Le massacre a déjà commencé

Peu de gens s’en rendent compte car le phénomène est pervers et insidieux, il couvre toutes les strates de la société sans dire son nom, et pourtant il est probable que dans ce domaine aussi, l’homo occidentalis n’ait atteint le point de non retour.
Je veux parler de l’empoisonnement progressif de la population depuis un demi siècle.

poisonLa fin de la seconde guerre mondiale va marquer un changement tant spectaculaire qu’inéluctable, concrétisé par une matérialisation et une massification devenues universelles et totalitaires, transformant l’homo sapiens en homo consommatus. Et ce phénomène, je devrais dire ce virus, qui jusqu’à maintenant a touché essentiellement l’homo occidentalis, à commencer par les américains qui en sont même la caricature jusqu’à l’extrême, est aujourd’hui à la portée d’une partie croissante de la population des pays dits émergents que sont les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine), autrement dit plus de la moitié de la population mondiale.

Quel empoisonnement ?
Celui qui affecte le corps humain au sens large, c’est-à-dire :
–          ce qui provient de son environnement : ce que nous respirons (l’air), et ce que nous ingérons (nourriture, boissons et autres substances) ;
–          ce qui provient d’initiatives destinées à le soigner (système de soins), à le transformer (manipulations génétiques, PMA, etc) ou à le seconder (appareils électroniques).

Or cet environnement a connu tout au long du XXème siècle, et surtout depuis sa seconde moitié, un extraordinaire développement qui semble infini. L’agriculture productiviste, le recours sans cesse croissant aux machines et son corollaire, la course à l’énergie, le développement à grande échelle de la chimie, tout ceci mène au sacro-saint principe de la société de consommation entraînant le monde dans une spirale infernale, celle-ci justifiant au passage toute la stratégie financière de ces 40 dernières années.

Pourquoi peut-on parler aujourd’hui d’empoisonnement ?
Parce que nous commençons à avoir du recul, c’est-à-dire à avoir suffisamment d’années derrière nous pour tirer un enseignement, ou du moins des tendances, sur des choix de société effectués au bas mot il y a 50 ans.

blanche-neigeL’agriculture ?
L’utilisation abusive et exagérée d’engrais et de pesticides a bouleversé l’ordre naturel, pollué les nappes phréatiques, détruit les insectes, décimé les abeilles, bref atteint l’écosystème de façon irrémédiable. « Quand on a commencé à montrer que les sols mouraient biologiquement, on nous a demandé de nous taire » affirme Claude Bourguignon, ingénieur agronome.

Et que dire de l’élevage, où les animaux, dans des conditions souvent scandaleuses, grandissent de façon accélérée et anti-naturelle grâce à des procédés artificiels tels que farines carnées, produits chimiques, hormones de croissance et antibiotiques.

La nourriture ?
Non seulement elle est issue de cette agriculture chimique, mais elle subit également des traitements et des ajouts de substances chimiques, voir carrément des transformations qui font se demander si le pain de chez Mac Do a encore droit à l’appellation « pain », ou s’interroger sur la notion de « fromage analogue » chez Pizza Hut.
La malbouffe s’est transformée en empoisonnement : « La nourriture distribuée par les cartels de l’agro-alimentaire, dépourvue de nutriments et de vitamines, bourrée de produits chimiques, affaiblit les populations et les empoisonne » (Claire Séverac, Complot mondial contre la santé, éditions Alphée).

Les médicaments ?livre-severac
L’affaire du Mediator est l’arbre qui cache la forêt. Cette molécule était tellement nocive qu’on a pu cette fois-ci établir un lien de cause à effet. Mais quid de tous les autres ? Claire Séverac, déjà citée, explique ce que beaucoup commencent à comprendre : « L’intérêt des industries pharmaceutiques est de maintenir les populations en traitements permanents (contre des maladies fabriquées par des hommes, voire même d’autres qui n’existent pas !). C’est pour cela aussi que les médicaments dont on dispose sont conçus pour soulager les symptômes et non pour traiter les causes des maladies. »
Derrière un médicament se cache une molécule dont les prétendus bénéfices sont mis en avant, et les effets secondaires systématiquement minimisés, alors que ce sont autant de bombes à retardement, voire de poisons, en puissance.

Le traitement des maladies ?
Avant d’aborder la question fondamentale du cancer avec le Pr Belpomme, en fin de cet article, laissons le Dr Hamer, inventeur de la Médecine Nouvelle (médecine naturelle défendue notamment par la revue Néosanté) s’exprimer à ce sujet : « Les Israéliens, et en particulier les Chassidim, pratiquent secrètement la Médecine nouvelle depuis plus de 20 ans, et cela avec le plus grand succès, c’est-à-dire à 98%. Ils prônent la chimiothérapie et la morphine comme soi-disant thérapie des cancers pour les non-juifs, avec pour résultat que 98% d’entre eux en meurent. » Les chimios, radio et autres hormonothérapies sont autant de poisons qui non seulement ne guérissent pas, mais font de vous un client à vie de big pharma. Les alternatives, notamment celles basées sur des méthodes naturelles, et qui ne viennent pas des multinationales pharmaceutiques, sont systématiquement écartées ou dénigrées.

Les vaccinations ?
Là aussi, l’affaire du Gardasil masque un problème beaucoup plus grave et beaucoup plus vaste. Non seulement les vaccins sont de plus en plus pointés pour leur toxicité, leur inefficacité et leur relation avec l’augmentation de certaines pathologies comme l’autisme, mais on se rend compte maintenant que leur utilisation massive et régulière sur l’ensemble des populations est en train de dérégler gravement notre système immunitaire.

La pollution atmosphérique ?
Je crois que je n’ai pas besoin de développer le sujet, tant notre société moderne est -enfin- consciente du problème. Par contre, les médias mainstream ne parlent pas du phénomène des chemtrails, ces curieuses traces laissées par les avions qui s’apparentent plus à une pollution chimique, soi-disant pour lutter contre le réchauffement climatique, qu’à d’innocentes émanations dues à la condensation des réacteurs.

Les gadgets électroniques ?
A peine 10 ans de téléphone portable et on parle déjà des méfaits de la pollution électromagnétique. Un petit livre « Le téléphone portable, gadget de destruction massive » (éditions l’Echappée) nous rappelle que l’étude européenne Reflex (financée par l’UE) concluait en 2004 : « les champs électromagnétiques générés par les antennes des téléphones portables provoquent indirectement des ruptures dans les brins d’ADN de cellules humaines et animales. Ils vont même jusqu’à perturber la synthèse de certaines protéines. » On pourrait parler aussi des effets néfastes des fours à micro-ondes sur notre santé. Et ainsi de suite…

Les conséquences de tout cela ?
L’émergence et le développement de nouvelles maladies, liées à notre façon de vivre et à notre environnement, dont la plus répandue est le cancer.

Laissons dans ce domaine la parole au professeur Dominique Belpomme, dans son livre Ces maladies créées par l’homme (Albin Michel) :

livre belpomme« En tant que cancérologue, je me suis aperçu que le cancer était une maladie que notre société fabriquait de toutes pièces et qu’il était en grande partie induit par la pollution de notre environnement. »

« Le constat est évident. Les maladies d’aujourd’hui ne sont plus les maladies naturelles d’hier. Elles sont toutes, ou presque, artificielles. C’est nous, c’est-à-dire notre société, notre civilisation, qui les induisons. »

« On peut citer les stérilités masculines, les malformations congénitales, la plupart des maladies cardiovasculaires, l’obésité, la très grande majorité des diabètes, les infections nosocomiales, les allergies, l’asthme… Et bien entendu le cancer, devenu une maladie de civilisation. »

« Dans les causes environnementales, il faut inclure la pollution d’origine alimentaire : les nitrates, pesticides et certains additifs se sont avérés être cancérigènes, et nous les ingérons le plus souvent à notre insu. Les aliments que nous ingérons, l’eau que nous buvons et l’air que nous respirons sont beaucoup plus pollués qu’il y a 20 ans. En outre, les recherches toxicologiques actuelles concluent indiscutablement à l’effet cancérigène de nombreux polluants.(…) On peut donc finalement considérer que ce sont 80 à 90% des cancers qui sont causés par la dégradation de notre environnement. »

Sachant que le Professeur Belpomme identifie dans son livre, parmi les nombreux facteurs cancérigènes : les fumées et goudrons provenant de la combustion de produits fossiles, les dioxines, les métaux lourds, l’amiante, les engrais nitratés, les pesticides, certains plastiques et produits synthétiques, certains colorants, modificateurs de goût et conservateurs alimentaires, la pilule contraceptive, certains médicaments…

Et le Pr Belpomme d’ajouter : « Il ne faut pas croire que l’homme, en raison de ses capacités technologiques, pourra faire exception aux lois de l’évolution naturelle. Non, ces lois sont irréductibles et incontournables et l’homme ne peut, ne pourra jamais les négliger, encore moins les modifier à son avantage ! ».

« Les activités technologies de l’homme dont on vante tant les mérites ne pourront conduire qu’à la disparition prématurée de l’espèce humaine, s’il n’y est mis une certaine limite et si ces activités ne se font pas le plus possible en harmonie étroite avec la nature.
Comme tout organisme vivant, chaque espèce est régulée par des lois biologiques. Toute transgression artificielle de ces lois ne peut conduire qu’à la mort de l’organisme ou de l’espèce concernée. »

Alors ?

Faudra-t-il attendre 50 ans pour admettre que les OGM, en violant l’ordre naturel, auront généré de nouvelles pathologies et déréglé encore plus le fonctionnement du corps humain ?

Faudra-t-il attendre 50 ans pour constater que l’exploitation du gaz de schiste, outre son énorme consommation d’eau, aura réussi à polluer gravement les nappes phréatiques et les couches sédimentaires du sol ?

Combien de temps allons-nous vivre encore dans ce mensonge permanent que la technologie et le progrès font notre bonheur ?

Pour terminer cet article, je vais vous dénoncer un des mensonges les plus courants de ces dernières années : celui de l’espérance de vie.

L’espérance de vie, une manipulation mensongère
Lors d’une de ses conférences, Dominique Tassot a rappelé que « La meilleure façon de mentir, c’est d’induire en erreur en ne disant que des choses vraies. ». C’est tout à fait le cas de l’espérance de vie de l’homo occidentalis. S’appuyant sur les formidables progrès de l’hygiène, des soins, et de l’amélioration de l’habitat réalisés au XXème siècle, les experts ont pu constater que les deux dernières générations ont vu fortement progresser leur espérance de vie. Et ils en concluent que celle-ci va forcément continuer à progresser dans les décennies à venir. Rien n’est plus faux.

Je prédis qu’à partir de ma génération, la courbe de l’espérance de vie va commencer à décliner, pour devenir très préoccupante dès la génération suivante.

D’abord, il faut savoir que l’espérance de vie de l’être humain a toujours été de 70 ans en moyenne. Elle était la même au temps de Jésus, au Moyen-Age comme au début du 20ème siècle. Il suffit, pour s’en convaincre, de se pencher sur l’âge atteint par les personnages célèbres, dont on a conservé trace : philosophes, scientifiques, prélats, souverains et aristocrates, saints chrétiens etc. Hors morts violentes bien entendu. Vous serez surpris de l’âge respectable que beaucoup atteignirent.
intergenerationTout a commencé à changer avec la génération de nos grands-parents, ceux qui sont nés au début du XXème siècle. L’effet conjugué d’une solide constitution héritée d’un mode de vie et d’une nourriture encore sains, et de l’amélioration considérable de l’hygiène et des soins, leur a permis d’atteindre pour beaucoup un âge très élevé.
La génération suivante, celle de nos parents nés dans les années 30, 40 et 50, a bénéficié dès son jeune âge des débuts de la société de consommation. Leur constitution, héritée de leurs parents est encore robuste, et leurs habitudes alimentaires sont encore saines, du moins dans la première moitié de leur vie. Ils sont petit à petit rattrapés par la pollution atmosphérique et les méfaits de la nourriture industrielle, mais c’est aussi cette génération qui « cuisine » encore, à partir de produits frais, et qui représente d’ailleurs presque la moitié des clients sur les marchés. Notez que, même si cette génération proroge l’espérance de vie de la précédente, c’est celle qui est aussi frappée de plein fouet par le cancer. Comme quoi, à peine 20 ans d’agriculture productiviste et de nourriture qui se « chimiarise » petit à petit commencent déjà à faire des dégâts. Qui n’a pas un parent, un ami, une connaissance décédé du cancer aux alentours de 70 ans, même avant ?

Le vrai danger concerne la génération actuellement aux commandes, la mienne. Celle qui a entre 30 et 55 ans aujourd’hui. Celle que l’on peut appeler « la génération Mac Do ». Elle est née avec les débuts des fast-foods et autres formules de restauration rapide, c’est elle qui avale un sandwich le midi, enfourne un plat préparé dans le micro-ondes le soir, ingurgite une pizza affalée devant la télé, et n’est plus capable d’effectuer 50 mètres sans prendre sa voiture. Cette génération en surpoids se gave de sodas, de frites, de pain blanc, de sucres, tout cela exclusivement en provenance d’une agriculture productiviste élevée aux pesticides, et d’une industrie agro-alimentaire qui transforme des aliments sains et vivants en nourriture androïde bourrée de produits chimiques, insipide mais « sécurisée ». Cette même génération « majeure et (beaucoup trop) vaccinée » est aussi celle qui se rassure comme elle le peut en ingérant, au choix, des excitants (alcool, cigarette et autres drogues), des tranquillisants (la gamme est large) ou des médicaments (vous savez, ces produits formidables qui vous soignent sans avoir, ou très peu, d’effets secondaires. Si, si, puisqu’on vous le dit !)

Tout cet environnement hautement nuisible, aggravé par un comportement irresponsable et infantilisant, est irrémédiablement cancérigène. Nous vous y trompez pas : les quadras d’aujourd’hui seront peu nombreux à dépasser le cap des 70 ans fatidiques.

Compte tenu de tous les facteurs développés plus haut, il n’est pas possible que dans ces conditions, l’espérance de vie continue à progresser. Les modèles de calcul ne tiennent pas compte de la progression de la nocivité de notre environnement et de notre nourriture, ou la minimisent, comme si cela n’avait pas changé depuis 50 ans. Car sinon, il faudrait totalement modifier notre système et notre mode de vie. Or nous n’en prenons pas le chemin.

Quand à la génération suivante, celle de nos enfants, je n’ose y penser, mais j’ai bien peur que nous en verrons beaucoup mourir avant nous.

Pour ceux que cela intéresse, je développerai les aspects « santé » et « agro-alimentaire » dans de prochains articles.

Quand aux solutions, elles sont simples :
rapprochez-vous le plus possible d’un mode de vie naturel. Mangez bio et surtout des produits frais : cuisinez-les vous-même. Méfiez-vous surtout de la viande, c’est une des formes d’alimentation les plus pourries. Il existe de nombreuses filières de viande bio, en direct du producteur. Achetez des fromages au lait cru. Equilibrez et diversifiez votre alimentation, réduisez les féculents et supprimez les sodas. Respectez les besoins biologiques de votre corps en le nourrissant de façon équilibrée 3 fois par jour, et faites-le jeûner de temps en temps. Respirez l’air de la campagne plutôt que celui des villes. Jetez tous vos médicaments et revenez aux recettes de vos grands-mères et à la médecine naturelle. Proscrivez toute vaccination. Allez acheter votre pain complet à pied et prenez l’escalier au lieu de l’escavator ou de l’ascenseur.

15 Commentaires

  1. Jil

    Merci pour cet article vraiment très complet qui résume bien l’effroyable civilisation occidentale. Pour rebondir sur l’espérance de vie, il convient de noter que le peuple Hunza qui vit dans une vallée reculée et isolée de l’Himalaya dans le nord de l’Inde, a une espérance de vie de 130 ans !!! Et à 70 ans ils en paraissent 35 ! Leur recette : ils mangent ce qu’ils produisent, l’hiver est la saison du jeûne, ils mangent très peu de viandes mais beaucoup de baies (de Goji notamment), pas de clivage intergénérationnel les vieux et les jeunes s’entraident, bien évidemment ni téléphone, ni télévision, ni Internet , ni centres commerciaux, ni alcool. Et comme ils vivent sur des contreforts ils pratiquent la culture en terrasse et l’entretient de ces terrasses nécessitent une activité physique quotidienne. Dans cette société la violence n’existe pas, ce sont des gens sans aucun stress.

    Concernant l’espérance de vie dans le monde occidental, elle est déja en train de baisser fortement. Il suffit de lire la rubrique nécrologie de votre quotidien local. Dans mon coin pour le premier trimestre 2012 j’ai calculé sur la base de la nécrologie de ma commune que l’espérance de vie était de 67 ans !!!

  2. Pingback: Le massacre a déjà commencé | Tu dois nourrir ta vie!
  3. jeremie

    Très bien écrit, je vous remercie !!

    consommateur
    puis consomm-acteur
    puis acteur, créateur avec le vivant.

    Si on arrivait à faire comprendre aux gens que l’immunité innée est plus puissante que celle acquise par les vaccins,
    (« Béchamp avait raison, le microbe n’est rien, le terrain est tout » aurait dit Mr Pasteur)
    que les synergies naturelles s’adaptent à l’évolution des maladies…que la médecine actuelle soigne, voire attaque des symptômes et que cela n’a rien à voir avec la guérison….alalala

    si on agit pas dans ce sens, le NOM s’imposera de notre vivant ou de notre mort justement. Faut pas oublier qu’une dépopulation massive est prévue…

    parenthèse sur le jeûne. J’avais lu des choses sur la capacité purificatrices voire autophage du corps, mais en même temps je lisais des choses sur le fait que les « déchets toxiques » migraient alors vers le cerveau.
    En tout cas d’expérience après coup, je déconseille le jeune prolongé, même celui d’un jour!
    A la limite comme expérience pour se rendre compte de ce qu’est la digestion, ce qu’est le fait de manger, mais en aucun cas pour se « nettoyer le ventre » y a d’autres moyens, et puis surtout la flore intestinale est précieuse..

    en tout cas je vous suit et vous encourage à écrire 🙂

    La politique ce que j’en retiens, ce que nous commentons beaucoup la scène, leur petit jeu de fripouilles, et certes nous perçons le secret sur leur véritables agissements, mais :

    Il nous faut agir !! parce que faibles, malades, aveuglés voir mort on sera inefficaces..
    j’éspère que le citoyen itinérant publiera vos articles en liens, c’est primordial, ces informations sont des ARMES.

    • jeremie

      et je n’ai rien à voir avec des rêveurs post68 bobo écolo.

      et je répète qu’il serait judicieux d’explorer l’énergie et les moyens de santé qui y sont rattachés.
      Que les taoistes, l’ancienne médecine traditionnelle chinoise aient été en quête d’immortalité est un fait,
      et après à chacun de décider si c’est un mythe ou non.

  4. jeremie

    Bonjour,

    Sur le traitement des maladies, connaissez vous Paracelsus? il a eu une approche très intéressante de la médecine et le fait qu’il est été catholique ne me dérange pas:

    http://www.newadvent.org/cathen/11468a.htm

    La spagyrie ou la médecine de Paracelse

    http://60gp.ovh.net/~alchymie/articles/spagyrie_ou_medecine_de_paracelse.htm

    cela parle d’alchimie (il y en a plusieurs sortes)
    de principes anciens, existant dans la medecine energetique taosites ou d’autres cultures polythéistes qui avaient reconnu les propriétés de l’energie vitale, celle du soleil aussi.

    1 – « Il est vrai, sans mensonge, certain et très réel,

    2 – Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas,

    Pour l’accomplissement des mi-racles d’une seule chose.

    3 – Et comme toutes choses sont et proviennent d’Un. Ainsi toutes choses sont nées de cette chose unique, par adaptation.

    4 – Le soleil en est le père, la Lune en est la mère, le vent l’a porté dans son ventre, La terre est sa nourrice et son réceptacle.

    5 – Le père de tout le Thélesme du monde universel est ici. Sa force ou puissance reste entière, si elle est convertie en terre.

    6 – Tu sépareras la terre du feu, le subtil de l’épais, doucement avec grande industrie… »

    Qu’est la nature sinon la philosophie, et la philosophie sinon la dé-couverte de l’invisible nature ?  » (VIII, 71)

    « Les étoiles sont visibles, mais elles ne constituent pas pour au-tant le Ciel » (XII, 38)

    « Le ciel agit en nous, mais pour connaître l’essence de cette action, il faut connaître les propriétés du ciel et des astres… » (Parra-minum I)

    « Celui qui désire devenir un vrai thérapeute doit chercher à comprendre la composition d’une prescription selon la conjonction des herbes et des astres du firmament. » (Peste I)

    – au sujet de la nature en sa Lumière :

    « La nature donne une Lumière par laquelle elle peut être connue dans sa clarté propre. » (XIV, 115).

    « La nature est une lumière qui luit plus que la lumière du soleil… au-dessus de tout regard et de toute puissance des yeux. Dans cette lumière, les choses in-visibles deviennent visibles. »

    Personellement ces lignes me parlent bien plus que n’importe quel livre « saint »

  5. Pingback: La vie prise au piège. | Le citoyen engagé
  6. Guy Fawkes

    Très bon article qui résume bien les faits même si je dois dire qu’il existe encore bien d’autres sources d’empoisonnement chronique:

    – Dentifrice au fluor.
    – Les plombages dentaires.
    – Déodorants et crèmes solaires à l’aluminium.
    – Cosmétiques non bio en général.
    – L’eau du robinet non traité et même celle en bouteille.
    – Nos propres habits sont pour la plupart bourrés de produits chimiques nocifs sans parler du pressing.
    – Nos produits d’entretient également.
    – Les phtalates, colles et divers polluants dans notre habitat (merci l’industrie).
    – Les jouets de nos enfants pleins de métaux lourds, et résidus industriels.
    – Le poisson sauvage qui même lui est pleins de mercure grâce à l’industrie.

    Pur la plupart de ces problèmes il existe une solution. Par contre, Il existe aussi une guerre silence au dessus de nos têtes dont tu parle rapidement: ce sont les chemtrails et ça c’est de loin le pire je trouve. Certains le savent peut être et ça fera une petite piqûre de rappel pour les autres:

    Géo-ingénierie ou génocide…à vous de choisir. Dans les deux cas, on dit merci à l’élite mondiale pour nous donner l’opportunité de nous empoisonner de manière quotidienne qu’on le veuille ou non. Nous pouvons choisir la nourriture que nous mangeons, les méthodes pour nous soigner, l’eau que nous buvons mais pas l’air que nous respirons.
    Cette vidéo montre l’étendue de la pratique des chemtrails et les dangers pour l’homme qui en découlent. Elle n’aborde pas la problématique environnementale désastreuse également. Un but inavoué à ce niveau: pervertir l’agriculture biologique, seul rempart contre la malbouffe, et imposer à terme les semences OGM qui sont tolérantes à l’aluminium contrairement aux cultures classiques.
    Certains agriculteurs sont déjà dépendants de ces semences dans le monde et ce n’est pas prêt de s’arrêter. Cette pratique est mondiale et la finalité est des plus sinistre.

    Ce documentaire explique bien les enjeux environnementaux et montre comment les autorités font la sourde oreille:

    CHEMTRAILS : What In The World Are They Spraying (VOSTFR)

    Exemple très parlant d’autres manifestations du même type:

    Les Chemtrails- Quand un Média Américain Dénonce:

    La Serbie s’oppose aux CHEMTRAILS:
    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=7BmiiqirECY« 

  7. Pingback: La mort d’Hugo Chavez est signée | Le Grand Réveil
  8. Nordmendus

    Merci pour cet excellent article. Voici le lien d’une vidéo fort intéressante relative au cholestérol et aux statines.

    N.

  9. dalencourt

    Vous dites n’importe quoi, c’est totalement faux ; l’espérance de vie a toujours été de 70 ans, pour toutes les catégories, et c’est ridicule de penser que la moyenne des gens mouraient à 30 ans.
    Du côté du mirage occidental, c’est tout à fait le piège satanique ; effectivement, la société de consommation est très attirante et on n’en voit pas les dangers. La réalité, c’est qu’en 50 ans, on a plus abîmé la planète qu’en 4000 ans. Encore 50 ans de ce régime et il n’en restera plus rien. D’ailleurs, cela ne tiendra pas 50 ans de plus, surtout, comme vous le soulignez, qu’une part croissante de la population veut vivre de la même manière. Tout ceci aboutit à une impasse totale où la seule issue sera la mort ou la survie. Mad max quoi.
    Voilà où mène le monde merveilleux que vous prônez.

    Quand à envier la vie d’avant la société de consommation, il faut être capable de comprendre comment on vivait à ces époques, sans Mammon, le dieu argent, sans notre technique liberticide, sans notre matérialisme athée et pervers, sans nos moeurs dissolues. Un autre monde, oui, où les gens étaient beaucoup plus heureux. La joie qui vient du coeur et de l’esprit, et non pas la joie matérialiste d’aujourd’hui, qui n’en est pas une.

    Profitez-bien de votre confort car il ne durera pas. Et quand on vous le retirera (c’est pour bientôt), vous ne le supporterez pas longtemps et vous vous suiciderez.

  10. Pelletier

    Tout ce qui est dit est vrai, j’étudie la situation de la santé en France depuis 20 ans et j’ai fait les mêmes constations. Avez-vous vu aussi l’augmentation de la maladie d’Alzheimer, maladie qui n’existait pratiquement pas il y a 20 ou 30 ans et qui dans certains pays ne s’est pas développés. C’est étrange, il y a peu de statistitques sur cette maladie dans le reste du monde..vivre le plus naturellement possible est la seule solution, utiliser les médecines douces très efficaces…est la solution.

  11. Emmanuelle

    L’écart visible des deux espérances de vie entre de nos jours, et avant le « progrès » s’explique essentiellement par le taux de mortalité lors de la petite enfance. En effet, avant les méthodes de réanimation du nourrisson, de césarienne pour la maman, et des conditions d’hygiène du bébé la première année, beaucoup mourraient dans les trois premières années (beaucoup c’est 1/3), et la maman en couche. C’est ce taux de mortalité infantile énorme qui faisait beaucoup baisser la moyenne d’espérance de vie, ce qui donne l’impression que l’espérance de vie ne dépassait pas les 45 ans. Si l’on retire des statistiques cette énorme mortalité infantile, nous obtenons une espérance de vie tout à fait honorable.
    Gardons de notre société la possibilité d’utiliser les méthodes de réanimation du nourrisson, gardons les connaissances acquises en hygiène, et la possibilité de faire une césarienne quand l’accouchement se passe mal pour sauver la maman. Mais pour le reste, on peut s’inspirer du mode de vie de nos anciens, qui, passé cette période difficile de la petite enfance, faisait de solides gaillards.

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