hommes.

Auparavant, faisons un petit rappel : le 13 juillet est la date de la troisième apparition de la Sainte Vierge à Fatima ; ce jour-là, les enfants eurent la vision de l’enfer, et elle leur révéla le troisième secret.

Notons également que le Brésil revient régulièrement dans l’actualité depuis trois ans :
– Pays organisateur des JMJ en 2013,
– Foudre sur le Christ de Rio le 16 janvier 2014 ;
– Organisation de la coupe du monde de football en 2014, avec la finale à Rio sous les yeux du Christ Rédempteur ;
– Découverte en mai 2015 de dizaines de milliers de poissons morts pour des raisons non élucidées dans la baie de Rio ;
– Et aujourd’hui, une immense coulée de boue toxique sans précédent fait l’actualité, teintant de rouge les eaux du Rio Doce, évoquant un passage célèbre de l’Apocalypse (Et le troisième ange répandit sa coupe sur les fleuves et sur les sources des eaux : et elles furent changées en sang – Apoc. 16, 4)

Au cours de la finale de la coupe du monde, l’Allemagne marque le 171^ème et dernier but de la compétition, à 171 jours de la fin de l’année.
Nous avons donc un double 171.

En voici la signification, et elle est toute simple. Il suffisait de tripler ce chiffre, pour deux raisons : d’abord parce que la Sainte Trinité, maîtresse de toutes ces œuvres, impose de tout multiplier par trois ; ensuite, parce que la sentence écrite sur le mur est bien en trois parties : compté, pesé, divisé.

Donc :
1) Du 13 juillet 2014 au 31 décembre : 171 jours. Mané. Compté.

2) Du 1^er janvier au 20 juin 2015 : 171 jours. Thécel. Pesé.

3) Du 21 juin au 8 décembre 2015 : 171 jours. Phares. Divisé.

Total : 3×171 soit 513 jours. Le 513 est l’équivalent du 153 (chiffres identiques).
Le 153 est le chiffre des Justes (les 153 poissons de la seconde pêche miraculeuse en Jean 21, 11) et du Premier d’entre eux : Jésus-Christ.

Voilà, c’était tout simple. Le festin de Balthazar prend fin le 8 décembre.
Et le roi de Babylone meurt la nuit même.

 

Preuve N°2 : l’apparition mariale de Pontmain

La Sainte Vierge est apparue à Pontmain le 17 janvier 1871.
Cette date s’écrit donc : 17.01.1871
Tout le monde conviendra qu’elle contient elle aussi un double 171, sans déplacer les chiffres, plus le chiffre 8.
La signification du double 171 est facile, on vient de la voir, et le 8 pointe sur une autre fête mariale : le 8 décembre tout simplement.

L’analyse ne s’arrête pas là. Il y a très exactement 144 ans entre 1871 et 2015.
Or le chiffre 144 est celui du nombre des Justes en Apocalypse 7, 4.
Il y a donc cette année, et uniquement cette année, un lien direct avec l’Apocalypse.

Je rappelle, à toutes fins utiles, que nous avons trouvé et expliqué dans cet article d’autres liens avec l’Apocalypse, uniquement en analysant des faits et en effectuant des rapprochements, sans faire de numérologie. Car calculer la distance entre deux dates n’est pas de la numérologie. Les livres sacrés contiennent des chiffres car ils ont une signification ; il est normal que les apparitions d’origine divine, par le choix des dates notamment, contiennent elles aussi des chiffres significatifs.
Effectuer un rapprochement entre deux chiffres et l’expliquer n’est pas de la numérologie.

Allons encore un peu plus loin.
Quel est le message de Pontmain ? Il est simple, la Vierge a écrit dans le ciel le texte suivant :
MAIS PRIEZ MES ENFANTS, DIEU VOUS EXAUCERA EN PEU DE TEMPS.
MON FILS SE LAISSE TOUCHER

Il est facile d’en déduire que la conjonction du 144 et du double 171, qui ne s’applique qu’à l’année 2015, annonce la délivrance des justes, et il ne reste plus qu’une date : le 8 décembre.
Non seulement cette déduction est plausible, mais nous pouvons en prouver la véracité en la rapprochant d’un fait divers récent : les attaques terroristes du 13 novembre.
Car ceux-ci ont pour but d’annoncer l’autre face de la pièce. Si pile on a la délivrance des justes, face on a la chute de Babylone.

 

L’explication mystique des attentats du 13 novembre

D’abord, il faut noter que le 13 est le jour choisi par la Sainte Vierge à Fatima pour ses apparitions. C’est également par un double 13 (le 13 mars 2013) que le faux prophète fut élu à la papauté. Tout ceci n’est pas anodin.
Car ces attentats ont eu lieu le 32^ème mois de l’élection de Bergoglio ; il reste un petit mois pour atteindre le 33^ème , chiffre éminemment symbolique puisque ce fut celui du Christ à sa mort et sa résurrection. Chiffre retenu pour cette raison par les francs-maçons dont le 33^ème degré est le grade le plus élevé.

Voyons maintenant le rapport avec Pontmain.
Dieu vous exaucera en peu de temps nous a dit Marie.

Le 17 janvier (qui est la 144^ème année, rappelons-le) est distant du 13 novembre de 300 jours.

Quelle est la signification du 300 ?
Mgr Gaume nous l’explique :
« Dans les alphabets grecs et hébraïques, la lettre T, ou Tau, est la figure de la croix ; et dans la numération grecque et hébraïque, la lettre T compte pour 300.
Le pape Innocent III, au 4^ème concile de Latran, le confirme : Le Tau, dit-il, est la dernière lettre de l’alphabet hébraïque. Il exprime la forme de la croix, telle qu’elle était avant que Pilate la surmontât de l’écriteau de Notre Seigneur. » (16)
De nos jours, cette croix perdure sous le nom de croix de saint Antoine, ou croix en Tau.

L’écart de 300 jours entre Pontmain et les attentats s’éclaire : Le chiffre 300 est l’équivalent de la croix, c’est le message du Ciel à Constantin à la bataille du pont Milvius : Par ce signe tu vaincras signifie Mon Fils se laisse toucher, en clair la victoire du Christ et la chute de Babylone sont annoncées.

Car « La croix [et donc le 300] est le mystère des mystères, le trophée du Fils de Dieu, l’instrument béni de notre rédemption, le signe plein de terreur pour les uns, d’espérance pour les autres, qui précèdera le souverain Juge lorsqu’au dernier jour il descendra du ciel pour rendre à chacun selon ses œuvres. » (17)

Un dernier point : l’écart entre le 13 novembre et le 8 décembre est de 25 jours.
Or le chiffre 25 exprime la naissance : Jésus est né un 25 décembre et s’est incarné un 25 mars. L’Adversaire ne s’y trompe pas puisqu’il a fait signer l’agenda 2030 par ses aficionados un 25 septembre.
Donc cet écart semble confirmer un retour imminent du Christ ou du moins la naissance de quelque chose (la Jérusalem céleste ?) pour le 8 décembre.

 

Preuve N° 3 : Le Boeing 777 du 8 mars 2014

La nuit du 7 au 8 mars 2014 débutait la série des accidents d’avions à caractère eschatologique par la disparition du vol MH370 de la Malaysia Airlines, jamais retrouvé depuis, avec à son bord 239 personnes (227 passagers + 12 membres d’équipages).

Nous avions noté à l’époque de nombreux signes troublants, à caractère eschatologiques, sans faire de numérologie dois-je le préciser. Il suffit juste d’observer les faits :
1) La nuit du 7 au 8 mars 1625, sainte Anne à Auray apparaît à Yves Nicolazic pour lui faire fait déterrer une ancienne statue : cette nuit-là est donc liée à la notion de découverte et à la grand-mère du Christ ;
2) Il y a 227 passagers ; le 15 août, Assomption de la Vierge Marie, est le 227^ème jour de l’année ;
3) Parmi ces passagers, il y a 153 chinois (153 = chiffre des justes) ;
4) L’équipage est composé de 12 personnes, comme les 12 apôtres ;
5) 239 est, en nombre d’années, la distance entre 1776 et 2015, 1776 étant à la fois l’année de la création des Illuminatis et des Etats-Unis ; de plus cette date peut aussi se lire 777.

Or le 7 est le chiffre divin par excellence, celui de la perfection divine, de la terre achevée en 7 jours. Le fait de tripler un chiffre équivaut à le diviniser puisqu’il est multiplié par la Sainte Trinité. Enfin le 7 est aussi le chiffre du Saint-Esprit, auteur des 7 dons.
Le choix d’un Boeing 777 n’est donc pas anodin du point de vue de la Providence.

Alors, pourquoi ressortir cet avion maintenant ?
Tout simplement parce que :
a) Il s’agit d’une date à cheval sur le 7 et le 8 du mois ;
b) Il y a 21 mois entre le 8 mars 2014 et le 8 décembre 2015 ;
c) 21 équivaut à 3×7 soit 777 ;
d) La COP21, qui a lieu durant les mêmes dates, porte elle aussi le chiffre 21.
Nos 777 se rejoignent donc eux aussi pour la nuit du 7 au 8 décembre !

 

Preuve N°4 : les stigmates du Padre Pio

Par sa vie, ses prophéties, son exemple et ses disciples, saint Pio de Pietrelcina est considéré par les eschatologues comme un saint emblématique de la fin des temps.

C’est probablement le dernier saint et le dernier signe qui nous ont été donnés afin de percer, le moment venu, les mystères des destinées du monde.

Né le 25 mai 1887 (un 25 !), le Padre Pio décèdera le 23 septembre 1968, soit un peu après la révolution satanique qui enflamma la France et se propagea dans le monde.

Or il y a un fait marquant dans la vie du Padre Pio : celui-ci portera les stigmates de la Passion du Christ pendant exactement 50 ans : du 20 septembre 1918 au 20 septembre 1968, soit trois jours avant son décès.
Notons bien la durée : il s’agit de 50 ans révolus.

Rapprochons maintenant ce fait avec le mystère d’iniquité dont souffre l’Eglise catholique, et qui est plus communément appelé la Passion de l’Eglise. Epouse mystique du Christ, elle est appelée à vivre sa passion comme son divin époux. Nous avons rappelé en ce début d’article que le concile Vatican II correspondait à cette passion.
Puisque la Passion contient trois phases, il est aisé aujourd’hui de les reconstituer :
– Vatican II : la traîtrise et le prétoire
– De la fin de Vatican II à Bergoglio : le chemin de croix (de la flagellation au Golgotha)
– 13 mars 2013 : mort de l’Eglise
– Le 3^ème jour, donc la troisième année (2015) : Résurrection de l’Eglise

Les stigmates sont la marque de la Passion de Notre-Seigneur dans sa phase la plus douloureuse.
Rien n’interdit de penser que cette durée exacte de 50 ans peut s’appliquer à la Passion de l’Eglise catholique, ceci voulant dire qu’elle prendra fin le 8 décembre 2015, jour des 50 ans révolus du concile, puisque c’est exactement la même durée.

Voilà pourquoi les stigmates du Padre Pio s’arrêtent 3 jours avant sa mort.
Toujours le 3 qui nous guide, comme la 3^ème année pour voir la Résurrection de l’Eglise, ou la Sainte Vierge qui apparaît à Fatima 3 ans après le début des 100 ans accordés à Satan.

 

D’autres preuves existent, il y a de quoi en remplir un livre.
Citons seulement la prophétie des papes de saint Malachie : Benoît XVI était le 111^ème et dernier pape ; après lui, on doit vivre les ultimes tribulations suivies du Jugement dernier. Or c’est bien ce qui se passe. Le pape de ces tribulations (Petrus Romanus – Pierre le Romain) peut être au choix Bergoglio l’anti-pape, ou tout simplement saint Pierre dirigeant l’Eglise du Ciel.
Il y a également le lien avec le Christ-roi et les 496 ans (Clovis) des apparitions de Cotignac, valable uniquement en 2015, expliqué dans un précédent article.

 

Que va-t-il se passer au 8 décembre et après ?

La question que tout le monde est en droit de se poser est : que va-t-il se passer le 8 décembre ?
Je ne sais pas.
Nous entrons dans les mystères divins.

Dans l’Apocalypse, la chute de Babylone est très rapide : en un même jour, elle sera brûlée par le feu (Apoc. 18, 8).
Même durée pour la chute du roi de Babylone Balthazar : en une nuit.
Ceci concorde aussi avec les prophéties sur les trois jours de ténèbres.
Voici pour la première hypothèse : le 8 décembre peut être la chute de Babylone et des bêtes.

Mais il y en a une seconde : celle d’une ultime chance donnée aux hommes, et qui correspondrait dans ce cas au 6^ème sceau et à la 6^ème trompette de l’Apocalypse, c’est-à-dire un événement d’envergure mondiale faisant prendre conscience aux hommes de l’imminence du châtiment.

Cet événement peut être visible ou invisible (la COP21 et le Jubilé étant en soi des événements palpables et significatifs de la victoire des forces de l’enfer).

Dans ce cas, il resterait une ultime période, propice à la prédication des apôtres des derniers temps.
Je vois dans le miracle le plus éclatant de saint Jean Bosco, l’image de cette toute dernière chance.
Un enfant de son patronage nommé Charles, vif et gai, tombe subitement malade et meurt dans la nuit. Dans son délire, le pauvre petit ne cessait de réclamer Don Bosco, qu’il aimait beaucoup. Par malheur, celui-ci était en voyage.
Quand il revint, Charles, mort depuis plusieurs heures, était déjà cousu dans son linceul, suivant la coutume du pays.
« Charles, lève-toi » dit le saint après avoir béni le cadavre et adressé à Dieu la plus fervente des prières.
L’enfant ouvre les yeux.
« Oh ! Don Bosco ! Depuis si longtemps que je vous réclame… J’ai cru que je descendais en enfer pour un péché grave que je n’ai jamais confessé. A vous seulement je pouvais le dire… Mais alors une belle Dame a chassé le démon en disant : laissez-le tranquille, il n’est pas encore jugé. J’ai été délivré et vous êtes venu… ».
Il confessa sa faute et vécut encore deux heures.
« Aimes-tu mieux rester sur terre avec nous ou bien partir pour toujours au Paradis ? » lui demanda le saint.
« Oh ! Je préfère partir au Paradis tout de suite, Don Bosco !
– Eh bien ! Au revoir mon fils ! »

Voilà. Tout y est.
Charles, c’est l’humanité pécheresse.
Don Bosco, c’est le Christ au chevet de celle-ci qui lui donne une dernière chance, alors qu’elle est déjà morte, grâce à l’intervention de sa sainte Mère, qui dit au démon : laissez-le tranquille, il n’est pas encore jugé.
Ces derniers mots sont particulièrement significatifs.
La fin également : une fois pardonnée, l’humanité passera à la Jérusalem Céleste.
Et l’ultime durée est courte : deux heures.
Encore faut-il savoir combien de temps correspondent à ces deux heures ; cela ne peut être qu’une question de mois puisque la durée maximale de la bête est de 42 mois sachant que celle-ci ayant débuté le 13 mars 2013, son échéance est au 13 septembre 2016, mais le Christ a promis d’écourter ce temps.

Nous verrons bien si les tribulations seront écourtées dès le 8 décembre ou si l’humanité pécheresse aura droit à un ultime sursaut.

Le pape Pie IX semble aller dans ce sens dans une de ses prophéties :
« Etant donné que le monde s’est placé contre Dieu et son Eglise, il est clair que Dieu se réserve la victoire sur les ennemis. Non seulement les hommes ne s’occupent pas de Dieu mais ils l’oublient complètement, préférant les satisfactions terrestres. Pour cela, il est clair que ces personnes ne peuvent revenir à Dieu en aucune autre manière qu’à travers un acte qui ne pourra être attribué à un agent secondaire. Alors tous seront obligés de reconnaître l’intervention surnaturelle de Dieu en s’exclamant : Cela arrive par l’intervention du Seigneur et c’est merveilleux à nos yeux ! Arrivera un grand événement qui remplira le monde de stupeur. Mais ceci sera précédé par la domination de la Révolution. L’Eglise devra souffrir énormément. » (18)

Finalement, l’année de la Miséricorde qui incite les fidèles à aller se confesser tombe à point nommé, au moment où commencerait cette période tampon entre la chute de Babylone et le Jugement dernier. Encore faut-il se confesser avec sincérité, regretter ses péchés, faire pénitence et combattre ses vices.

 

Conclusion

Nous approchons des ultimes échéances.
Nous avons tous compris que les derniers événements traduisent inéluctablement la victoire du Malin et donc sa chute prochaine.

Le 8 décembre 2015 sera une échéance-clé dans le plan divin ; nous saurons ce jour-là et ceux qui suivront si le Jour de la Colère est arrivé, ou si l’humanité a droit à une dernière chance. Dans ce cas, les apôtres des derniers temps se lèveront pour la neuvième croisade, celle des âmes.

La solution finale n’appartient qu’à Dieu. Seul Dieu pourra sauver son peuple de l’océan d’iniquités dans lequel il baigne en purifiant la terre par le feu du ciel.

Laissons à Mélanie Calvat, la voyante de la Salette, le dernier mot de cet article :
« Oui, Dieu seul sauvera le monde, et il ne se servira pas d’un bras de chair pour relever la société – les sociétés plongées, ensevelies dans l’iniquité, dans l’oubli de leurs devoirs les plus sacrés et dans l’abandon de Dieu et de ses commandements. Pour l’ordinaire, oui, le Bon Dieu se sert des hommes comme instruments pour relever la société, lorsque dans cette société il y a une certaine crainte de Dieu, du respect pour l’autorité, pour les autorités une certaine souplesse à se soumettre… : mais aujourd’hui que l’orgueil et l’esprit d’indépendance sont arrivés aux nues, aucun homme ne pourra jamais dompter la rébellion effrénée des sociétés. Il nous faut la verge de fer dans les mains de la justice divine. » (19)

Pour télécharger l’article en pdf, cliquez sur ce lien : Voici venue l’heure du jugement

(1) Matthieu 24, 27
(2) Psaume 96, 13
(3) Exode 16, 6-7 ; chant d’entrée de la messe du 24 décembre (vigile de la Nativité)
(4) Alleluia de la messe du 24 décembre (vigile de la Nativité)
(5) Dénouement de la persécution, abbé Augustin Lémann (1886)
(6) Matthieu 24, 22
(7) (15) Hilary White, Pourquoi j’ai renoncé aux reportages, article du 12 octobre 2015 traduit par le site internet Benoît et moi
(8) (14) Serge Monast, Le complot des Nations Unies contre la chrétienté, mai 1995
(9) Radio Vaticana, Synthèse de la bulle d’indiction du Jubilé de la miséricorde, 11 avril 2015
(10) Interview du rabbin Moché Lewin, le Figaro du 20 avril 2015
(11) Révélations de Jésus-Christ à sainte Brigitte de Suède, livre premier, chapitre 5
(12) (13) Révélations de Jésus-Christ à sainte Brigitte de Suède, livre 2, chapitre 12
(16) (17) Mgr Gaume, Biographies évangéliques, chapitre les deux larrons
(18) Cité dans l’Eglise éclipsée, ouvrage collectif des Amis du Christ-Roi, 1999
(19) Lettre du 23 juin 1885 de Mélanie Calvat à l’abbé Combes

Image de couverture : la bannière de Jeanne d’Arc, l’étendard de la délivrance

écrit par dalencourt Publié dans Uncategorized